Chronique 1 vu 18/05/2007 Oeuvre Originale |
Suite 03: Vous avez dit... ? Satan ???
Autour de moi, un monde ou les Hommes et les Femmes créent des oeuvres artistiques, sont solidaire dans de vastes projets humanitaires, des hommes et des femmes qui parviennent à nous bouleverser, nous aident à réfléchir et apportent l'épaisseur et la pertinence de leur regard sur des sujets aussi vaste que, l'enseignement, le travail, la mondialisation....la folie....
En moi, qui ne sait ni lire ni écrire, j'écoute cette petite voix qui murmure : paix, beauté, tendresse, aimer, force, écouter, comprendre, tenter de faire encore demain un jour de joie et de
bonheur...
Maintenir l'équilibre entre la voix du coeur et celle de la raison, entre la passion et l'indifférence.
<L'homme pense parce qu'il a une main>, et de cette main, il élève vers les nues des dentelles de pierres, il taille avec une infinie précision le minuscule diamant, la vélocité des doigts sur le clavier, face à la solitude de la artition, Là, sans arrière pensée, une blanche vaut deux noires.
Une note pour un soupir, l'arpège Blues Note des amants, ultime point d'orgue, l'appoggiature je, me, tu, toi, se conjugue de il et elle en nous, quand l'archet de la main révèle sous la peau un subtil Stradivarius de plaisir. . .
Cette main, celle du bourreau investi de sa macabre besogne, dès sa journée de déshonneur accomplie fera une fois de plus le geste de Pillâtre, prendra dans ses bras, ce fils, cette fille, qui vient d'éclore à la vie, émus et tendre, il la guillitera, ce soir, il boira sa soupe en écoutant ce journaliste qui relate la détresse de cette femme qui sent germer en son sein, contre son désir, ce potentiel de vie extraordinaire, saisir de sa main cette masse de métal ouvragée et tourne contre son ventre, le cylindre chargé de toutes les haines de l'humanité et déchaîne, par une simple pression de l'index, l'horreur indicible et le chaos innommable dans sa chair.
A suivre . . .
fait partie de la chronique "et quelle nouvelles de Satan ?
En moi, qui ne sait ni lire ni écrire, j'écoute cette petite voix qui murmure : paix, beauté, tendresse, aimer, force, écouter, comprendre, tenter de faire encore demain un jour de joie et de
bonheur...
Maintenir l'équilibre entre la voix du coeur et celle de la raison, entre la passion et l'indifférence.
<L'homme pense parce qu'il a une main>, et de cette main, il élève vers les nues des dentelles de pierres, il taille avec une infinie précision le minuscule diamant, la vélocité des doigts sur le clavier, face à la solitude de la artition, Là, sans arrière pensée, une blanche vaut deux noires.
Une note pour un soupir, l'arpège Blues Note des amants, ultime point d'orgue, l'appoggiature je, me, tu, toi, se conjugue de il et elle en nous, quand l'archet de la main révèle sous la peau un subtil Stradivarius de plaisir. . .
Cette main, celle du bourreau investi de sa macabre besogne, dès sa journée de déshonneur accomplie fera une fois de plus le geste de Pillâtre, prendra dans ses bras, ce fils, cette fille, qui vient d'éclore à la vie, émus et tendre, il la guillitera, ce soir, il boira sa soupe en écoutant ce journaliste qui relate la détresse de cette femme qui sent germer en son sein, contre son désir, ce potentiel de vie extraordinaire, saisir de sa main cette masse de métal ouvragée et tourne contre son ventre, le cylindre chargé de toutes les haines de l'humanité et déchaîne, par une simple pression de l'index, l'horreur indicible et le chaos innommable dans sa chair.
A suivre . . .
fait partie de la chronique "et quelle nouvelles de Satan ?