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Deux mots pour une meilleure lecture du texte. Lorsqu'un homme est marié, bien marié, il pense être invicible, tel Hercule. Et quand le divorce intervient, il se trouve terrassé, à la porte de ses sentiments: Un clochard de l'amour, rongé par la mort de son couple. T v'là partie, ma pauvre môme! Nous étions heureux autrefois... Te v'la partie ? Tout seul en somme, Moi j'reste seul sans feu ni toit. Tout seul ? Mais non, ce n'est qu'un rêve, un rêve mauvais qui demain, car tout d'suite j'ai la fièvre, je le sens bien rien qu'à ma main, ma main qu'est chaude et mon front brûle.. Oui, j'sens bien que j'vas pleurer ! C'est stupide que ton Hercule ne sache plus comment te parler. J'disais bien que c'n'est qu'un songe qui va se dissiper bientôt. Ecoute, réponds moi, j'me ronge à te r'garder comme un idiot. T'es toute glacée, toute raide, t'as même pas bien fermé tes yeux mais j'te vois belle et t'étais laide et tu m'fais peur, peur, peur, mon Dieu ! Ah là là, comme t'as pas bonne mine ! ferme donc tes yeux que je ne vois plus ce regard éteint qui me mine, tu le vois bien, j'suis tout ému ! Et puis merde ! Aprés tout j'suis bête de pleurnicher comme un marmot, pourtant c'est vrai que j'te r'grette, que j'te pleure, Ah, c'que j'suis sot ! Hier encore, tu m'appelais "mon homme", tu me disais "va je t'aime bien". T'étais bien fidèle pauvre môme, fidèle comme un petit chien. Jamais pourtant un sou en poche, toujours la vermine, la faim. Ah, que la vie a pu être moche, c'était dur pour gagner son pain ! Mais on cassait quand même la croute, bien plutôt mal que plutôt bien. les gueux, les clochard, on s'en doute ils mangent de peu, de presque rien. juste de quoi remplir le ventre, juste un petit rien du tout, il fallait bien s'démmerder diantre, un sac qu'est vide, y tient pas d'bout ! Mais maintenant, que faut-il faire ? J'suis planté là, tout hébété. J'vas t'réciter une prière si j'men rappelle ! Ah, c'est pitié Bonne Mère que j'sache plus c'que tout enfant je récitais comme un potache lorsque j'étais p'tit communiant ! Ah, v'la ma môme, j'me rappelle. Notre père qui êtes aux cieux Rappelez moi donc. Tout comme elle j'commence à m'faire bien vieux, et puis tout seul, j'saurais rien faire, j'pourrais plus chercher mes poux. Je perds la vue, elle n'est plus claire, d'mourir tout d'suite me s'rait si doux. Notre Père, recueillez mon âme, je vous la rends, j'suis bon chrétien. Je n'peux plus vivre sans ma femme, sans elle sur terre je n'ai plus rien. Alors mon Dieu, je me supprime. Soyez bon pour moi, bon Jésus. Je sais que j'vas commettre un crime mais j'peux plus vivre, je n'veux plus. |
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J'écris avec ma tête Qui tombe sur mon bloc Note à idée de séduction... J'écris avec mes larmes L'harmonie de nos deux corps Désaccord... Et les quelques lettres De ton prénom... J'écris avec ma tête Qui tombe sur mon bloc Note à idée de séduction... J'écris avec mes larmes L'harmonie désaccord... De nos deux corps sans solution... J'écris dessus mon bloc Note à idée de séduction... Un air clé de sol sur du violon...
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T'étendre prés de moi T'étreindre de mes bras Les bougies caressant les reflets de ta peau Te parcourir du regard sans un mot Lentement, me pencher vers toi Effleurer doucement tes lèvres Me laisser gagner par l'émoi De ton souffle palpitant Caressant ta peau veloutée Ton corps, généreux de volupté Va et vient vers moi Sous la chaleur de mes doigts Ma langue brûle doucement les chemins Me menant à tes seins Ces deux collines merveilleuses Pointues et généreuses Ton corps est cette plage Que des vagues viennent lécher Un superbe paysage Que j'aime contempler... J'explore cette île inconnue Survolant une foret vierge et touffue M'attardant sur les plaines, les monts, les vallées Te parcourant de caresses et de baisers Bientôt envahie de secousses séismiques D'un volcan aux grondements frénétiques La terre s'ouvre peu à peu au passage D'une source chaude et suave J'étanche ma soif et ton envie Dans une grotte chaude et pleine de vie La source semble ne pouvoir se tarir Coulant au rythme de ton désir Je me fonds en toi avec volupté Jusqu'à ton cri de satiété Et je m'allonge sur cette île mystérieuse Source de plaisirs... Merveilleuse...
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Quand l'anonyme et l'inconnue se confondent dans des mots... Moi je trouve ça beau C'est déroutant Un peu comme des mots d'enfants Un peu comme un jeu troublant C'est comme ça que tu m'as eu C'est comme ça que je t'ai crue Quand l'anonyme laisse devant l'abîme Quand l'inconnue Laisse à nue Comme une course ininterrompue Apres tes mots...rien qu'un mot Je lis, tu lis...il lit Elle relit... Et c'est la mélodie de tes mots à mes mots De mes paroles qui volent Vers ton coeur Sans plus d'heures;. J'ai la nausée de cette course folle Où je ne peux pas t'attraper Et l'anonyme et l'inconnue Se sont croisés dans cette rue Sans même s'apercevoir... Comme tout l'histoire est dérisoire... Les mots sauvent de l'oubli Mais pas de la folie Mes mots anonymes voudraient Recueillir ton corps inconnu
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| Impression : Extraordinaire
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Je regardais le ciel, Qui était bleu, Bleu comme l'océan. Au-dessus de moi, Volait un oiseau, Qui chantait. Je m'endormis. Je vis un papillon, Qui faisait autour de moi, Un joli rayon. Ce joli rayon, M'emmena dans le ciel, Au-dessus de l’arc-en-ciel, Où je vis, Une flèche, Qui me dirigea, Auprès d'un Ange. Et cet Ange, Qui me rend, Parfois étrange. Au-dessus de moi, Brillait mille étoiles, étincelantes. Et je me réveillais Ce n'était qu'un rêve.
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| Impression : Extraordinaire
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Blog mis à jour le 04/06/2023 à 08:36:02
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