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2203138 Publié le 21/06/2008 à 15:09  "Que la Beauté soit dans ton regard, et non dans la chose regardée "... (de...?!) Quelles sont les images qui vous éblouissent ?! Qui vous laissent "sans voix" ?! Partageons ces moments d'émotions... Des paysages, des mélodies... Le jour qui se lève... Un voyage dans les étoiles... Un instant qui vous est cher... Un instant extraordinaire qui vous a fait vibrer ! Ce qui vous transporte au-delà de tout... Des images qui vous emmènent plus loin que vous-même ! Emmenez-moi dans vos rêves... Quelques soient les domaines, Un moment de douceur ! Laissez parler votre cœur, Laissez voguer votre âme... Et partageons, ensembles Ces instants de bonheur ! Merci !  | 2203138 Publié le 14/02/2010 à 01:39  Univers, une chanson magique que j'aime particulièrement... que de bons souvenirs !!! Rêve, j'vais savourer ces douceurs, avec mon marin !!!! Mille mercis à toi ! Ma jolie Fée, t'es un amouuuuuur !!!! Bonne fête, pas que des amoureux, mais à tous ceux qui ont l'amour en leur cœur ! ça va en faire ça, des "fêteurs" de l'Amour !!!
| 2203138 Publié le 17/02/2010 à 21:38 
La solitude, l'habitude Une vie de peu Une vie grise Et ce pas lourd qui résonne, Trop lourd Pour personne Passe le temps Et les cigognes Le vide est de mise Comme le vent Qui joue, mais à quel jeu Dans cette vie de "désamour".... La solitude De l'homme qui passe Et ça agace, Les gens de peu... ça les dérange ça les ennuie Ces pas étranges Si lourds Oh, quel est ce bruit ? La fenêtre se referme, Pour ne pas voir ce qui leur ressemble Fichue solitude Sales habitudes Il est, il leur semble, Bien trop tard Bien trop tard
| 1730361 Publié le 17/02/2010 à 22:12  Je suis toujours là... pas loin ma Pépite... | 2203138 Publié le 18/02/2010 à 09:52  Ma Tiko " Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit " [ Khalil Gibran ] | 2203138 Publié le 18/02/2010 à 22:28 
Pomme d'amour... Pomme d'api, d'api toujours !! Api, pis, pomme de quoi ?! Pomme d'amour pour toi ! Pomme d'amour... Pomme en sucre, Pour ta pomme, P'tit bonhomme... Pomme rouge A ma bouche, Sucre et pomme Pomme d'amour ! Je te croque, Jolie pomme, Pomme d'amour d'api, toujours !
 | 2644110 Publié le 18/02/2010 à 22:32 
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Le Pont Mirabeau | 2203138 Publié le 18/02/2010 à 22:34  Perle........ | 2644110 Publié le 18/02/2010 à 22:40  Pépite | 2203138 Publié le 23/02/2010 à 16:11 
| 2203138 Publié le 23/02/2010 à 16:13 
 | 2203138 Publié le 16/05/2010 à 00:15 
Quelques bulles de... douceur, pour vous ! | 2203138 Publié le 19/05/2010 à 15:11 
Sonate au clair de lune... Beethoven...
Écoutez le chant de la lune Cette douce musique, qui vole jusqu'à vous Au-delà des plaines et des dunes, C'est la même pour chacun d'entre nous ! De ses rayons, elle éclaire vos nuits, Elle apaise, doucement l'enfant qui dort, Elle guide nos pas quand l'ombre nous suit, Et se fait toute belle, comme une bulle d'or ! | 2203138 Publié le 20/05/2010 à 13:23 
L'Éternelle Chanson Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encor de jeunes amoureux; Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et nous ferons un couple adorable de vieux. Nous nous regarderons assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. Sur notre banc ami, tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer. Nous aurons une joie attendrie et très douce, La phrase finissant souvent par un baiser. Combien de fois jadis j'ai pu dire : "Je t'aime!" Alors avec grand soin nous le recompterons: Nous nous ressouviendrons de mille choses, même De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d'une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose se poser, Quand sur notre vieux banc, tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer. Et comme chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain, Qu'importeront alors les rides du visage? Mon amour se fera plus grave et plus serein. Songe que tous les jours des souvenirs s'entassent; Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens: Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens. C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge, Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main, Car vois-tu, chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. Et de ce cher amour qui passe comme un rêve Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur: Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève Pour la ressavourer plus tard avec lenteur. J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare, Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours: Je serai riche alors d'une richesse rare: J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours! Ainsi de ce passé de bonheur qui s'achève Ma mémoire parfois me rendra la douceur; Et de ce cher amour qui passe comme un rêve J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur. Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encore aux jours heureux d'antan, Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et tu me parleras d'amour en chevrotant. Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. - Rosemonde Gérard - Pour l'homme de ma vie !
Bises à tous
| 2644110 Publié le 22/05/2010 à 12:11 
Photo de Robert Doisneau (Le baiser) Chant d'amour (IV) Pourquoi de tes regards percer ainsi mon âme ? Baisse, oh ! baisse tes yeux pleins d'une chaste flamme : Baisse-les, ou je meurs. Viens plutôt, lève-toi ! Mets ta main dans la mienne, Que mon bras arrondi t'entoure et te soutienne Sur ces tapis de fleurs. Aux bords d'un lac d'azur il est une colline Dont le front verdoyant légèrement s'incline Pour contempler les eaux ; Le regard du soleil tout le jour la caresse, Et l'haleine de l'onde y fait flotter sans cesse Les ombres des rameaux. Entourant de ses plis deux chênes qu'elle embrasse, Une vigne sauvage à leurs rameaux s'enlace, Et, couronnant leurs fronts, De sa pâle verdure éclaircit leur feuillage, Puis sur des champs coupés de lumière et d'ombrage Court en riants festons. Là, dans les flancs creusés d'un rocher qui surplombe, S'ouvre une grotte obscure, un nid où la colombe Aime à gémir d'amour ; La vigne, le figuier, la voilent, la tapissent, Et les rayons du ciel, qui lentement s'y glissent, Y mesurent le jour. La nuit et la fraîcheur de ces ombres discrètes Conservent plus longtemps aux pâles violettes Leurs timides couleurs ; Une source plaintive en habite la voûte, Et semble sur vos fronts distiller goutte à goutte Des accords et des pleurs. Le regard, à travers ce rideau de verdure, Ne voit rien que le ciel et l'onde qu'il azure ; Et sur le sein des eaux Les voiles du pêcheur, qui, couvrant sa nacelle, Fendent ce ciel limpide, et battent comme l'aile Des rapides oiseaux. L'oreille n'entend rien qu'une vague plaintive Qui, comme un long baiser, murmure sur sa rive, Ou la voix des zéphyrs, Ou les sons cadencés que gémit Philomèle, Ou l'écho du rocher, dont un soupir se mêle À nos propres soupirs. Alphonse de LAMARTINE (1790-1869)
| 2203138 Publié le 23/05/2010 à 18:30  Merciiiii ! | 2644110 Publié le 23/05/2010 à 19:33  Avec plaisir Pépita | 2644110 Publié le 23/05/2010 à 21:36  Comme des enfants  | 2203138 Publié le 25/05/2010 à 14:23  Merci Perle.... Quelle douce fraîcheur, on écoute cette mélodie, comme on croquerait un bonbon au miel !..ou à la menthe ! Voici un joli "cadeau" d'un ami, que je partage ici, aussi ! (et je lui fais de gros )
| 2644110 Publié le 25/05/2010 à 19:35 
Lady Melody
| 2644110 Publié le 13/06/2010 à 21:39  Souvenirs
" MOI J 'AI RIEN DIT " | 2203138 Publié le 24/06/2010 à 10:43  Perle, merci encore de venir ici adoucir ce qui peut l'être encore...
à tutti | 2644110 Publié le 24/06/2010 à 22:09 
ADIEUX Le temps m'appelle : il faut finir ces vers. A ce penser défaillit mon courage. Je vous salue, ô vallons que je perds ! Ecoutez-moi : c'est mon dernier hommage. Loin, loin d'ici, sur la terre égaré, Je vais traîner une importune vie ; elle : il faut finir ces vers. A ce penser défaillit mon courage. Je vous salue, ô vallons que je perds ! Ecoutez-moi : c'est mon dernier hommage. Loin, loin d'ici, sur la terre égaré, Je vais traîner une importune vie ; Mais quelque part que j'habite ignoré, Ne craignez point qu'un ami vous oublie. Oui, j'aimerai ce rivage enchanteur, Ces monts déserts qui remplissaient mon coeur Et de silence et de mélancolie ; Surtout ces bois chers à ma rêverie, Où je voyais, de buisson en buisson, Voler sans bruit un couple solitaire, Dont j'entendais, sous l'orme héréditaire, Seul, attendri, la dernière chanson. Simples oiseaux, retiendrez-vous la mienne ? Parmi ces bois, ah ! qu'il vous en souvienne. En te quittant je chante tes attraits, Bord adoré ! De ton maître fidèle Si les talents égalaient les regrets, Ces derniers vers n'auraient point de modèle. Mais aux pinceaux de la nature épris, La gloire échappe et n'en est point le prix. Ma muse est simple, et rougissante et nue ; Je dois mourir ainsi que l'humble fleur Qui passe à l'ombre, et seulement connue De ces ruisseaux qui faisaient son bonheur. François-René de Chateaubriand. (1768-1848). Recueil: Tableaux de la nature. Tout doucement  | 2203138 Publié le 13/08/2010 à 23:30  Perle... "Que la douceur de l'amitié soit faite de rires et de plaisirs partagés." Citation de Khalil Gibran ; Larmes et sourires - 1914. | 2203138 Publié le 24/08/2010 à 02:40  à plus tard, amoureux des mots, conteurs et joueurs de rimes, à plus tard..tel le peintre devant sa toile, ou le musicien aux notes envolées, vous tissez le plus beau voile, celui d'un pays où je me plais ! | PHIL - 391201 Publié le 24/08/2010 à 13:06  Oh payse, j'ignorais ce fil ? Et y lire la douce Perle et Petit Koala, quel plaisir ! Loin des turpitudes, des rixes mots à mots, loin des vains discours et des batailles stériles, il existerait encore de tels lieux ? Que mes voyages sur la toile m'amènent encore et toujours vers de si belles découvertes ! Pour sur, je reviendrai y jeter l'ancre !
| 2644110 Publié le 24/08/2010 à 13:36 
Tableau de Francis Gruber : Job 1944, huile Excuse mélancolique Je ne vous aime pas, non, je n'aime personne, L'Art, le Spleen, la Douleur sont mes seules amours; Puis, mon cœur est trop vieux pour fleurir comme aux jours Où vous eussiez été mon unique madone. Je ne vous aime pas, mais vous semblez si bonne. Je pourrais oublier dans vos yeux de velours, Et dégonfler mon cœur crevé de sanglots sourds Le front sur vos genoux, enfant frêle et mignonne. Oh! dites, voulez-vous ? Je serais votre enfant. Vous sauriez endormir mes tristesses sans causes, Vous auriez des douceurs pour mes heures moroses, Et peut-être qu'à l'heure où viendrait le néant Baigner mon corps brisé de fraîcheur infinie, Je mourrais doucement, consolé de la vie. Octobre 1880. Jules Laforgue 1ère publication: Corbeau
| 2644570 Publié le 26/08/2010 à 14:33  | 2644110 Publié le 11/09/2010 à 00:07 
INVITATION AU REVE... Dis, Ami… Dans un voyage imaginaire Au pays des rêves, Me suivrais-tu ? On pourrait se retrouver Sous la voûte des cieux, Danser sur la Voie Lactée, Capturer une étoile filante, Se reposer sur la lune… Ou bien, couchés Dans l’herbe humide D’une campagne provençale, Admirer le regard perdu dans l’azur La fuite incessante des nuages Que tu aimes tant ! Nous qui avons dans le cœur Le même pays de naissance, Le même enfance bordée de soleil, La même déchirure des exilés, Les mêmes souvenirs d’adolescence, Notre rencontre était gravée D’une croix d’or Sur notre ligne de vie ! Alors, Ami… Dans ce voyage imaginaire Au pays des rêves, Me suivras-tu ? Si tu viens… Si tu prends ma main… Allongée dans la blancheur D’un nuage floconneux, De la poudre d’étoile Au bout des doigts, Je t’écrirai le plus beau poème, Rien que pour toi ! © Véronique AUDELON - | 2203138 Publié le 11/12/2010 à 02:30  Salut coin... Salut âtre chaud et froid a la fois; Tu recueilles les extrêmes Les bons croyants et les manquants de foi, Mais ne te salis pas Je préfère ton vide, Au lieu de vivre ta souffrance avec les maladroits; Ton silence m'imprègne de sagesse Ton absence me pousse à penser a toi; Oui je sais que tu n'es qu'une onde virtuelle Mais je sais que tu es une autre dans plein d'espace-temps... Ce clin de temps qui nous consomme, Cela fait longtemps que je t'attend Livre toi à ton espace, aussi loin... Livre toi à ton temps, aussi longtemps... Le mien est si limité ici; Mais après toi, je vivrai plus longtemps Profites en coin Tu mérites, Âtre chaud Et froid a la fois Une seconde fois... Merci Rouseau, pour ce partage ...C'est très beau...
| 2203138 Publié le 13/12/2010 à 01:30  coin dis moi coin pourquoi on souffre tant la mer compte ses vagues jusqu'à ce temps l'air et toujours gratuit, coin oui, heureusement... la terre est si patiente et ses offrandes toujours abondantes pourquoi sommes nous à côte du chemin alors que nous tous, nous y étions; tu me réponds pas coin je sais ton silence parle ton miroir reflète... (est reflétant) comme le temps je te vois dans mes rides qui prennent naissance... dans mes cheveux qui deviennent blanc (gagne leur blanc) on ne vit pas ici... longtemps et pourtant, on y vient (on y vit) jamais par hasard... la vie était, et restera toujours belle...
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