|
Nous sommes six cœurs de plus pour t’aimer
Quand tu as vu le jour il y a 75 ans
Aurait-on pu s’imaginer
Que quelques années plus tard il y aurait ces enfants
Tu nous as ouvert la porte sur la vie
Même si nous oublions trop souvent
Que jamais ton amour ne nous a trahis
Nous t’aimons profondément
Nous souhaiterions être des enfants parfaits
Mais nous savons tous que cela n’arrivera jamais
Nous avons constaté tellement souvent
À quel point ton amour est grand
Bon anniversaire chère maman
Que la vie te porte au-delà du temps
Ce souhait est égoïste pour nous
Car nous aurons besoin de toi, pour toujour
|
|
|
|
la mienne
Tu m’as enseigné de si grandes choses
Que même la vie peut être noir ou rose
Mais c’est le regard que l’on pose sur elle
Qui souvent nous fait pousser des ailes
Il faut du courage et de la ténacité
Ça aussi tu me l’as montré
Grand-mère, femme tant aimée
Merci de m’avoir autant donné
Merci d’avoir su être là toi aussi, pour me montrer
Toute la puissance, du mot aimé
|
|
|
|
dame lune
Dame Lune, ce soir, je viens pour la toute dernière fois
Vous dire deux tout petits mots sur l'amour
L'amour que j'avais pour un homme
Que je pensais super
L'amour pour un homme
En lequel j'ai cru
L'amour qui maintenant n'est plus en moi
Loin de ressentir ce si doux sentiment
Que pour toujours j'ai eu pour lui
Ce soir, mes yeux se sont ouverts
Ce soir, ils ont pu voir quel genre d'homme
Il a toujours été
Dame Lune, voyez-vous cet amour
Qu'à un moment, il disait avoir pour moi
N'était que pour lui rien, mille fois rien
Ou alors qu'une petite question de se soulager
Se soulager parce qu'il n'avait personne d'autre sous la main
Dame Lune, ce soir encore plus que jamais il ne l'avait fait avant
Ce soir, il m'a montré ce qu'il y avait toujours eu dans ses pensées
Dans ses sentiments, dans sa tendresse qu'il disait avoir pour moi
Dame Lune, oui vous avez mille fois raison
J'ai été la plus bête des femmes de le croire
De croire en lui
De croire que d'aussi loin
Pour moi, il pouvait avoir un doux sentiment
Dame Lune, pour lui tous ces mots
Tout ses :o) n'étaient que mensonges
Que mensonges pour avoir ce qu'il voulait
Quand il le voulait
Dame Lune, sa voix encore résonne à mon oreille
Sa voix que j'aimais autant que lui
Sa voix si douce
Sa voix, comment la faire s'effacer aussi?
Il ne me reste qu'elle à présent comme souvenir de lui
Mais bien vite apprenez-moi à l'effacer
Dame Lune, ne me laisse plus jamais
Plus jamais reprendre par sa fausse amitié
Plus jamais reprendre par ses :o)
Ne me laissez plus avoir cette faiblesse pour lui
Dame Lune, aidez-moi
Je vous en prie
Je vous en supplie
À le détester
A ce qu'il ne soit rien pour moi
Comme je l'ai toujours été pour lui
Dame Lune accueillez mes pleurs
Séchez mes larmes
Apaisez encore la peine que j'ai ce soir
Encore ce soir comme bien d'autres soirs à cause de lui
Ouvrez-moi vos bras pour que je puisse
Appuyez ma tête contre votre épaule apaisante
Et y soulager ma peine et tout oublier
Dame Lune merci d'être là près de moi
|
|
|
|
Quelle joie tu m’apportes
Que de bonheur juste à m’endormir sur ton cœur
Je voudrais t’écrire des textes de toutes sortes
Pour arriver a t’exprimer tout ce bonheur
C’est ton anniversaire pourtant c’est moi qui reçois le cadeau
Celui de ta présence avec toi tout est toujours si beau
Tu illumines mes saisons
Tu embellis tout ce que je suis par ta passion
Merci semble si petit
Je voudrais que tu saches l’importance que tu as pour moi
Que sans toi je n’imagine pas une partie de ma vie
Mon doux cœur que j’aime tant merci d’être simplement
toi |
|
|
|
Les orages font moins de bruit
Quand tu es prêt de moi
Le ciel n’est jamais aussi gris
Quand tu me sers dans tes bras
Si jamais on me fait de gros chagrins
Je sais que je peux compter sur toi pour me tenir la main
Si j’ai besoin de tendresse
Je pose ma tête sur ton épaule j’en ressens tout l’allégresse
Je t’aime pour ces mots que tu dis
Pour ceux que tu tais
Pour ceux que tu penses
Pour ceux que tu promets
J’ai tant de raisons de t’aimer
Elles sont au fond de moi bien accrochées
Je t’aime comme un besoin de respirer
Je t’aime sans pouvoir m’en lasser
|
|
|