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Les motards méritaient leur hymne de ralliement. Merci à Lady Anne de cette adaptation de l'oeuvre de Rouget de Lisle. Allons motards de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie ! Le rail de sécu sanglant est enlevé Entendez-vous dans nos campagnes Mugir ce féroce attentat ? Il vient jusque sur nos routes. Guillotiner vos fils, vos compagnes ! Aux armes motoyens, Formez vos bataillons Roulons, roulons Qu'un sang motard N'abreuve nos sillons Que veut cette horde de ministres, De traîtres, de policiers ? Pour qui ces peintures sinistres sur les routes sont destinées ? Motards, pour nous, ah! quel outrage Quels transports il doit exciter ? C'est nous qu'on ose sous-estimer De notre solidarité ne pas s'inquiéter ! Quoi ces graviers éparpillés ! Feraient la loi dans nos foyers ! Quoi ! ces flaques d'huiles mercenaires Terrasseraient nos motards guerriers ! Grand Dieu! par des routes enchaînées Nos casques sous le joug se ploieraient De vils despotes deviendraient Les maîtres des routes ensanglantées. Tremblez, Gayssot et vous perfides L'opprobre de tous les partis, Tremblez ! vos projets motaricides Vont enfin recevoir leurs prix ! Tout est motard pour vous combattre, Si elles tombent, nos belles motos, Le Japon en produit de nouvelle, Contre vous tout prêts à se battre Motard, en guerriers de la vie Portez et retirez ces guillotines ! Épargnez ces tristes victimes, Qui rendaient nos routes malheureuses Mais ces despotes sanguinaires, Mais ces complices de policier, Tous ces ministres qui, sans pitié, Déchirent le carénage du FZR ! Nous entrerons sur le circuit Quand nos aînés n'y seront plus, Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs burns Bien moins jaloux de les pourrir Que de partager leurs chronos, Nous aurons le sublime orgueil De les pourrir ou de les suivre ! Amour sacré de la Moto, Conduis, soutiens nos bras libérateurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tous tes deux roues ! Sous nos motos, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes rails expirants Voient ta Triumph et notre gloire !
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| Impression : Extraordinaire
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Dans son boudoir la petite Charlotte, Chaude du con, faute d’avoir un vit, Se masturbait avec une carotte Et jouissait étendue sur son lit. Refrain : Branle, branle, branle Charlotte, Branle, branle, ça fait du bien. Branle, branle, branle ma chère, Branle, branle jusqu’à demain. "Ah ! disait-elle, dans le siècle où nous sommes, Il faut savoir se passer des garçons. Moi, pour ma part, je me fous bien des hommes. Avec ardeur, je me branle le con." Alors sa main n’était plus paresseuse, Allait, venait, comme un petit ressort Et faisait jouir la petite vicieuse. Aussi, ce jeu lui plaisait-il bien fort. Mais ô malheur, ô fatale disgrâce, La jouissance lui fit faire un sursaut. Du contrecoup, la carotte se casse Et dans le con, il en reste un morceau. Un médecin, praticien fort habile, Fut appelé, qui lui fit bien du mal. Mais par malheur, la carotte indocile Ne put jamais sortir du conduit vaginal. Mesdemoiselles, que le sort de Charlotte Puisse longtemps vous servir de leçon ! Ah ! croyez-moi, laissez-là la carotte. Préférez-lui le vit d’un beau garçon.
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| Impression : Extraordinaire
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Blog mis à jour le 27/09/2023 à 21:18:50
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