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Mon ami va mourir
Mon ami le savant
Il décide mourir a ses 70 ans
Il ne mange pas
il ne lit pas les derniers jours
Il était un homme qui lisait
un livre par jour: roman, poesie
essaie, il est professeur de
littérature, avec une connaissance si grande, monumentale, qui traversait les mers et les montagnes.-
On voulait parler avec lui pour
savoir encore plus des choses.-
Il était généreux en donnant sa sapience, il est un homme cabale,un chevalier.-
Je ne veux penser a un monde sans lui, c*est tres douloureux, c*est le néant.-
J*espere une énérgie sublime pour le sauver, je l*espere.- |
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Le jour avant d*une bioptie
la pensée vole se questionnant
tant de choses.-
Un peu de peur, un peu de
curiosité, si c*était déja la fin...
si c*est une épreuve de la nature.
de la vie, du ciel , des ancetres...
Moi, dans ce moment je suis plus
sérieuse, je veux trouver quelque
poésie, quelque chanson pour me
saisir.-
Je regarde ma petite chienne noire
a coté de moi toujours,elle ne sait
rien , je ne veux la préoccuper
Je désire l*aube a ma faveur, les étoiles
brillantes et la paix dans mon coeur
sans aucun cauchemar dans mes revés.- 
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Mon amour est malade, j*ai peur
pour lui, j*ai peur pour moi.-
J*ai peur de n*entendre sa voix.
de n*avoir ses messages, ni
des textos.-
J*ai peur, mais il dit de se battre
tout le temps, et je le crois,
car moi je suis sa camarade.
son amour dans l*automne de nos
vies, rencontrés par toujours.-
J*ai peur , mes larmes coulent
par mon visage, mais il ne doit
me voir ainsi.-
J*ai peur , il se battra et moi aussi.-
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Quand la nuit fait le silence
des inconnus,désolés par le monde.
Détruits par la famine
seuls de toute solitude.
Je pense a toi,mon amour.
tu es lointain, en m*attendant
la vie sépare ceux qui s*aiment
dit la chanson.
Et moi aussi, je t*attends
Mon coeur qui bat tres chaud;
l*image de ton corps
mince, en courant par la campagne
le dernier jour de notre rendez vous
Les arbres fleurissaient avec passion.
Tu me disais :"Je t*aime"
en fermant mes paupieres a cause de baisers
si doux, que mes larmes aujourd*hui
ne comprennent pourquoi
tu m*as quitté
tu m*as oublié
toi, hors de mon coté.
Je deviendrai muette .
je ne prononcerai a jamais ton prénom.
L*automne a pris mon ame.
Mon sang est depouillé
de sa force si rouge
j*hurlerais aux montagnes
comme une louve en rage.
Sans manger et sans boire
j*espere que la mort
ferme aujourd*hui mes yeux.
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Mon amour tu es mon bienaimé.
Tu dors a mon coté et je regarde
ton front, tes yeux fermés
dont les reves remplissent ton ame
d*une fraicheur et une joie partagé
par mon coeur.
Oh mon amour je t*aime dans ce présent
qui grandit chaque nuit .
Tes bras serrent ma taille doucement
et moi aussi je ferme les yeux
pour soutenir cet amour qui resplendit
pendant la nuit, pendant le jour
pendant les années.
Magnolia |
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Blog mis à jour le 23/09/2023 à 00:42:38
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