Poème Extraordinaire 2 vus 1 Coeur 08/01/2008 Auteur : |
Le Lutin cabotin
J’veux moi aussi un lutin,
Non pas un lutin vert,
Ni un diablotin,
Du genre à rester pépère…
Non ! Un lutin rouge
Sans arrêt, bondissant,
Du genre qui bouge
Du genre un peu stressant !
Pourtant je n'avais rien,
Demandé d'autre qu'un peu de paix,
Un peu de calme au moins,
Mais pas un excité.
Comment pouvais-je imaginer
Qu'il existe de nos jours,
Un escadron de chevaux ailés
Qui livrent la nuit comme le jour,
Tout au long de l'année et en express,
Ce type de colis farfelu ?
Serait-ce une maladresse ?
Non ! Là, il y a de l'abus !
Maintenant j'en fais quoi
De cet encombrant lutin ?
Ce n'est pas son joli minois
Qui m'en fera un copain.
Non, croyez-moi, c'est insupportable
Quand, d'un sourire narquois,
Il danse la gigue sur la table
En comptant sur ses doigts.
C'est un vrai cauchemar, ça m’apprendra !
J'avais seulement imploré le ciel,
Pour avoir une lutine qui pourra,
Me faire oublier le virtuel.
La gigue on la dansera,
Comme des zazous,
Pour rire on rigolera,
Soyons fou !

Non pas un lutin vert,
Ni un diablotin,
Du genre à rester pépère…
Non ! Un lutin rouge
Sans arrêt, bondissant,
Du genre qui bouge
Du genre un peu stressant !
Pourtant je n'avais rien,
Demandé d'autre qu'un peu de paix,
Un peu de calme au moins,
Mais pas un excité.
Comment pouvais-je imaginer
Qu'il existe de nos jours,
Un escadron de chevaux ailés
Qui livrent la nuit comme le jour,
Tout au long de l'année et en express,
Ce type de colis farfelu ?
Serait-ce une maladresse ?
Non ! Là, il y a de l'abus !
Maintenant j'en fais quoi
De cet encombrant lutin ?
Ce n'est pas son joli minois
Qui m'en fera un copain.
Non, croyez-moi, c'est insupportable
Quand, d'un sourire narquois,
Il danse la gigue sur la table
En comptant sur ses doigts.
C'est un vrai cauchemar, ça m’apprendra !
J'avais seulement imploré le ciel,
Pour avoir une lutine qui pourra,
Me faire oublier le virtuel.
La gigue on la dansera,
Comme des zazous,
Pour rire on rigolera,
Soyons fou !

