Divers
Le bonheur c'est voir briller ton coeur

Le bonheur c'est voir briller ton coeur
Y déposer délicatement le parfum d'une fleur
C'est regarder une ride qui se dessine
Et la trouver tout simplement “divine”
C'est caresser les cheveux d'un enfant
En lui parlant tout doucement
C'est troubler les pétales de la rose
En lui murmurant quelque chose
Le bonheur c'est donner plutôt que recevoir
C'est vous dire que là-bas pointe l'espoir
Et qu'il n'y a pas de hasard
Si nous nous parlons tous les soirs
Le bonheur se dessine sur le monde
Même quand la menace gronde
Le bonheur c'est vous dire “Merci”
Quand vous passez par ici
C'est sourire plutôt que de pleurer
Parler en termes simples et discrets
C'est se dire que même sans en parler
Nous connaîtrons tous nos secrets
Un geste tendre qui enlace
Une parole qui réjouit
Une route qui se trace
Une vie qui unit
C'est le bonheur, c'est la vie
Y déposer délicatement le parfum d'une fleur
C'est regarder une ride qui se dessine
Et la trouver tout simplement “divine”
C'est caresser les cheveux d'un enfant
En lui parlant tout doucement
C'est troubler les pétales de la rose
En lui murmurant quelque chose
Le bonheur c'est donner plutôt que recevoir
C'est vous dire que là-bas pointe l'espoir
Et qu'il n'y a pas de hasard
Si nous nous parlons tous les soirs
Le bonheur se dessine sur le monde
Même quand la menace gronde
Le bonheur c'est vous dire “Merci”
Quand vous passez par ici
C'est sourire plutôt que de pleurer
Parler en termes simples et discrets
C'est se dire que même sans en parler
Nous connaîtrons tous nos secrets
Un geste tendre qui enlace
Une parole qui réjouit
Une route qui se trace
Une vie qui unit
C'est le bonheur, c'est la vie
Chante mon coeur
L'allégresse des jours heureux
Ecoute le bonheur
Va encore faire des envieux
Fermez-vous mes yeux
Ne regardez plus la peine
Soyez doux et soyeux
Comme un rêve un peu bohème
Danse ma vie
Au milieu de la plaine
Là où tout est permis
Éloigne-toi de la haine
Tendez-vous mes mains
Vers un nouveau destin
Embrassez le ciel d'azur
Pour en retenir le “pur”
Crie ta joie fille de tout
Chante ta folie même si c'est fou
Vis ta vie
L'allégresse des jours heureux
Ecoute le bonheur
Va encore faire des envieux
Fermez-vous mes yeux
Ne regardez plus la peine
Soyez doux et soyeux
Comme un rêve un peu bohème
Danse ma vie
Au milieu de la plaine
Là où tout est permis
Éloigne-toi de la haine
Tendez-vous mes mains
Vers un nouveau destin
Embrassez le ciel d'azur
Pour en retenir le “pur”
Crie ta joie fille de tout
Chante ta folie même si c'est fou
Vis ta vie
Enfant, je rêvais au clair de lune
D' un musicien accordant son violon
Assis tout près d'une lagune
Où se délectent crustasés et poissons
Je dessinais une étoile
Pour raviver la toile
De ma tendre imagination
Qui berçait toutes mes émotions
J'inclinais la tête
Pour imaginer la fête
Je suscitais les émois
Qui se moquaient de moi
Adolescente, je rêvais encore
De violonistes tout en accord
Avec ma belle espérance
Qui grandissait dans l'innocence
Je gravais des coeurs
Sur les notes du bonheur
Pour m'accorder au diapason
De ma douce passion
Je penchais la tête
Pour rejoindre la fête
Je refoulais les ardeurs
Qui faisaient vibrer mon coeur
Les années ont passé
Le violon a pleuré
Le départ de celui
Qui lui donnait la vie
J'ai écrit un doux message
Pour me souvenir de son passage
Et devenue un peu plus sage
J'ai regagné mon vieux rivage
Je détournais la tête
Pour quitter la fête
Je pleurais mon rêve
Une vie qui s'achève
D' un musicien accordant son violon
Assis tout près d'une lagune
Où se délectent crustasés et poissons
Je dessinais une étoile
Pour raviver la toile
De ma tendre imagination
Qui berçait toutes mes émotions
J'inclinais la tête
Pour imaginer la fête
Je suscitais les émois
Qui se moquaient de moi
Adolescente, je rêvais encore
De violonistes tout en accord
Avec ma belle espérance
Qui grandissait dans l'innocence
Je gravais des coeurs
Sur les notes du bonheur
Pour m'accorder au diapason
De ma douce passion
Je penchais la tête
Pour rejoindre la fête
Je refoulais les ardeurs
Qui faisaient vibrer mon coeur
Les années ont passé
Le violon a pleuré
Le départ de celui
Qui lui donnait la vie
J'ai écrit un doux message
Pour me souvenir de son passage
Et devenue un peu plus sage
J'ai regagné mon vieux rivage
Je détournais la tête
Pour quitter la fête
Je pleurais mon rêve
Une vie qui s'achève
Hier, on regardait l'océan
Qui brillait sous la lune d'argent
Tu me prenais la main hardiment
Et m'enlaçais tendrement
Le chemin des étoiles
Était bordé d'un voile
De tendresse éternelle
Et ta voix résonnait de plus belle
Le diadème du ciel
Nous caressait les ailes
Comme un battement de cils
Nos coeurs étaient tranquilles
Je puisais dans ton coeur
La richesse du bonheur
Tu prenais au fond de moi
Même ce qui n'existait pas
L'océan s'est déchaîné
Et ton regard s'est lassé
D'un frisson trop glacé
Mon corps s'est senti happé
Il ne me reste qu'un rêve étoillé
Que je garderais en secret
Dans le tiroir de mon coeur
Ce sera ma dernière erreur
Qui brillait sous la lune d'argent
Tu me prenais la main hardiment
Et m'enlaçais tendrement
Le chemin des étoiles
Était bordé d'un voile
De tendresse éternelle
Et ta voix résonnait de plus belle
Le diadème du ciel
Nous caressait les ailes
Comme un battement de cils
Nos coeurs étaient tranquilles
Je puisais dans ton coeur
La richesse du bonheur
Tu prenais au fond de moi
Même ce qui n'existait pas
L'océan s'est déchaîné
Et ton regard s'est lassé
D'un frisson trop glacé
Mon corps s'est senti happé
Il ne me reste qu'un rêve étoillé
Que je garderais en secret
Dans le tiroir de mon coeur
Ce sera ma dernière erreur
Portes plus loin ton regard
Ne t'en vas pas au hasard
Quand descendra le soir
Tu auras peut-être ce pouvoir
De faire briller ta vie
Sans faire trop de folie
Sois sage oh chère enfant
Car tu n'as plus vingt ans
Poses ta peine entre ses mains
Pour toi, il a un autre dessein
Qui te conduira vers d'autres chemins
Là, où le bonheur est sain
Quittes ces lieux d'amertume
Lis ce qu'écrit sa plume
Quand viendra le printemps
Tu auras peut-être le temps
De lui donner un enfant
Qui chassera tes tourments
Sois sage, oh douce fille
Et éblouis sa vie
Ne t'en vas pas au hasard
Quand descendra le soir
Tu auras peut-être ce pouvoir
De faire briller ta vie
Sans faire trop de folie
Sois sage oh chère enfant
Car tu n'as plus vingt ans
Poses ta peine entre ses mains
Pour toi, il a un autre dessein
Qui te conduira vers d'autres chemins
Là, où le bonheur est sain
Quittes ces lieux d'amertume
Lis ce qu'écrit sa plume
Quand viendra le printemps
Tu auras peut-être le temps
De lui donner un enfant
Qui chassera tes tourments
Sois sage, oh douce fille
Et éblouis sa vie
Faut-il sans plus attendre
Décider de tout prendre?
Faut-il sans se méprendre
Réagir à l'offrande?
J'ai souvent parcouru
Des chemins saugrenus
Où le rêve absolu
N'existait déjà plus
Je me suis laissée bercer
Par des mots “traquenards”
Et par vos vagues regards
Qui ruinaient tous mes espoirs
Faut-il tout décider
Sans rien préciser?
Faut-il tout pardonner
Pour enfin espérer?
Mon coeur à peine éclos
A porté les fardeaux
De ceux que j'aimais trop
De ceux qui me haissaient trop
Je me suis laissée berner
Par des paroles susurrées
Au gré du vent d'été
Qui m'ont trop dépouillée
Faut-il oser vous dire
Que parfois je désire
Vous voir défaillir
Vous voir même périr?
Faut-il?
Décider de tout prendre?
Faut-il sans se méprendre
Réagir à l'offrande?
J'ai souvent parcouru
Des chemins saugrenus
Où le rêve absolu
N'existait déjà plus
Je me suis laissée bercer
Par des mots “traquenards”
Et par vos vagues regards
Qui ruinaient tous mes espoirs
Faut-il tout décider
Sans rien préciser?
Faut-il tout pardonner
Pour enfin espérer?
Mon coeur à peine éclos
A porté les fardeaux
De ceux que j'aimais trop
De ceux qui me haissaient trop
Je me suis laissée berner
Par des paroles susurrées
Au gré du vent d'été
Qui m'ont trop dépouillée
Faut-il oser vous dire
Que parfois je désire
Vous voir défaillir
Vous voir même périr?
Faut-il?