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Tu es l'homme dont je suis amoureuse. Tu fais de moi la femme la plus heureuse. Tu es toujours là pour moi Tu m'aides à garder la foi et l'espoir Avec toi je n'ai point besoin de fard Tu sais partager mes folies et mes joies. Toi seul sait deviner mes soucis Quand je ne suis pas bien dans ma peau Toi seul sait trouver les mots qu'il faut Pour me réconforter lorsque je faillis. Toi seul connaît tous mes secrets Tous mes visages, tous mes vices Toi seul peut supporter mes caprices Me comprendre et me pardonner. Toi seul discerne mes désirs Et tu me combles au-delà de mes espérances Par ton charme, ta patience et ta tendresse Tout mon être et mon amour tu as su conquérir. Tu es mon homme, mon héros, mon fanion Mon trésor, ma muse, ma passion Je te désire, je t'admire, toujours je te soutiens Tu es l'homme que mon coeur a élu pour souverain. Tu es mon homme, mon allié, mon compagnon Mon rocher, mon refuge, ma maison Celui qu'il me faut le seul homme dont j'ai besoin Tu es mon homme, mon amour, ma vie, mon destin !
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| Impression : Extraordinaire
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Je n’aime pas Lucien, le chat de mes voisins, Mâtiné abyssin son pelage est commun, D’un vulgaire gris souris, il ressemble à un rat Et est fort malpoli, voyez plutôt le cas : Chaque matin, Lucien, visiteur clandestin, Passe dans mon jardin pour faire ses besoins, Quand il prend position, posé sur mes radis, J’ai la puissante envie de sortir mon fusil ! J’ai beau battre des mains, menacer d'un gourdin, Mes gestes restent vains, il sait rester serein ; Si, à l’heure qu’il est, il est toujours en vie C’est parce que je n’ai jamais eu de fusil ! Je n’aime pas Lucien, le chat de mes voisins, Mâtiné abyssin son pelage est commun, D’ailleurs, en vérité, c’est le mot de la fin : Je n’ai pas d’amitié, non plus, pour mes voisins....
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| Impression : Extraordinaire
C'est un chat voyou, mon chat s'appelle Mo, il est comme le votre c'est un Chat MO |
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| Impression : Extraordinaire
Ne fermer jamais la cession du coeur |
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Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit. Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis. Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher. Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts. Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas. Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes. Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante. Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente ! Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim. Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements. Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore. Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore… Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ". Je m'allège parfois te mettant sur le dos. Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce. Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
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| Impression : Extraordinaire
envie envie quand tu nous prends, ceux qui n'aiment pas ne peuvent pas comprendre |
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Dans nos vies de femmes, Nous avons toutes des blessures, Que nous cachons par honte, Nous nous trouvons souvent en face de dilemmes, Que nous n'osons avouer, Nous nous sentons souvent déroutées, Nous gardons nos fêlures, Et en nous, un combat nous hante, Alors nous nous perdons dans un enfermement, Et nous glissons vers une pente, Qui nous happe brutalement, Nous plongeons dans les ténèbres, Nous avons renié nos souffrances, Nous avions encore confiance, Mais maintenant comment sortir de ces ténèbres, J'ai perdu tout sens d'orientation, A la recherche d'horizon Que je n'arrive plus à rejoindre, Je ne fais que geindre, Mes appels sont sans réponses, Et je m'enfonce, Il ne me reste qu'un tout petit souffle de vie, Qui me maintient en survie, Si je lâche prise, Je resterais soumise, Mais qui peut m'aider, Qui voudrait m'écouter, Ma détresse fait peur, On ignore mes pleurs, Qui aura la bonté, De ne pas m'abandonner, Je ne veux pas m'enfoncer dans des abimes, Qui m'étouffent, Je veux sortir de ce séisme, Malgré les cicatrises qui seront toujours présentes, Je suis en attente, D'une vie nouvelle, Je lance un appel, Pour que l'on me vienne en aide, Laissant derrière moi une femme qui se sentait laide, Et veux retrouver la douceur d'une autre vie... LE SEIGNEUR A REPONDU A MES S.O.S Amen !
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| Impression : Extraordinaire
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Blog mis à jour le 27/03/2023 à 23:12:56
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