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Liens \ Textes
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A toi tu te reconnaîtras...tu es douce... tendre.... une douce émotion est née... elle vague sur une tendre rencontre... sur des mots qui se sont glisser entre ces pages blanches... qui ont les couleurs d'un regard et une tendresse infinie... tu me manques... ta présence me manque... mon coeur a le désir de se poser et de laisser les mots se glisser... le silence est parfois long mais tellement riche de cette rencontre... tu es toi... je suis moi... mon coeur à envie de se confier en toi... A toi... je t'embrasse
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Quel émoi !!! Qu'elles et moi Puissions partager des années, des mois De vous à moi Elles sont les plus beaux bouts de moi
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Beaucoup de femmes m’aiment et certaines le disent Dois-je voir chez elles pêché de gourmandise Non, elles ne m’aiment pas, mais au cœur de mes vers, Elles vivent mieux leurs rêves divers, même pervers. J’écris mille vers sages ou bien mille vers verts Vous seule choisissez ceux de votre univers. Venez donc me rejoindre là bas sous le couvert Que j’ouvre votre corsage pour un sein découvert Ma main caressera votre ventre satin Vous deviendrez féline et même un peu catin. Mais je pourrais aussi versifier romantique Vous réciter des vers et vous rendre amnésique. Je vous attends ma mie là-bas sous la charmille Pour voir votre regard caché sous la mantille Ce soleil fin d’été dans vos yeux amoureux Serait-il précurseur d’un cadeau merveilleux. Madame laquelle des deux de mes invitations Aimeriez-vous suivre sans poser de questions. Aucune ou bien les deux mais sachez le pourtant Ce n’est pas moi là-bas celui qui vous attend. Je ne suis qu’un poète et si je suis un homme Ce n’est pas avec vous que je croque la pomme Je dois bien vous l’avouer j’ai tout au fond du cœur Une femme une seule qui fait tout mon bonheur.
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Papy, papy, écoute moi comme je lis. Moi, je n’aimais pas lire, un papy m’a appris, Veux tu que je t’apprenne un peu à toi aussi. Ce n’est pas difficile, regarde, tu fais ainsi. Mais papy, tu sais lire, alors pourquoi dis moi Je ne te vois jamais dans mon école à moi. Tu vois, si tu voulais toi et même mamy, Vous pourriez remplacer notre papy qui lit. Oh papy dis moi oui, tu vois moi je voudrais Que plein d’papys lecteurs aillent dans les écoles. On apprendrait à lire de belles histoires drôles Comme celle d’Harry Potter assis sur son balai. Oh merci mon papy, de dire que tu viendras Bientôt dans les écoles faire lire tous mes copains. Et quand nous saurons lire, c’est promis tu verras, Nous serons de vrais hommes pour la vie de demain. Texte écrit pour l'association créèe par Alexandre Jardin « Lire et faire lire »
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Si un pauvre t’invite, surtout ne dis pas non Même s’il a presque rien, il te donnera tout. A la table des pauvres, le pain est toujours bon, Et si viande il y a, elle sera de bon goût. Je viens d’aller cueillir les légumes au jardin. Un peu de basilic, un brin de romarin, Une blonde paresseuse* au cœur bien craquant Et des tomates rouges qui ont ce goût d’antan. J’ai au garde-manger l’huile de l’olivier, Un vinaigre de noix qui est une splendeur. Nous avons de quoi faire chanter le saladier. Et pour clore en beauté ce refrain des saveurs, Goutte moi ce fromage survivant des burons* On va lui associer ce vieux Saint Emilion. *Pardonnez moi mesdames mais je ne parle pas de vous mais d'une variètè de salades *Les burons étaient (ils sont hélas presque tous disparus) de petites maisons qui servaient à loger les vachers s'occupant des troupeaux et à la fabrication du fromage (le Salers) lors de l’estive (mi-mai à mi-octobre).
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Blog mis à jour le 27/03/2023 à 21:06:07
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