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cinthya francine - 1507941
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Blog \ Textes \ Chansons   Tous ses textes


je t'aime encore........


Ici l'automne chasse un été de plus
La 4L est morte, on a repeint la rue
Elisa a deux dents, petit Jean est grand et fort
J'apprends la guitare... j'en suis à trois accords

J'ai trouvé des girolles au marché ce matin
J'aimerais vivre à Rome... oh j'aimerais bien
J'ai planté des tulipes, mais elles tardent à éclore
C'est tout je crois... oh oui : je t'aime encore

Mais où es-tu ?
Si loin sans même une adresse ?
Et que deviens-tu ?
L'espoir est ma seule caresse

J'ai coupé mes cheveux... enfin dirais-tu !
Ça m'a fait bizarre, mais j'ai survécu
On m'invite, on me désire
Et je danse et je sors
Mais quand je danse.... je t'aime encore

Mais où es-tu ?
Si loin sans même une adresse ?
Et que deviens tu ?
L'attente est ma seule caresse

hmmmm hammmmm

Et je t'aime encore
Comme dans les chansons banales
Et ça me dévore
Et tout le reste m'est égal
De plus en plus fort
A chaque souffle
A chaque pas
Et je t'aime encore
Et toi tu ne m'entends pas....

Saturday, September 23, 2006
1:42 AM

Auteur : céline dion

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l'été indien.,..


récité)
Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C'était l'automne, un automne où il faisait beau
Une saison qui n'existe que dans le nord de l'Amérique
Là-bas, on l'appelle l'été indien mais c'était tout simplement le nôtre
Avec ta robe longue tu ressemblais à une aquarelle de Marie Laurencin
Et je me souviens, je me souviens très bien de ce que je t'ai dit ce matin-là
Il y a un an, y a un siècle, y a une éternité

REFRAIN:
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien

(récité)
Aujourd'hui, je suis très loin de ce matin d'automne mais c'est comme si j'y étais
Je pense à toi - où es-tu, que fais-tu, est-ce que j'existe encore pour toi?
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable et je me souviens
Je me souviens des marées hautes, du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité, un siècle, il y a un an

REFRAIN

Saturday, September 23, 2006
1:39 AM

Auteur : joe dassin

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Blog mis à jour le 04/06/2023 à 10:00:34