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T'étendre prés de moi T'étreindre de mes bras Les bougies caressant les reflets de ta peau Te parcourir du regard sans un mot Lentement, me pencher vers toi Effleurer doucement tes lèvres Me laisser gagner par l'émoi De ton souffle palpitant Caressant ta peau veloutée Ton corps, généreux de volupté Va et vient vers moi Sous la chaleur de mes doigts Ma langue brûle doucement les chemins Me menant à tes seins Ces deux collines merveilleuses Pointues et généreuses Ton corps est cette plage Que des vagues viennent lécher Un superbe paysage Que j'aime contempler... J'explore cette île inconnue Survolant une foret vierge et touffue M'attardant sur les plaines, les monts, les vallées Te parcourant de caresses et de baisers Bientôt envahie de secousses séismiques D'un volcan aux grondements frénétiques La terre s'ouvre peu à peu au passage D'une source chaude et suave J'étanche ma soif et ton envie Dans une grotte chaude et pleine de vie La source semble ne pouvoir se tarir Coulant au rythme de ton désir Je me fonds en toi avec volupté Jusqu'à ton cri de satiété Et je m'allonge sur cette île mystérieuse Source de plaisirs... Merveilleuse...
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Quand l'anonyme et l'inconnue se confondent dans des mots... Moi je trouve ça beau C'est déroutant Un peu comme des mots d'enfants Un peu comme un jeu troublant C'est comme ça que tu m'as eu C'est comme ça que je t'ai crue Quand l'anonyme laisse devant l'abîme Quand l'inconnue Laisse à nue Comme une course ininterrompue Apres tes mots...rien qu'un mot Je lis, tu lis...il lit Elle relit... Et c'est la mélodie de tes mots à mes mots De mes paroles qui volent Vers ton coeur Sans plus d'heures;. J'ai la nausée de cette course folle Où je ne peux pas t'attraper Et l'anonyme et l'inconnue Se sont croisés dans cette rue Sans même s'apercevoir... Comme tout l'histoire est dérisoire... Les mots sauvent de l'oubli Mais pas de la folie Mes mots anonymes voudraient Recueillir ton corps inconnu
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Je regardais le ciel, Qui était bleu, Bleu comme l'océan. Au-dessus de moi, Volait un oiseau, Qui chantait. Je m'endormis. Je vis un papillon, Qui faisait autour de moi, Un joli rayon. Ce joli rayon, M'emmena dans le ciel, Au-dessus de l’arc-en-ciel, Où je vis, Une flèche, Qui me dirigea, Auprès d'un Ange. Et cet Ange, Qui me rend, Parfois étrange. Au-dessus de moi, Brillait mille étoiles, étincelantes. Et je me réveillais Ce n'était qu'un rêve.
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Je voudrais te montrer combien je t'aime. Tu es si importante pour moi Te dire autrement que par des mots ce que je ressens Te faire comprendre qu'au fond rien n'est plus important que toi Mon amour, dans tes yeux j'ai aperçu les vrais éclats du ciel Dans ton dos j'ai vu de grandes ailes Ton âme a ravivée la mienne Tu es ce qui manque à mon coeur pour battre Je désire t’écrire toutes les nuits Pour te mettre mon amour en mots Mais l'éternité n'est pas assez longue Et les paroles me manque pour tout dire Si seulement je pouvais te donné autant de bonheur Que tu as pu m'en offrir depuis le début des temps Je t'en donne à n'en plus finir Mais pour l'instant tout ce que j'ai à t'offrir C'est un peu de chaleur et une place dans mon coeur!
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Dans mes rêves, je l'imagine tout près de moi; Blottis dans notre nid douillet en cet automne Nous serions enivrés d'amour dans un logis sus les toits, Amoureux comme deux mômes. Elle serait blonde, ou brune, qu’importe, J’aurais gardé le frisson de ses caresses sur ma peau, La sensation de n'avoir jamais été aimé de la sorte, Et nos baisers remplaceraient nos mots.... Dans ses yeux, des tonnes de douceur, Dans ses mains, des ondes de chaleur, Ma lumière en cette saison grise, Ma belle inconnue dont je me suis épris Et nous resterons enlacés, par ce dimanche pluvieux, Inséparables, repus d'un amour mutuel, Unis pour toujours, toujours, la tendresse dans les yeux, Ce n'est qu'un rêve, peut être deviendra t'il réel.....
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Blog mis à jour le 07/02/2023 à 10:27:37
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