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Aurélie ton pays, sans monts et sans vallons, Utilise t’il tes formes pour cacher ses rayons. Raconte nous tes formes, aréoles dressées Et tes seins voluptueux et ta peau satinée. Lentement je découvre, ta tendre nudité Illuminant les draps d’un lit désordonné En embrasant mon âme de pensées enflammées. Formidable magie, tes cuisses écartelées, Offrande majestueuse, tentation diabolique. Quête de l’impossible à la source juvénile, Ultime hésitation bien trop machiavélique Avant de conquérir ce corps de jeune fille. Non, ce n’était qu’un rêve, oeil photographique Traduisant par les mots ta beauté magnétique.
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