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Ce soir j’aimerais te sentir près de moi… Pas qu’une vue de l’esprit et de la pensée… Sentir ta présence dans tous les coins de mon existence… Ton rire qui est un sourire au soleil… Soleil levant… Sentir ta présence, ton corps… ta chaleur… Réveil, éveil en sourire… En silence qui lui saura bien interpréter nos regards… Un appel au loin… Ce soir reste avec moi… Ne quitte pas si vite… Reste avec moi Ce soir j’aimerais … J’aimerais partager ce repas, ce festin… Cette musique que j’entends … Ce désir juste d’être là tout près… Et laisser nos états d’âmes s’exprimer… Ce soir je te sens près de moi… Demain, peut-être vais-je plus que le ressentir…
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Le soir je marche dans l’ombre D’un souvenir qui s’enfuit C’est un beau rêve qui s’ombre Vers les abimes de l’oubli J’entends ta voix qui m’enchante Pourquoi ton sourire me hante Comme une reine sans roi Ma vie n’est plus rien sans toi
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Impression : Extraordinaire
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La nuit m*entoure de silence. Je saisis lentement les feuilles du calendrier prêt à mourir. Le mystère de l*avenir séduit ma pensée. Le Nouvel An..... ô j*aime l*imprévu pour songer ! Le coeur et le cerveau sont unis quelquefois pour chanter à la vie; d*autres , un petit chagrin, une trace inattendue.- La raison de parcourir le temps, de faire la résistance, le ying et le yang. Et les chemins de l*âme qui poursuivent toujours un seul but: LE BONHEUR
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Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit. Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis. Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher. Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts. Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas. Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes. Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante. Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente ! Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim. Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements. Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore. Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore… Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ". Je m'allège parfois te mettant sur le dos. Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce. Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
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Je ne t'oublie pas tu es toujours là je pense à toi mon coeur te voit je ne sais pourquoi après tout tu vois tu es encore là tu me hante parfois je t'aime mafois je ne parviens pas à te dire O là! tu pars tu le dois je t'aime malgrés cela je t'aime toujours je pense maintenant tu es toujours là Maman |
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