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Je rêve de Toi, je rêve de moi Marchant l'un et l'autre Mon regard perdu dans le tien Plein de tendresse, plein de promesse Je rêve de ta facilité à me faire rire, à me rassurer Je rêve de nous. Mais si seulement je te connaissais, si seulement tu me connaissais Tellement d'espérance.
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Impression : Extraordinaire
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Les gens voudraient tant se souvenir de la chanson des feuilles mortes mais les gens tournent les pages comme les vents de l 'automne comme passé de l'été a l'hiver mes yeux se mouillent comme un voile en regardant le ciel et j' ai vu les couleurs des regards comme les couleurs changeantes d arc en ciel rien n arrête le temps tant que je t'aimerai encore comme hier ajour hui et demain comme la fleur qui a force d Age devient éternelle aussi longtemps que le dernier, jour et et de mon dernier jour qui sonnera a l' horloge de ce quartier a jamais oui j aimais que dieu pardonne a ce qu'ils t'ont fait oublie tout et n' oublie rien et jamais les tiens |
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Impression : Extraordinaire
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Partir Sans se retourner Pour ne pas sombrer Avant d’être cassée Choisir de s’effacer Partir A bout de patience Pour ne plus penser à la méfiance Le manque de confiance Les soupçons , la défiance Partir Sans lui tenir rigueur Malgré les sanglots du cœur Et l’extrême douleur De perdre sa douceur Partir De trop d’amour Oublier les projets, les toujours S’enfuir même avec le cœur lourd En ultime recours Partir Oser fuir sa tendresse Et la chaleur de ses caresses Ne pas voir dans ses yeux la tristesse Pour simplement survivre à la détresse Partir S’armer de courage Et faire ses bagages Pour fuir les scènes, les orages De la jalousie les ravages Partir SOTTE, SAUTE DONC SI TU L’OSES Ma Poésie Tome1 00060318-1©2016 CopyrightDepot.com Tous droits réservés madochristophe88.blogspot.com
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cool ! |
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Le Poète a libéré de sa Mémoire Toute une Pléiade de Mots cachés. Tout au fond de son Regard Dansaient des Vagues d'Humilité. Solitaire, là, dans son Territoire Il vivait de ses longs Silences. Par les Murmures de l'Autre en Miroir Il goûtait ses Trésors en Abondance. Sa Vie, dans ses Jours de Soleil L'auréolait d'un Bonheur sans Nuages, Dès lors que sa Main prenait l'Eveil Grandissaient en Lui, Force et Courage. Dans ses Yeux mouillés d'Amertume Les Plaintes de son Ame jouaient le Langage D'une Nostalgie dévorante, et sous sa Plume Il déversait l'Encre de toute sa Rage ! Au Final de mille Feuilles noircies Il sortait de son fol Isolement. Mêlé à la Foule, se grisait de Voix, de Bruits "Volait" pour Lui, Mots et Histoires dans ce Fourmillement. Gorgé dans l'Ame de toute cette Richesse Il rentrait vers sa Tour, seul et sauvage. Il savait que sa Plume vibrerait d'Hardiesse Et se déshabillerait à nouveau sur les Pages.
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