Poème Extraordinaire 2 vus 1 Coeur 22/06/2008 Auteur : |
Ses soixante printemps
Ses soixante printemps, passés depuis longtemps
Espèrent encore entendre, des mots qui se font tendres
Pour tromper son ennui, le pire de ses ennemis
Elle couche sur le papier, des mots enluminés
Des mots sucrés, des mots salés
Qui lui rendent épicé, son monde sans gaité
Mais depuis ce matin, ivre de chagrin
Son cahier reste muet, elle a envie de pleurer
Sa tête est embrouillée, les mots y sont mêlés
Elle ne peut plus écrire, est-ce à force de souffrir
Accoudée à la fenêtre, elle tremble de tout son être
Toute a ses pensées, elle se sent consolée
Un fugace sourire, ses traits vient rajeunir
Un parfum léger semble flotter, lui donnant soudain l’envie d’exister
Enfin, en elle se ressent, un nouvel espoir naissant
Un amour ou une amitié, qu’importe, pourvu qu’elle soit aimée
Espèrent encore entendre, des mots qui se font tendres
Pour tromper son ennui, le pire de ses ennemis
Elle couche sur le papier, des mots enluminés
Des mots sucrés, des mots salés
Qui lui rendent épicé, son monde sans gaité
Mais depuis ce matin, ivre de chagrin
Son cahier reste muet, elle a envie de pleurer
Sa tête est embrouillée, les mots y sont mêlés
Elle ne peut plus écrire, est-ce à force de souffrir
Accoudée à la fenêtre, elle tremble de tout son être
Toute a ses pensées, elle se sent consolée
Un fugace sourire, ses traits vient rajeunir
Un parfum léger semble flotter, lui donnant soudain l’envie d’exister
Enfin, en elle se ressent, un nouvel espoir naissant
Un amour ou une amitié, qu’importe, pourvu qu’elle soit aimée