lysandra
| Poème Extraordinaire 1 vu 1 Coeur 09/08/2008 Auteur : lysandra |
DESIRS
Citation:
Ce texte dont le titre est « désirs » fut découvert dans un magazine en 1992 par Ma P'tite Mère (Ma Maman). Depuis nous l'avons fait lire à ceux que nous connaissons, à mon tour je te le transmets. C'est une source d'information que l'on peut interpréter de différentes façons. Mais un fait ne change pas il est toujours d'actualité malgré son âge. Je te souhaite « bonne lecture » car il source de « sérénité et de quiétude » pour l'esprit.
MATT
DESIRS
Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence .
Sans aliénation , vivez autant que possible en bons termes avec toute personne.
Dites doucement et clairement votre vérité, et écoutez les autres, même le simple d' esprit, l'ignorant, ils ont aussi leur histoire.
Évitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l'esprit. Ne vous comparez avec personne ; vous risqueriez de devenir vain et vaniteux. Il y a toujours plus grand et plus petit que vous.
Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements.
Soyez toujours intéressés à votre carrière si modeste soit-elle. C'est une véritable possession dans les prospérité changeantes du temps.
Soyez prudent dans vos affaires car le monde est plein de fourberie, mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe, plusieurs individus recherchent les grands idéaux, et partout la vie est rempli d'héroïsme.
Soyez vous-même, surtout n'affectez pas l'amitié. Non plus ne soyez cynique en amour, car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement, aussi éternel que l'herbe.
Prenez avec bonté le conseil des années en renonçant avec grâce à votre jeunesse.
Fortifiez -vous une puissance d'esprit pour protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères, de nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude.
Au-delà d'une discipline saine, soyez doux avec vous même. Vous êtes un enfants de l'univers, pas moins que les arbres et les étoiles ; vous avez le droit d'être ici.
Et qu'il vous soit clair ou non, l'univers se déroule sans doute comme il le devrait.
Soyez en paix avec vous même, et quelques soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme. Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau.
Prenez attention.
Tachez d'être heureux.
Texte trouvé dans une église de Baltimore d'un auteur inconnu en 1692.