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http://www.medicalnewstoday.com/medicalnews.php?newsid=31091
Citation:
Nanowires for detecting molecular signs of cancer
24 Sep 2005
Harvard University researchers have found that molecular markers indicating the presence of cancer in the body are readily detected in blood scanned by special arrays of silicon nanowires -- even when these cancer markers constitute only one hundred-billionth of the protein present in a drop of blood. In addition to this exceptional accuracy and sensitivity, the minuscule devices also promise to pinpoint the exact type of cancer present with a speed not currently available to clinicians.
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Les génériques tuent. Principalement chez les personnes âgées. Non pour leur composition, qui est peu ou prou la même que celle des princeps, mais parce que la plupart n'en ont ni la forme, ni la couleur, ni la taille. Bref, quand on prend 7 ou 8 médicaments, exactement ce qu'il faut pour se tromper.
D'autant que les génériques d'un même médicament chez différents laboratoires n'ont pas le même aspect entre eux, et qu'un même pharmacien change de fournisseur de générique au gré des conditions commerciales du moment.
Première idée pour corriger cette anomalie ( à supposer qu'elle ne soit pas voulue et ayant pour objet de soulager les caisses de retraite) : imposer que les génériques aient l'aspect du médicament original.
Interdit par le code de la propriété industrielle en Europe ! La présentation initiale est déposée. Pourquoi pas ?
Mais le scandale, c'est que le ministère de la santé s'en tient là et ne veut pas voir plus loin que le bout de son nez.
Quoi de plus simple en effet, quand un médicament tombe dans le domaine public, que d'imposer à la forme commerciale de sa molécule une forme, une taille et une couleur, et de dire que quiconque commercialise cette molécule devra s'aligner sur la présentation normalisée sans quoi la sécu ne remboursera rien ?
Domi a raison sur un point : nous sommes gouvernés par des nuls. Et ça commence à se savoir :
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Samedi 21-01, j'ai un truc qui me gratte sous la lèvre, c'est gênant.
Dimanche 22, ça enfle mais je ne touche pas : abcès ?
Lundi 23, 'taing ! j'ai mon côté droit de lèvre qui a doublé de volume. 
Je parle en sifflant en classe et mes collègues et élèves me conseillent de consulter.
Donc le lendemain mardi 24 janvier me voilà ressemblant à Homer Simpson, fiévreux et incapable de faire classe.
Herpès ?
Non pas : une "cellulite infectieuse" m'a sauté dessus à l'improviste.
Mais par bonheur il se trouve que je n'ai point besoin de faire classe, ce mardi 24 janvier étant dédié à la liaison Cm2-6 ème, et j'ai un remplaçant prévu.
Tout fiévreux que je suis et avec mes antibiotiques de cheval sous la main, je me rends sur mes pieds valides vers mon inspection pour démontrer que je ne pourrai pas fonctionner, pour une fois, ce qui est tellement rarissime que j'en ai oublié les modalités.
Bref, j'ai sauté une réunion. Mes élèves n'ont rien manqué.
Mon chef a fonctionné, lui aussi. 
Jeudi 26 j'ai crevé ce truc dégueulasse avec soulagement.
Tout va bien : je suis à nouveau en classe. Avec mon dos cassé, mais ça, ils en ont l'habitude.
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Blog mis à jour le 06/07/2022 à 11:01:22
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