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"Nous sommes désolé mais le site Affection.org est temporairement indisponible. Celà peut avoir plusieurs raisons. Il peut y avoir trop de personnes qui essayent de l'utiliser en meme temps ou alors nous sommes en train d'effectuer une opération de maintenance ( sauvegarde, remplacement de serveur, etc...). Essayez de nouveau dans quelques instants, le site devrait de nouveau être disponible" Je suppose que de la part des organisateurs du serveur, c'est du comique de repetition. Six fois de suite alors qu'on vient de se donner le mal d'ecrire une contribution de trois pages, c'est pourtant pas cool. La moindre des choses serait que le serveur previenne avec 10 minutes d'avance, quand il fait une telle "operation de maintenance" Paganel pas content |
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Mesdames, pardonnez-moi, cette histoire est un peu misogyne: Les épouses d'un sultan logeaient dans un harem qui se situait à 80km environ de son palais. Chaque soir - ce sultan était vigoureux - il envoyait son chauffeur chercher l'une de ses épouses selon son souhait du moment, et le chauffeur revenait avec l'épouse demandée. Puis, au petit matin (ce sultan menait sa vie tambour battant), il raccompagnait l'épouse et revenait au palais. Ce sultan est mort à l'âge de cent cinq ans. Mais tous les chauffeurs décédaient vers la quarantaine. Moralité de cette histoire: Ce ne sont pas les femmes qui vous tuent, c'est le fait de courir après |
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Un paysan montait une côte à pied en menant par la bride son cheval tirant une carriole. Arrivé en haut de la côte, qui était sacrément esarpée, il enlève sa casquette, souffle un peu, et s'exclame: - Acré vains guieux, j'avions jamais vu une côte aussi rude! Le cheval répond "Moi non plus". Le paysan : - Quoi ? Mais c'est bien la première fois que j'entendions parler un cheval! La carriole répond: "Moi aussi".
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... un client payait chaque matin le sien au comptoir d'une étrange façon : un franc tout à un bout du comptoir, un franc tout à l'autre, et un au milieu, devant lui. Le patron n'aimait pas trop cette singularité, mais un client est un client, et les clients réguliers, il faut les accepter comme ils sont, sinon ils vont en face. Mais il n'en pensait pas moins. Un jour, notre homme paie son café avec une pièce de cinq francs. Le patron, ravi, lui rend ses deux francs de monnaie : une pièce à chaque bout du comptoir, et hop! Notre homme boit son café. Puis il sort une pièce de 1 franc de sa poche, la pose sur le comptoir devant lui, et dit "Un autre, s'il vous plai!". |
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Blog mis à jour le 01/06/2023 à 10:58:21
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