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 Sur le quai d’une gare ,il l’attends ,elle sa diablesse au cœur mis à nu . Longtemps ils se sont cherchés sans jamais se trouver et enfin ils sont là ! Réunis pour un jour ou pour toujours tandis que je les vois émus. Vision d’un amour naissance d’un bonheur qui ne leur échappera pas . Deux êtres que le destin à désunit qui à l’espoir d’un futur se raccrochent. Deux amants s’aimant passionnément histoire d’amour qu’il faut laisser vivre. Que nul ne s’interpose et que nul ose vers ces deux êtres un seul reproche. Laissons-les s’aimer sans leur jeter la pierre ils resplendissent de bonheur ivres ! Je les vois tels des oiseaux prenant leur envol sur les dalles de leur futur Se tenant main dans la main insouciants du monde qui les entoure heureux. Elle la diablesse athée prie le dieu d’amour pour que cette rencontre perdure. Lui le démon prie la déesse de vénus pour que son ciel soit enfin bleu . En les admirant ,je songe qu’une telle histoire m’attends alors au bout du quai. Je le vois au loin ,il descend du train sourire à la bouche accroché vers lui je cours . Nul ne saura ce qui me passe par la tête car vers mon prince démoniaque j’irais Et là seulement je reconnaîtrais l’être détenant la clé ouvrant la porte de l’amour
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         Tandis que l’hiver frileux habille de son blanc manteau dame nature Moi je sens mon cœur qui perd la couleur d’un espoir pour mon futur Car avec son baiser ,il a empoisonné mon âme blessée de son venin Me propulsant malheureusement dans les dédales sombres du chagrin . J’aurais tellement voulu sentir sur ma peau de l’avenir la douce caresse Mais l’intrus vêtu de noir par son baiser perfide m’a habillé de détresse Alors que je rêvais d’un bel hiver avec mon prince au coin de la cheminée Il à surgit du froid hivernal lui le manant brisant ainsi tout mes souhaits. Prise dans un engrenage infernale, séquestrée je n’arrive plus à m’en sortir Tandis que chaque jour il m’abuse de ses mensonges qui me font souffrir. Il s’est fait le vil serpent de mon esprit achetant ainsi mon âme avec ses mots. J’y ai crus, naïve, croyant avoir trouvé le bonheur à présent il est en lambeau. Aujourd’hui je ne suis qu’une âme solitaire errant dans des couloirs sombres. Ou que j’aille il est là me harcelant et gelant mes sentiments de son ombre . Il a brisé tous mes espoirs de bonheur par sa jalousie accoudée à son regard. Et dans le lit de mon chagrin l’amour n’est pas là me fuyant sans égard .
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 En mon cœur meurtri j’entends encore le bruit assourdissant de ma douleur qui sonne Tandis qu’en mon âme blessée l’écho de mon sombre désespoir telle une cloche résonne. Un être vil m’a fait perdre un jour le contrôle de mon esprit le plongeant dans la torpeur Il est la raison de ma souffrance actuelle qui se fait en mon esprit à présent film d’horreur . Et seule face à mon esprit qui déraisonne j’assume désespérée tant bien que mal ce mal Tandis que mon être en perdition frissonne de froid et de douleur c’est tellement fatal . Il réveille ma fureur, ma rage et mon envie de me défendre contre ce terrible ennemi. Je prouverais ainsi à l’humanité que mes sentiments pour toi mon amour sont en vie. Je vomirais ma souffrance accrochée à mes tripes rejetant la douleur de mes entrailles Je cracherais ma colère envers cet être qui un jour m’a arraché à tes bras par la faille. Brèche ouverte par ses mensonges accrochés à sa bouche qui ne sait être que fielleuse Et dans les bras de la nuit sous mon ciel écorché je suis las,horriblement malheureuse . La déchirure en moi est tellement profonde qu’elle me propulse dans le puit de la tristesse Vers toi avec mes écrits je hurle chaque jour mes appels de détresse qui se fontSOS Délivres-moi des griffes de cet homme tout de noir vêtu qui sur moi se pose tel un vautour Ainsi libérée de cette torpeur je pourrais à nouveau savourer avec toi la couleur de l'amour .
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  Je rêvais d'être aux creux de tes bras diaboliquement tendre et aimante. Mais je ne suis par ma fuite qu’une âme dans la vie si seule et errante. Regrets et remords accompagnent mes jours les rendant trop difficiles. J’écoute ma peine persuadée que cet amour là était pour moi impossible. Ainsi seule je me suis engloutie dans la profondeur du puit des regrets Car à force de refuser de croire j'ai pas sus un jour la chance attraper. Tandis que mon échine se courbe à présent au dessus de cette page J'essaie de m'enivrer par mes mots alignés ici sans oublier ton visage. Mon esprit est nourrit de tellement de peine qu’il ne sait que souffrir. Je voudrais par mon poème couché sur cette page te crier de revenir Mais sauras- tu pardonner ma lâcheté et oublier un jour mon erreur ? Tandis que cette question m’obsède mon âme est sans cesse en pleurs. Elle rugit de douleur impuissante face à mes remords lancinants. Coupable de mon chagrin je fais entendre au monde mes hurlements. La cruauté de ma douleur trop insoutenable voile ainsi mon horizon. Mon ciel obscurci laisse une traînée de tragédie à perdre la raison.
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     Je ne me suis pas accordé le temps de chercher à lire en toi . A présent je ne sais qu écrire ma tristesse entourée de froid. Mais je l’écrirais avec mon sang pour te crier ma douleur. Ainsi tu comprendras qu’en moi pour toi l’amour demeure . Ce souvenir amer transporte la rancœur qui depuis me ronge Elle enveloppe mes jours d’un voile et assombrit mes songes. J’ai été la destructrice de cet amour et je n’en suis pas fière. Car je ne sais que hurler ma peine au sein de mes prières. Elles s’élèvent vers toi tout là-haut à l’infini du cosmique. Et si tu les entends pour moi ce serait tellement magnifique. J’accepterais de croiser de nouveau le diable sur ma route Mais pourvu qu’il me donne le temps d’oublier mes doutes. Je te regarderais et pourrais enfin t’ouvrir comme un livre Tandis que je me laisserais envahir de bonheur ,ivre. J’oublierais alors que longtemps je n’ai eus que du remord De n’avoir pas sus ouvrir à temps ton livre aux pages d’or .
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