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Amour sublime

Celle que j’aime et j’affectionne
Est absente, en moi son amour toujours résonne
Je suis son roi et elle ma couronne
Qui me donne la souveraineté, la force de rester sur mon trône
Une parole d’amour et de tendresse
Ont volé mon cœur, ont laissé mon âme en détresse
Vous qui m’écoutez ne me laissez pas dans le doute
Montrez-moi où est la clef de sa porte
Est-ce qu’elle est encore vivante ou est ce qu’elle est morte ?
S’il vous plait ne me blâmer pas
Cet amour qui m’a hanté pour toujours, ne le condamner pas
Sa trahison ne me raconter pas, oubliez-moi…
Même si mes yeux sont fâchés contre moi
Le cri de mon cœur répète plusieurs fois :
« Je ne pourrai jamais oublier ton absence
Et l’amour sublime que tu m’as donné avec confiance »
Ma présence qui n’a aucun sens, elle souffre de ton absence
Mes larmes qui te parlent sont le témoin de ma souffrance
Et mes yeux veillent toujours en attendant de toi une simple réponse
Par le mot « je t’aime » elle commence
Sans ton amour sublime
Je suis perdu et ma vie déprime
Dans une poésie sans aucune rime
Ö ! Affreuse nuit
Tes étoiles se sont endormies
Alors laissez-moi veiller tout seul cette nuit
Si tu te plains de ma présence, mon amie
Je vais t’excuser car je sais bien que toi aussi
Tu attends la personne que pour elle tu veilles sans ennui
Alors laissez-moi avec ma douleur
Sans elle il n’existe nullement le bonheur
C’est elle mon amour, ma belle et ma vraie demeure
La nostalgie dans mon cœur, toujours elle demeure
Est absente, en moi son amour toujours résonne
Je suis son roi et elle ma couronne
Qui me donne la souveraineté, la force de rester sur mon trône
Une parole d’amour et de tendresse
Ont volé mon cœur, ont laissé mon âme en détresse
Vous qui m’écoutez ne me laissez pas dans le doute
Montrez-moi où est la clef de sa porte
Est-ce qu’elle est encore vivante ou est ce qu’elle est morte ?
S’il vous plait ne me blâmer pas
Cet amour qui m’a hanté pour toujours, ne le condamner pas
Sa trahison ne me raconter pas, oubliez-moi…
Même si mes yeux sont fâchés contre moi
Le cri de mon cœur répète plusieurs fois :
« Je ne pourrai jamais oublier ton absence
Et l’amour sublime que tu m’as donné avec confiance »
Ma présence qui n’a aucun sens, elle souffre de ton absence
Mes larmes qui te parlent sont le témoin de ma souffrance
Et mes yeux veillent toujours en attendant de toi une simple réponse
Par le mot « je t’aime » elle commence
Sans ton amour sublime
Je suis perdu et ma vie déprime
Dans une poésie sans aucune rime
Ö ! Affreuse nuit
Tes étoiles se sont endormies
Alors laissez-moi veiller tout seul cette nuit
Si tu te plains de ma présence, mon amie
Je vais t’excuser car je sais bien que toi aussi
Tu attends la personne que pour elle tu veilles sans ennui
Alors laissez-moi avec ma douleur
Sans elle il n’existe nullement le bonheur
C’est elle mon amour, ma belle et ma vraie demeure
La nostalgie dans mon cœur, toujours elle demeure
Il a su déguster le goût de la victoire
Il était la tendresse qui se mêlait à l’espoir
On l’imaginait une petite perle qui brillait chaque soir
Une bougie qui rougissait et éclairait les chemins les plus noirs
Elle éclairait l’éphémère en donnant sa petite lumière sans gloire
Le matin elle s’éteignait, on la voyais qu’avec un demi regard
Mais jamais, il ne se plaignait, jamais il n’a dis j’en ai marre
Il entendait tout, il parlait moins…le silence c’est son magique miroir
Qui lui montrait les paroles prononcées dans chaque rêve et cauchemar
Il n’aimait guère affronter ni jouer avec les mots, l’oubli c’est son pouvoir
Qui ne maîtrisait pas parfaitement mais à ce pouvoir il voulait y croire
Car l’oubli c’est le désespoir qui cherche désespéramment l’espoir…
Jamais il ne se plaignait, ni se montrait nerveux…
Jusqu’au jour où souffrance et silence se sont réunis, il était malheureux
Je voulais le poursuivre et sécher les larmes qui tombaient de ses yeux
Il ne voulait voir personne, en lui des voix qui résonnaient, des cris douloureux
Il perdit la rigueur, il s'affaiblissait comme la fleur dans l’hiver brumeux
De loin, j’ai entendu des sanglots et gémissements se pousser, mais j’étais douteux
Mais de plus près, j’ai vu d’énormes larmes se verser peu à peu
Je me suis approché de lui, il s’est enfuit comme un amoureux…
De loin, je l’ai vu s’envoler comme un oiseau, tout heureux
Loin très loin, dans les immenses cieux.
Il était la tendresse qui se mêlait à l’espoir
On l’imaginait une petite perle qui brillait chaque soir
Une bougie qui rougissait et éclairait les chemins les plus noirs
Elle éclairait l’éphémère en donnant sa petite lumière sans gloire
Le matin elle s’éteignait, on la voyais qu’avec un demi regard
Mais jamais, il ne se plaignait, jamais il n’a dis j’en ai marre
Il entendait tout, il parlait moins…le silence c’est son magique miroir
Qui lui montrait les paroles prononcées dans chaque rêve et cauchemar
Il n’aimait guère affronter ni jouer avec les mots, l’oubli c’est son pouvoir
Qui ne maîtrisait pas parfaitement mais à ce pouvoir il voulait y croire
Car l’oubli c’est le désespoir qui cherche désespéramment l’espoir…
Jamais il ne se plaignait, ni se montrait nerveux…
Jusqu’au jour où souffrance et silence se sont réunis, il était malheureux
Je voulais le poursuivre et sécher les larmes qui tombaient de ses yeux
Il ne voulait voir personne, en lui des voix qui résonnaient, des cris douloureux
Il perdit la rigueur, il s'affaiblissait comme la fleur dans l’hiver brumeux
De loin, j’ai entendu des sanglots et gémissements se pousser, mais j’étais douteux
Mais de plus près, j’ai vu d’énormes larmes se verser peu à peu
Je me suis approché de lui, il s’est enfuit comme un amoureux…
De loin, je l’ai vu s’envoler comme un oiseau, tout heureux
Loin très loin, dans les immenses cieux.
Quand la raison me dit le contraire
De ce que dit mon cœur…
Quand les précieuses heures
Sans toi n’ont aucune valeur
Quand les belles fleurs
Ne me donnent plus la belle odeur
Quand les larmes et les pleurs
Se jètent et habitent les profondeurs
Alors l’amertume et la peur
S’installent doucement dans le cœur
Alors le bonheur
Cède malgré lui sa place au malheur
Mais, comment supporter cette déprime ?
Comment accepter ta fleur avec ses abîmes ?
J’apprends tant que possible à me passer de toi
A étouffer cet amour qui voudrait vivre toujours en moi
Certes, ce n’est pas mon propre choix
D’avoir toutes ces peines à la fois
De voir mon esprit ne marchant plus droit
De faire des choses qu’auparavant je ne faisais pas
De croire à des choses qu’auparavant je ne croyais pas
Des choses qui brûlent mes rêves et enflamment tout en moi
Mon cœur et moi
Nous ne pouvons jamais faire la trêve sans qu’elle ne soit signée par tes doigts
De ce que dit mon cœur…
Quand les précieuses heures
Sans toi n’ont aucune valeur
Quand les belles fleurs
Ne me donnent plus la belle odeur
Quand les larmes et les pleurs
Se jètent et habitent les profondeurs
Alors l’amertume et la peur
S’installent doucement dans le cœur
Alors le bonheur
Cède malgré lui sa place au malheur
Mais, comment supporter cette déprime ?
Comment accepter ta fleur avec ses abîmes ?
J’apprends tant que possible à me passer de toi
A étouffer cet amour qui voudrait vivre toujours en moi
Certes, ce n’est pas mon propre choix
D’avoir toutes ces peines à la fois
De voir mon esprit ne marchant plus droit
De faire des choses qu’auparavant je ne faisais pas
De croire à des choses qu’auparavant je ne croyais pas
Des choses qui brûlent mes rêves et enflamment tout en moi
Mon cœur et moi
Nous ne pouvons jamais faire la trêve sans qu’elle ne soit signée par tes doigts
Quelques sentiments dans mon cœur
Qui font brûler et torturer mon âme
Et grandissent doucement comme des flammes étincelantes
Comme des flammes échauffantes mais très brûlantes
Des flammes qui laissent mon âme dans le doute
Des flammes qui proviennent de l’enfer, et mon âme insouciante
Refuse de les affronter dans une guerre déchirante
Car elle est tout à fait consciente
Qu’après elle va souffrir et les flammes seront les gagnantes
Et l’âme qui a connu la défaite sera dans sa route une âme errante
Quelques sentiments dans mon petit cœur
Qui prennent contrôle de mon corps et des horloges de mes heures
Je ne sais si un jour je pourrais les arracher sans avoir peur
Je ne sais si un jour je pourrais les arracher sans connaître la douleur
Je ne sais si un jour je pourrais les arracher sans regrets et remords
Car ces sentiments ensemble constituent les battements de mon cœur
Alors les arracher, une vie sera gâchée et mon cœur sur le coup il meurt
Quelques sentiments dans mon cœur
Depuis très longtemps ils demeurent
Depuis très longtemps ces sentiments, que personne d’autre ne ressent
Et personne d’autre n’éprouve ces sentiments
Qui donnaient à mes paroles basses un accent, un fort ton
Des sentiments que je consommais sans raison
Avec le temps ils se sont transformés en poison
Qui s’est mêlé totalement avec mon sang
Alors ces sentiments les arracher, comment ?
Qui font brûler et torturer mon âme
Et grandissent doucement comme des flammes étincelantes
Comme des flammes échauffantes mais très brûlantes
Des flammes qui laissent mon âme dans le doute
Des flammes qui proviennent de l’enfer, et mon âme insouciante
Refuse de les affronter dans une guerre déchirante
Car elle est tout à fait consciente
Qu’après elle va souffrir et les flammes seront les gagnantes
Et l’âme qui a connu la défaite sera dans sa route une âme errante
Quelques sentiments dans mon petit cœur
Qui prennent contrôle de mon corps et des horloges de mes heures
Je ne sais si un jour je pourrais les arracher sans avoir peur
Je ne sais si un jour je pourrais les arracher sans connaître la douleur
Je ne sais si un jour je pourrais les arracher sans regrets et remords
Car ces sentiments ensemble constituent les battements de mon cœur
Alors les arracher, une vie sera gâchée et mon cœur sur le coup il meurt
Quelques sentiments dans mon cœur
Depuis très longtemps ils demeurent
Depuis très longtemps ces sentiments, que personne d’autre ne ressent
Et personne d’autre n’éprouve ces sentiments
Qui donnaient à mes paroles basses un accent, un fort ton
Des sentiments que je consommais sans raison
Avec le temps ils se sont transformés en poison
Qui s’est mêlé totalement avec mon sang
Alors ces sentiments les arracher, comment ?