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Ma vie était sans toi Telle un nuage gris, J'étais seule parfois Et mon coeur assombri. Et puis je t'ai connu, Ainsi, un beau matin, Comme un bel inconnu Debout sur mon chemin. Amoureux, pas à pas, Tu m'ouvrais le chemin; Moi je suivais tes pas Comme on suit son destin. Je marchais près de toi Sans m'éloigner d'un pas, Et mon amour pour toi Croissait à chaque pas |
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Merci pour ces mots que l’on aimerait savoir écrit pour soi |
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| Impression : Extraordinaire
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Isabelle Pourquoi tu nous as fait ca ?? Pourquoi tu es partie ainsi sans prévenir ?? Pourquoi tu n’es pas venue me voir ?? Pourquoi ??Pourquoi ?? Pourquoi ?? Isabelle Je comprends ton geste Je comprends ta douleur Je comprends ta souffrance Je comprends ton besoin de paix Isabelle Jamais je ne t’oublierais Jamais je ne laisserais ton fils Jamais je ne te pardonnerais Jamais je ne te condamnerais Isabelle Repose enfin en paix
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| Impression : Extraordinaire
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Tu ne serais pas une femme, Si tu ne savais pas si bien, Te faire et te refaire une âme, Une âme neuve, avec un rien. A ce jeu ta science est telle, Que chaque fois que je te vois, Tu fais semblant d'être nouvelle, Et j'y suis pris toutes les fois. Tu sais qu'à la fin tout s'use, Que notre amour est déjà vieux, Alors, tu triches, tu ruses, Tu viens avec d'autres yeux. Tu rajeunis sous des fourrures, L’éclat trop prévu de ta peau, Tu renais d'une guipure... Et puis, il y a tes chapeaux ! Je crois découvrir en toi quelque chose, De plus grave, de plus profond. Et c'est tout simplement à cause, D’un de ces grands chapeaux qui font, Les yeux plus noirs, les joues plus roses, Et qui cachent si bien les fronts ! Ainsi tu sais, femme mille fois femme, Dés que tu sens mon amour las, Te composer un parfum d'âme, Que je ne te connaissais pas. Alors, amoureux, je saccage, Tes lèvres de baisers nerveux. Je prends dans mes mains ton visage, Et je rebrousse tes cheveux .... |
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C'est beau :o} |
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J’allais le congédier Juste après ce dîner Mais j’hésitais encore J’étais trop omnivore L’heure n’était plus à voir Mais à prendre ou donner Et à cette heure du soir Tous trois voulions baiser Bien sûr j’aurais pu dire Avec juste un sourire Pardonnez moi jeune homme Il s’agit d’un huis clos Et pour croquer la pomme Je penche pour Lesbos. Gardez donc mes photos Pour décongestionner Par quelques vibratos Cette bosse exagérée Mon con disait pas non Devant cet étalon Un choix trop cornélien Il m’inondait les reins Faisait saillir mes seins Je voulais tout ou rien. Qu’allais-je décider Une femme dans mon lit Ou un homme et son vit Trois est un nombre entier. Alors j’ai murmuré Dans un spasme étouffé Je vous sens ombrageux Venez entre nous deux Laquelle d’entre nous Monsieur baiserez vous Laissez moi lutiner Ma tendre dulcinée Quand à vous soyez fou Mon sexe n’attend que vous. Dois-je me taire ou conter Cette folle chevauchée. Ce fut une tornade Chevauchée fantastique Aucune débandade Solide était la trique Nous fûmes mille fois comblées Honorées culbutées Il su bien pour nous deux Gardez raide l’épieu.
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Blog mis à jour le 07/02/2023 à 12:48:34
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