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Je rêve de Toi, je rêve de moi Marchant l'un et l'autre Mon regard perdu dans le tien Plein de tendresse, plein de promesse Je rêve de ta facilité à me faire rire, à me rassurer Je rêve de nous. Mais si seulement je te connaissais, si seulement tu me connaissais Tellement d'espérance.
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| Impression : Extraordinaire
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Les gens voudraient tant se souvenir de la chanson des feuilles mortes mais les gens tournent les pages comme les vents de l 'automne comme passé de l'été a l'hiver mes yeux se mouillent comme un voile en regardant le ciel et j' ai vu les couleurs des regards comme les couleurs changeantes d arc en ciel rien n arrête le temps tant que je t'aimerai encore comme hier ajour hui et demain comme la fleur qui a force d Age devient éternelle aussi longtemps que le dernier, jour et et de mon dernier jour qui sonnera a l' horloge de ce quartier a jamais oui j aimais que dieu pardonne a ce qu'ils t'ont fait oublie tout et n' oublie rien et jamais les tiens |
| Impression : Extraordinaire
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Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère. De ce mariage, est né un fils aux yeux pers. Monsieur est le père, Madame est la mère. Les deux font la paire. Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d'être Lamère était Lepère. Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu'il est Lamère et la mère est Lamère, bien que née Lepère. Aucun des deux n'est maire. N'étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc pas d'impair en signant Lamère. Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire. Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère. La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd. Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère, vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils. Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les Lamère, ne trouvent que le maire et Lepère, père de la mère du maire, venu de la mer, et chacun s'y perd ! Vous êtes toujours là ?
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La propagation du coronavirus se fait principalement par l’intermédiaire des postillons. C’est contre la propagation et diffusion de ces microgouttelettes qu’il faut lutter. Et en la matière, seuls des spécialistes du langage peuvent intervenir au mieux. Ils ont constaté que les voyelles n’avaient aucune incidence alors que la moitié des consonnes peut être tenue pour responsable, durant une conversation, de toute projection de microgouttelettes. Il conviendra donc, dans les prochaines semaines, de suivre un plan en quatre étapes, aboutissant à la disparition dans le langage, et progressivement, des consonnes impliquant les sonorités occlusives, liées à la projection de postillons. Voici le plan, exécutable avant le 11 mai… et que l’on aurait, avec ou sans masque, très bien pu instaurer dans l’Hexagone lors des prémices de la pandémie… Semaine 1 : Suppression des occlusives labiales : P et B, au mforit de la nasale M. Conséquence : mrès de soixante-dix mour cents des mostillons sont éliminés, et de mlus, on meut constater qu’ainsi la diction gagne meaucoup en soumlesse. Semaine 2 : C’est au tour des occlusives dentales : D et T, remmlacées par la nasale N. C’est un meu mlus nifficile. Il faunra un cernain nemps mour s’y haminuer, mais une semaine nevrait suffire. Semaine 3 ! Les nernières occlusives nismaraînront, à savoir les vélaires que sont les K et G "nur" (comme nans gaga), remmlacées mar la nasale GN. Nous omniennrons alors un langnage meaugnoup mlus ségnurisé, gni nevrait mermennre ne rénuire la "nisnance marrière" à gnanre-vingt-nouze cennimènres. Semaine 4 : Mour finir, la mesure la mlus nrasnigne gnonsisnera à éliminer le gnroume nes frignanives gnonniues F, V, S, Z et nes frignanives chuinnannes J et CH auxgnelles se rumrninuera la rrignanire rimranne R. C’est cernes un meu nernigne mais nous omniennrons alors une nignnion n’une rluininé ramais égnalée gni rera la rierné nes mays rrangnorones. Rire la Rémumligne ! Rire la Rrance ! |
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Partir Sans se retourner Pour ne pas sombrer Avant d’être cassée Choisir de s’effacer Partir A bout de patience Pour ne plus penser à la méfiance Le manque de confiance Les soupçons , la défiance Partir Sans lui tenir rigueur Malgré les sanglots du cœur Et l’extrême douleur De perdre sa douceur Partir De trop d’amour Oublier les projets, les toujours S’enfuir même avec le cœur lourd En ultime recours Partir Oser fuir sa tendresse Et la chaleur de ses caresses Ne pas voir dans ses yeux la tristesse Pour simplement survivre à la détresse Partir S’armer de courage Et faire ses bagages Pour fuir les scènes, les orages De la jalousie les ravages Partir SOTTE, SAUTE DONC SI TU L’OSES Ma Poésie Tome1 00060318-1©2016 CopyrightDepot.com Tous droits réservés madochristophe88.blogspot.com
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| Impression : Extraordinaire
cool ! |
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Blog mis à jour le 06/07/2022 à 17:22:20
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