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Liens \ Textes
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La nuit m*entoure de silence. Je saisis lentement les feuilles du calendrier prêt à mourir. Le mystère de l*avenir séduit ma pensée. Le Nouvel An..... ô j*aime l*imprévu pour songer ! Le coeur et le cerveau sont unis quelquefois pour chanter à la vie; d*autres , un petit chagrin, une trace inattendue.- La raison de parcourir le temps, de faire la résistance, le ying et le yang. Et les chemins de l*âme qui poursuivent toujours un seul but: LE BONHEUR
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Moi,de mes huit frères,je suis l'aîné, j'aime les quais,j'aime les rives; mon bateau sillonne la méditerranée et comme c'est moi le timonier, je ferai tout pour qu'il dérive, en pays basque,vers ce petit port, là où les monts épousent l'aurore. Car,vois-tu,ma belle "éden", faut qu'il se repose un capitaine, souvent l'équipage lui fait des siennes surtout quand il est au"féminin". Je profiterai alors de mon quart de veille pour lui enlever la bague de l'orteil, lui faire comme-ça un petit câlin, puis caresser, au dessous des hanches, cette peau si douce,ces traces blanches que laisse l'été son maillot de bain. Moi,je suis l'artiste,je suis Mohamed, j'ai grandi loin de mes parents, je m'essayais aux vers,je parlais au vent et ma grand-mère,la maman d'Ahmed, qui avait aux joues des tatouages, qui était sévère,qui était très sage, quand elle me serrait doucement la main, quand elle me tendait ce bout de pain, m'apprenait à lire tous les messages. C'est pourquoi,ma chère chimère, s'il faut la faire cette drôle de guerre où deux égoïstes croisent le fer, à ton mousquet qui point ne rate, j'alignerais mon arquebuse et même l'épée de mon aïeul! elle est si fine,elle est si plate qu'elle fend,d'un coup,une cornemuse ! Je fus chaudronnier,je connais la meule , le chalumeau,la bouteille d'acétylène , le bruit strident de l'outil qu'on affûte j'ai forgé le fer,j'ai plié la tôle mais j'ai aussi,mon capitaine , visité hadley Chase , sa culbute Monsieur Zola, son"assommoir , Saint-Lazare , ses chauds trottoirs, les chambres roses de la place d'armes et ce vin doux des Montserrat désemplissait mon âme des larmes. Je rêvais d'armure,rêvais de glaive. Qui t'a donc dit,mon capitaine , toi qui te parfumes à "l'Ode-au-rêve" que j'aime,moi,qu'on me cajole ou que si l'envie,un jour,me prend d'éviter tous ses tourments, je souhaiterais qu'on me retienne ? (sept.2002)
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Mon amour tu es mon bienaimé. Tu dors a mon coté et je regarde ton front, tes yeux fermés dont les reves remplissent ton ame d*une fraicheur et une joie partagé par mon coeur. Oh mon amour je t*aime dans ce présent qui grandit chaque nuit . Tes bras serrent ma taille doucement et moi aussi je ferme les yeux pour soutenir cet amour qui resplendit pendant la nuit, pendant le jour pendant les années. Magnolia |
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Promenade des anglais, ils n’y sont plus en nombre J’y vois plutôt des hommes, des femmes au teint halé. Nos anglais seraient-ils dans les palaces à l’ombre, Comme ils faisaient déjà il y a deux siècles passés. Ils aimaient beaucoup Nice et sa french riviera, La promenade des anglais et sa grande renommée. Mais, moi quand je regarde ma méditerranée, Je leur tourne le dos, qu’ils ne m’en veuillent pas. Eh oui ! Amis anglais, c’est pas de l’irrespect, Mais, c’est bien vers le sud que sont tous les secrets. C’est l’île de beauté, les lumières de Venise Qui m’attirent davantage que la sombre Tamise. Les gondoliers qui chantent leur o sole mio, Pour que les amoureux se susurrent ti amo. C’est pas dans la citée d’un London enfumé Que Roméo dirait, Juliette je veux t’aimer. Etre ou bien ne pas être, bien sûr c’est la question, Mais être quoi au juste, bronzé ou palichon ? Ils fuirent donc en hiver les brouillards de London, A Nice pour bronzer, loin d’la perfide Albion. Prenez-moi la main et ensemble voyagons ♥♥♥
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Comment vous expliquer mes sentiments Comment partager ce que je ressens ? Seuls les murs entendent mes plaintes Mes larmes de rage ne sont pas feintes. La journée avait mal commencé Cette maudite voiture refusait de démarrer J’étais si pressé d’aller te retrouver Que j’en avais oublié la sécurité ! Me voilà, le coeur battant Devant cet immense bâtiment blanc Je sais que tu m’y attends Je grimpe les escaliers en courant. Horribles couloirs noirs Ou l’on croise le désespoir J’arrête ma course effrénée Juste le temps d’essuyer une larme qui venait de couler. Toc, toc, puis-je entrer ? Mais que ce passe t’il mon coeur Pourquoi es tu tout recroquevillé ? La souffrance vient à nouveau de te défigurer ! Tu ouvres enfin tes magnifiques yeux bleus Tu te souviens on en riait tous les deux Tu souris, je t’attendais depuis si longtemps Au diable ces maudits fils qui te relient à l’oxygène Je tombe dans tes bras et t’embrasse à perdre haleine. Pourquoi maintenant ? Pourquoi pas avant ? Que de questions restent en suspens ? Il faut faire vite Tout est essuyé Tout est minuté Tout est aseptisé... Alors d’un élan je te raconte Toutes nos histoires du passé Pour qu’un bref instant ta souffrance soit oubliée. On vient me chercher Vous devez-vous en aller Le laisser se reposer Vous savez qu’il est fatigué ! Oui je ne vais pas tarder Mais avant laissez moi lui donner un baiser Il me chuchote j’aime ton parfum Je lui glisse mon petit flacon entre les mains Bat toi mon coeur Devant nous est le bonheur ! Je m’écroule sur le trottoir Sous le regard des passants hostiles Et j’hurle Toi la haut Tu as déjà pris ma Maman Tu m’as volé mes enfants Alors s’il te faut ma vie prends là Mais garde mon ami ici bas !
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Blog mis à jour le 05/02/2023 à 11:05:46
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