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Un jour tu verras On se rencontrera Quelque part, n'importe où Guidés par le hasard Nous nous regarderons Et nous nous sourirons Et la main dans la main Par les rues nous irons Le temps passe si vite Le soir cachera bien Nos cœurs, ces deux voleurs Qui gardent leur bonheur Puis nous arriverons Sur une place grise Où les pavés seront doux A nos âmes grises Il y aura un bal Très pauvre et très banal Sous un ciel plein de brume Et de mélancolie Un aveugle jouera D'l'orgue de Barbarie Cet air pour nous sera Le plus beau, le plus joli Puis je t'inviterai Ta taille je prendrai Nous danserons tranquilles Loin des bruits de la ville Nous danserons l'amour Les yeux au fond des yeux Vers une fin du monde Vers une nuit profonde Un jour tu verras On se rencontrera Quelque part, n'importe où Guidés par le hasard Nous nous regarderons Et nous nous sourirons Et la main dans la main Par les rues nous irons
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Il y a de la musique dans les haut-parleurs Tu m'embrasses au milieu des danseurs Et c'est moi le roi du bal Moi qui n'étais qu'un petit Mickey Oh yé {Refrain:} Tu me fais planer Tu me fais planer Tu me fais planer, oh yé J'ai bien vu le chanteur de rock au bord du podium Il te dévisage au maximum Mais je sais que tu t'en fous Je suis comme un paon qui fait la roue Oh you {au Refrain} Ton amie Chantal n'a trouvé personne Mon frère et ses copains font les cow-boys au bar Nous on est tout seul à deux mètres au-dessus du sol Tout s'éteint c'est trop bien de danser dans le noir Tu me fais planer Tu me fais planer Tu me fais planer, oh yé oh ad lib
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J'ai mon rhumatisme Qui devient gênant. Ma pauvre Cécile, J'ai soixante-treize ans. Je fais d'la chaise longue Et j'ai une baby-sitter. Je traînais moins la jambe Quand j'étais chanteur. J'avais des boots blanches Un gros ceinturon Une chemise ouverte Sur un médaillon. C'était mon sourire Mon atout majeur. Je m'éclatais comme une bête Quand j'étais chanteur. Un soir à Saint-Georges, J'faisais la kermesse. Ma femme attendait Planquée, dans la Mercedes. Elle s'est fait j'ter dans l'Indre Par tout mon fan-club. J'avais une vie d'dingue Quand j'étais chanteur. Les gens d'la police Me reconnaissaient. Les excès de vitesse, J'les payais jamais. Toutes mes histoires S'arrangeaient sur l'heure. On m'pardonnait tous mes écarts Quand j'étais chanteur. Ma pauvre Cécile, J'ai soixante-treize ans. J'ai appris que Mick Jagger Est mort dernièrement. J'ai fêté les adieux de Sylvie Vartan. Pour moi, il y a longtemps qu'c'est fini. J'comprends plus grand'chose, aujourd'hui Mais j'entends quand même des choses que j'aime Et ça distrait ma vie. Pour moi, il y a longtemps qu'c'est fini. J'comprends plus grand'chose, aujourd'hui Mais j'entends quand même des choses que j'aime Et ça distrait ma vie
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{Refrain:} O la vie la vie la vie la vie Si belle soit la vie c'est une tombola Mais la vie la vie la vie la vie Si moche soit la vie c'est un joli combat O la vie la vie la vie la vie Si belle soit la vie c'est une corrida Mais la vie la vie la vie la vie Si moche soit la vie c'est du beau cinéma Je fais ma route Tu fais ta route Chacun de son côté Je fais ma guerre Tu fais ta guerre Chacun de son côté Je te ressemble Tu me ressembles Nous restons toujours ensemble Cela me semble l'unique vérité {au Refrain} Je fais mes rêves Tu fais tes rêves Chacun de son côté Je fais ma place Tu fais ta place Chacun de son côté Je veux te plaire Tu veux me plaire De nos vingt ans à nos poussières C'est la prière l'unique vérité {au Refrain, ad lib}
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Je débarquais à n'importe quelle heure On cuisinait, on dînait tous les trois Vous aviez l'air d'un couple sans problème Je vous aimais, elle, aussi bien que toi Avec le temps je suis venu pour elle Tu n'as rien vu mais j'étais amoureux Elle attendait que je parte avec elle Il a fallu te rendre malheureux {Refrain:} Je pense à toi Souvent je crois t'entendre Me dire que chez toi C'était aussi chez moi Je pense à toi Tu ne dois rien comprendre Tu dois être abattu Terriblement déçu Tu me disais que j'étais son grand frère Je m'asseyais au bord de votre lit En vous quittant j'éteignais la lumière Et finalement je prenais mon taxi J'imaginais que j'étais à ta place Je me sentais horriblement gêné J'avais du mal à te parler en face J'avais envie de tout te raconter {au Refrain} J'ai beau chercher me trouver des prétextes Je sais très bien que rien ne tient debout Mais on était toujours ensemble ou presque Même à Noël en pendant le mois d'Août Bien entendu quand on est aussi proche Ces choses-là sont forcées d'arriver Ce n'est qu'après qu'on se fait des reproches Je ne vis plus depuis qu'on t'a laissé {au Refrain, ad lib}
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Blog mis à jour le 02/04/2023 à 11:06:58
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