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Avec vos amis vos voeux trouveront leur accomplissement. ils sont le champ que vous ensemencez avec amour et moissonnez avec gratitude. et ils sont votre table et votre feu. Car vous ne craignez pas de vous présenter devant eux avec votre faim et cherchez l'apaisement en leur compagnie. Lorsque un ami révèle le fond de sa pensé, vous ne craignez pas de l'écouter ouvertement, sans craindre de vous fermer à ce qu'il vous dit, et vous n'avez pas peur d'aller vers lui avec le ""oui"" de l'assentiment. Et lorsqu'il est silencieux, votre coeur est encore à l'écoute de son coeur. Car en amitié, les pensées, les désirs et les attentes sont donnés et partagés sans paroles, avec une joie discrète. Quand vous devez vous séparer de votre ami, ne soyez pas affligés; car ce que vous aimez le plus en lui pourrait vous être révélé encore plus clairement en son absence, comme la montagne que l'on escalade apparaîtra plus clairement depuis la plaine. Que le meilleur de vous-même soit pour vos amis. Si vous leur faite connaître vos revers de fortune, faite-leur connaître aussi vos succès. Que faites-vous de l'amitié, si vous ne cherchez vos amis que pour tuer le temps?.. Recherchez plutôt leur compagnie pour faire vivre les heures. Car il leur incombe de combler vos besoins, mais non pas votre vacuité. Et dans la douceur de l'amitié réservez une place pour le rire et une place pour le partage des plaisirs. Car c'est par la rosée des petites gentillesses que le coeur redevient matinal et se rafraîchit pour ma tres chére: chris. eulalie.  |
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un brave trouva un jour un oeuf d’aigle et le déposa dans le nid d’une « poule de prairie ». L’aiglon vit le jour au milieu d’une portée de poussins de prairie et grandit avec eux. Toute sa vie l’aigle fit ce qu’une poule de prairie fait normalement. Il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture. Il caqueta de la même façon qu’une poule de prairie. Et lorsqu’il volait, c’était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine. Après tout, c’est ainsi que les poules de prairie sont censées voler. Les années passèrent. Et l’aigle devint très vieux. Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage. S’élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants, faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées. « Quel oiseau splendide! » dit-il: notre aigle à ses voisins. « Qu’est-ce que c’est ? » « C’est un Aigle, le roi des oiseaux, » caqueta sa voisine. Mais il ne sert à rien d’y penser à deux fois. Tu ne seras jamais un aigle. » Ainsi l’aigle n’y pensa jamais à deux fois. Il mourut en pensant qu’il était une poule de prairie. ------------------------ Sommes-nous tous des poules de prairie ? Je le crois sincèrement. Dans tous les domaines, nous nous limitons nous-mêmes sans le savoir. Pour ceux qui croient en Dieu, c'est une injure à notre créateur, qui nous a fait à son image. Pour ceux qui n'y croient pas, c'est un gâchis que rien ne justifie. Texte reçu par ma chère amie eulalie! |
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Poison pire que mortel, toi qui me tenait en tutelle, Tu aimais me crever le coeur jouissant de mes querelles. Cesse de manger le bonhomme afin qu'il ne déraisonne, Aujourd'hui, vipère, je passe corde à ton col, je te désarconne Parcequ'il n'a su apprécier l'Amour Amitié, l'Amour fidélité Il a vu sa belle s'éloignée . Mes jours s'en sont allés errant à la porte du néant, Comme un poing en pleine face les maux se sont faits délirants. Tant fut la flamme en nous deux réciproque Ton feu mourrant le mien suffoque. Mais la Belle est là qui m'invite à l'Amour Mon coeur au repos, mon ame en silence, J'écoute ses cris, rebelle elle me veut sans démence Son etre à parler le soleil se lève sur mes jours. Jalousie, reine des maux j'en ai le deuil et toi ma Belle la joie De mes ailes déployées je t'espère heureuse dans mes bras. J'ai recu ce texte de Mon Ange ( JF) Merci mon coeur je te félicite et te pardonne car la jalousie est un poison qui entache les sentiments et de toute façon elle n'a aucune raison d'être !
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Pour une fois je mettrais ici un texte qui n'est pas de moi et que je dédie à un ami trés cher
Une heure impossible à vivre quand mon cœur ne bat plus Une lueur impossible à suivre quand son corps est ému Et boire l'amour à genoux Dans ces jardins de caresses, le sentiment devient fou Civilisez l'esprit et laisser le corps devenir sauvage Laisser moi vivre avec elle, on aborde mon rivage Et vivre ces mots avec amour Dans ces parfums de tendresses, le poème devient court J'ai pas su rêver de la réalité C'est après minuit que l'amour à pris ma vie J'ai pas su rêver de la réalité C'est au petit matin que l'amour s'en est aller au loin Nous ne savons même plus exprimer ce que l'on ressent Un carnaval coloré à l'égard de nos sentiments Et danser tout autour de l'amour Dans ces gracieuses délicatesses, la plaisanterie devient flou Démons à cœurs ouverts, l'amour aux revolvers Chante un requiem pour toi et moi L'enfer devrait s'y plaire, l'amour à dû s'y faire {Chœurs : l'amour à Lucifer} Même si je t'aime je porte le deuil en moi Démons à cœurs ouverts, l'amour au dépourvu Mime un thème pour toi et moi L'enfer devrait se taire, l'amour a disparu Même si je t'aime, je n'oserais plus Aimer, aimer, aimer, aimer... Un espoir terrible à vivre quand la peur me tue Un soir ou l'amour est ivre à jouer des jeux défendus Quand est-il de ces jardins, ou je devais devenir fou Au fond je vois quelqu'un, mais ce n'est qu'une ombre au rendez-vous. ********************************************* Démons à coeurs ouverts Paroles et Musique: Elliott Égalite Saint-Pi 1992 "La partition désaccordée" © Aveugle & Sourd
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Très beau ton dernier poème, très touchant, petit ange, petit coeur.
Pour me faire pardonner de t'avoir un peu délaissée dans ce palais, pour me faire pardonner de m'absenter, plutôt que de partir, je te dédie ces modestes lignes,pas vraiment un poème mais, peut-être, un nuage de poésie. Je sais qu'elles trouveront un écho en ton coeur.
Te souviens-tu, amour De nos regards si noirs Identiques miroirs D'une passion masquée Et qui, à notre insu Encroisaient le tissu D'un destin partagé Te rappelles-tu d'un jour Jardin du luxembourg Où sur un banc brisé Des feuilles de peuplier Flottaient sur un baiser Si fou, inattendu Comme un fruit défendu N'as-tu pas oublié Le décor d'un café Rue de la Tombe-Issoire Où, là, bien à l'écart Nos mains se sont frôlées Avant de se croiser Nouvelle union d'un soir Et nos premières balades Marchant d'un même pas Marchant d'un même coeur Vers des quartiers d'aubade Vers des lieux de douceur Où le jour se fait nuit T'en souviens-tu, dis? Et de tous ces voyages Avec pour seul transport La beauté d'un visage La chaleur de deux corps Découvrant, attendris Des plaisirs inconnus De chair et de vertu Te souviens-tu encore Des heures de l'aurore Où, d'un désir commun Nous chevauchions enfin Des rêves alanguis S'échouant sur une plage De cris rauques et sauvages T'en souviens-tu? Je sais...moi, oui
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Blog mis à jour le 29/05/2023 à 23:31:58
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