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Bud - 886049

Nous ç Nous !


Raise your hands to the sky
Think to caress the birds
Up in the pastel blue
Be sure not to hit a "gratte-sky"
Sinon ça fait mal !

Nous c'est nous
Vous c'est vous et vous c'est nous

Si tu lèves les mains au ciel
Pense à caresser les hirondelles
Elles te donneront leurs ailes
Là-haut dans le bleu pastel
Fais gaffe de pas percuter un gratte-ciel

Bonjour les filles
Je m'appelle Paul
Je suis célibataire
J'aime beaucoup Paris
Et surtout, surtout la Place de la Concombre

Bonjour,
Je m'appelle Axel
Mais je suis célibataire
J'aime beaucoup les filles gentilles
Mais Maman ne veut pas que je fais l'amour

Nous c'est nous
Vous c'est vous et vous c'est nous
Si tu lèves les mains au ciel
Pense à caresser les hirondelles
Elles te donneront leurs ailes
Là-haut dans le bleu pastel
Fais gaffe de pas percuter un gratte-ciel

Nous on vous aime et si tu veux nous aider
Range ta haine, achète tous nos CD
Vraiment sans gène, on envahit la télé
Ca c'est un tube, et c'est Yeah !

Moi c'est moi
Toi c'est toi et toi c'est moi

Si tu plonges les pieds dans l'eau
Pense à caresser les cachalots
Tu vogueras sur les flots
Le grand bleu, tu sais, c'est beau
Fais gaffe de pas percuter un cargo

Je m'appelle Fernand
Je suis pas célibataire
Mais j'ai cinq enfants et un cocker (ouarf, ouarf)

Nous c'est nous
Toi c'est toi et nous c'est nous
Si tu lèves les mains au ciel
Pense à caresser les cachalots
Ils te donneront leurs ailes
Le grand bleu, tu sais, c'est beau
Fais gaffe de pas percuter un gratte-ciel

Nous c'est nous et moi c'est toi
Si tu plonges les pieds dans l'eau
Pense à caresser les hirondelles
Tu vogueras sur les flots
Là-haut dans le bleu pastel
Fais gaffe de pas percuter un cargo

Monday, April 17, 2006
2:00 PM

Auteur : La Bande du Carré Blanc

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Bud - 886049

Les 40èmes Rugissants


Là où le ciel rejoint la Terre
Se perd au ventre de la Mer
Là où l'Atlantide engloutie
S'endort dans un bleu infini
Aux quarantièmes rugissants

Là où les brumes de l'hiver
Se noient dans l'écume d'hier
Dérive l'âme des naufragés
S'échoue en Baie des Trépassés

Gronde le temps,
Souffle le vent sur l'Océan
Pousse l'ombre du Hollandais Volant
Gronde le temps,
Souffle le vent sur l'Océan
Porte le chant des marins mourants
Aux quarantièmes rugissants

Là où le vent devient sauvage
L'horizon dévore les nuages
Les courants fuyant le rivage
Entraîne les corps vers le large

Là où les vagues se déchirent
Brisent l'étrave des navires
Des sanglots lourds se font entendre
S'évanouissent au gris de Novembre

Saturday, April 15, 2006
10:07 PM

Auteur : Roselend

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Claudy - 1241248 

Charlotte


Dans son boudoir la petite Charlotte,
Chaude du con, faute d’avoir un vit,
Se masturbait avec une carotte
Et jouissait étendue sur son lit.

Refrain :
Branle, branle, branle Charlotte,
Branle, branle, ça fait du bien.
Branle, branle, branle ma chère,
Branle, branle jusqu’à demain.

"Ah ! disait-elle, dans le siècle où nous sommes,
Il faut savoir se passer des garçons.
Moi, pour ma part, je me fous bien des hommes.
Avec ardeur, je me branle le con."

Alors sa main n’était plus paresseuse,
Allait, venait, comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse.
Aussi, ce jeu lui plaisait-il bien fort.

Mais ô malheur, ô fatale disgrâce,
La jouissance lui fit faire un sursaut.
Du contrecoup, la carotte se casse
Et dans le con, il en reste un morceau.

Un médecin, praticien fort habile,
Fut appelé, qui lui fit bien du mal.
Mais par malheur, la carotte indocile
Ne put jamais sortir du conduit vaginal.

Mesdemoiselles, que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon !
Ah ! croyez-moi, laissez-là la carotte.
Préférez-lui le vit d’un beau garçon.



Friday, September 30, 2005
10:36 PM

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Bud - 886049

La grande malle


Je ferme la grande malle
Et tu sais bien pourquoi
Je repars en cavale
Car on m'attend là-bas

Et se gonflent les voiles
Il est temps de partir
Boucler la grande malle
Le cercle des désirs

Je laisserai pour mortes
Les années difficiles
Là où le vent me porte
Sans autre domicile

Est-ce que la vue des barrières
Emprisonne ou bien libère ?
Prête à boucler la grande malle
Quand ton amour
Quand ton amour fait mal
Si mal

Un enfant par la main
Me prêtera ses yeux
Quand je ne verrai rien
Du soleil plein les yeux

Et se gonflent les voiles
Il est temps de partir
Boucler la grande malle
Le cercle des désirs


Wednesday, May 18, 2005
10:31 PM

Auteur : Jil Caplan

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Blog mis à jour le 01/10/2023 à 00:00:25