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Il y a au fond trois manières de mettre une phrase en relief. Comme ceci [ i ]...[ / i ]; comme ceci [ b ]...[ / b ], ou bien encore la combinaison des deux. L'expérience montre que deux erreurs sur trois dans les balises proviennent d'une fermante qui ne correspond pas à l'ouvrante (par exemple [ / i ] essayant de fermer un [ b ], ou l'inverse, lors de la mise en relief d'une longue phrase. Bien sûr, on corrige ensuite, mais que de temps perdu. Ne serait-il pas plus rationnel d'avoir une balise [ / ] ou [ n ] qui termine l'action de la dernière balise ouvrante (quelle que soit celle-ci), ou revient en texte normal (au choix des implémenteurs) ? A priori, quand l'utilisateur veut fermer quelque chose, il paraît logique que ce soit la dernière chose qu'il a ouverte . Prétendre lui demander ce que c'était a quelque chose de courtelinesque, puisque le système le sait bien mieux que lui . | ||
Non, pas le moins du monde. [ / ] ferme tout simplement la dernière ouvrante quelle qu'elle soit. Ainsi "[ i ] Je tiens à mettre l'accent [ b ] impérativement [ / ] sur cette question [ / ] du financement" donne : Je tiens à mettre l'accent impérativement sur cette question du financement. | ||
Ou [ / / ], pourquoi pas ? Le gain est que tu n'as pas à te demander pour clore une mise en relief "Quelle était le type de mise en relief, déjà ?", parce que tu n'as pas à t'en occuper, vu que le système le sait déjà. Il ne faut jamais obliger l'utilisateur humain à faire ce que la machine est mieux qualifiée pour faire à sa place, et sans erreur. Tu peux nommer cela si tu veux le "principe de subsidiarité" | ||
[ i ]Je tiens à mettre [ / ] [ b ]l'accent impérativement sur cette question du financement.[ / ] Non seulement c'est plus court, mais remarque au passage que si tu changes d'avis et décide de remplacer quelque part des gras par des italiques, ou l'inverse, tu as une balise à changer à un endroit, et deux à changer en deux endroits différents. Ce qui constitue tout de même un sacré confort. | ||
En un tel cas, tu peux toujours revenir à l'ancien marquage, qui de toute façon continue à marcher. On considère toutefois qu'il ne va pas dans le sens de la lisibilité de faire se chevaucher des mises en relief, alors que les imbriquer l'une dans l'autre correspond à une progression d'insistance assez courante (et qu'on retrouve d'ailleurs dans les tons du langage parlé). | ||
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Au fond, [ / ] pourrait se nommer "Fermtag". (c) Pierre Dac | ||
Citation:Alors, fais-le ! Le "ton" c'est bon... | ||
prof comme tu dis il faut femer .....je sais plus enfin la derniere chose ouverte chez toi me parait etre ta bouche t as essayer de fermer ce que tu dit ouvrante / donc on recapitule on ferme l ouvrante et on ouvre je sais plus moi/ on ouvre quoi prof aide moi / la fermante c est ca mais ca devient empoisonnante alors ah mais si ouvre tes yeux et en grands cela ne te parait pas etonnante mon histoire, c est vrai qu elle est qd mme moins marrante non ....... bigs bisous prof mais pas sur ta fermante | ||
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