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Pour tous ceux qui dorment, En plein jour... Pour tous ceux qui sont, Vêtus avant le temps, D'une robe blanche de la mort. Pour tous ceux qui rêvent, D'atteindre l'amour... Pour tous qui cherchent La cité parfaite du bonheur. Pour tous ceux qui manquent, D'un complément âme au coeur. Je dédie ce petit mot: Chantez vos jours, La vie appartient à ceux qui, N'ont rien d'autre que le bonheur. |
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Le temps passe,passe Rien ne s'éfface Et je pense à toi Tu venais du François De la Martinique Soleil éblouissant La mer magnifique Ton île aux fonds blancs Le temps passe, passe Et je me sens lasse D'attendre que passe La douleur, l'espace Pourquoi ce fusionnel Cette chose cruelle Tu es au ciel Plus rien n'est pareil Le temps passe passe Et je me sens lasse Je t'aimais tant,et tant On parle de deuil quand Quand je me fais suivre On me dit de vivre D'avancer,de rire Pourtant je dois dire Que malgré tout ce temps Passant si lentement Je pense à toi souvent Et je t'aime Maman. (Comme des fleurs que l'on pose sur une tombe,je mets un poème,le jour de la naissance de ma mère, habituellement le 8 mai,ou de son départ,le 3 avril, malheureusement,il n'avait pas été enregistré,par beaucoup d'affection, j'ai refait, celui ci,en mémoire de ce jour )
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tu n'es rien ça c'est bien vrai bon à rien, à tout mauvais. pantalon louche portes-tu une couche sur ton c.l ? ton crane nu un vrai chimio non tu t'es vu ? un rigolo. c'est mon fric que tu veux ? mais le hic hé morveux j'ai nada... un portable d'autrefois pas banquable. vas y ouais continue t'es un vrai trou du c.l ah mais le con y m'a planté une lame à fond je vais crever...
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Pendaisons des chatons de noisetiers guettant la brise pour les féconder. Ajoncs aux senteurs de noix de coco, bardés d'épines pour l'ancien assaut des chèvres et des moutons en liberté… Plus de landes, mais pins dégingandés, aux tapis d'aiguilles couleur sépia. Bourdons précoces sur le mahonia, ruisselant de ses fleurs enivrantes. Masque de fragrances entêtantes, du daphné poison aux fleurs étoilées. Aux détours des vignes, les jets d'osiers flashant la nudité hivernale des ceps taillés à la saison glaciale. Blancheur imprudente de l'amandier, bel ignorant des tardives gelées. L'extase exotique des mimosas d'Océanie se jouant des frimas. Les abeilles ébouriffées se posent sur la bruyère déjà éclose. j'aime vos persistances timides, vos survivances aux froids humides… Que vous êtes belles, ô floraisons aux clairs redoux de nos hivers bretons
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Quoi d'neuf ? peur et envie dans le cerveau Mon cœur qui balance comme autrefois. Voici que nos routes se croisent à nouveau, Sur le noir bitume où je reste coi. De m'approcher tu as eu le courage. Dans le tohu bohu de mes pensées, Je suis à l'arrêt, mon corps en blocage… Gentiment tu me charries d'amitié. Au fait qui a pris de l'autre la main ? Qu'importe, ce fut magie, émotion. Prends garde malheureux! gare à demain! Elle est à cent lieues de ta dévotion. Va inviter d'illustres inconnues, Evite la tout doux, avec adresse Qu'elle ne puisse croiser ton œil ému, Et bien vite chasse ton ivresse… Chemin du retour, où il me revient Un bel été, un feu d'artifices, Sans la crainte alors, de saisir ta main, Au creux d'une obscurité complice Tu l'as retirée comme une brûlure La honte et la peur en attitude: Ta vie n'était pas une sinécure, Je t'aimais avec mansuétude. Malgré tout j'ai le souvenir doux amer Qui date de ce beau crépuscule: Des reines marguerites en parterre Eclairaient un jardin minuscule. Je n'oublierai jamais leur lumière… D'autres marguerites, que j'ai plantées En souvenir, s'élevaient altières. Mais sans l'amour étaient désenchantées Je sais que je ne reverrai jamais Leur blancheur, éteinte par la raison. Comment oublier combien je t'aimais Mon cher printemps, ma folle déraison ?
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Blog mis à jour le 01/06/2023 à 11:00:08
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