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Normalement, quand on franchit cette "barrière psychologique" l'angoisse s'installe sournoisement. Va-t-on trouver, retrouver un petit frisson d'intérêt pour une autre personne que nous même ? La période n'est pas rose sur le plan professionnel, les écrans bouffent une partie de notre sommeil, les individus des deux sexes et demi "s'assument très bien" dans la liberté qui nous emprisonne dans nos peurs. Bref reste-t-il un espoir pour cette génération qui connait trop bien la "pathologie des pouces" ? Est- ce une économie prévisionnelle de futurs chagrins ? Dites nous tout ce qui vous tracasse, nous nous chargerons de faire briller dans le ciel un soleil, de l'aube à minuit, où que vous soyez. |
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le monde est mal fait...plus on manque de souffle, moins on peut ranimer les braises de nos passions . heureusement, on a inventé le ventilateur |
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Garder son indépendance, son logement et son (ses) enfant(s) tout en ayant des amis (es) sans chercher à savoir si c'est de l'amour ou de l'amitié, qu'en pensez vous ? On prend et on rend sans obligation ce que l'autre veut bien nous offrir, sensuellement, culturellement ou matériellement (échange en bricolage, coup de mains) n'est ce pas la stabilité qui nous fait tant défaut parfois ?
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