Trazi
| Poème Extraordinaire 3 vus 08/11/2003 Oeuvre Originale Auteur : Trazi |
Chanson
Deux filles quatre gars affalés dans un bar
Ecoutaient des accords de guitare
Un piano chantonnait au hasard
Un air un petit peu bizarre
Fatigué du travail journalier
La tête rêvant de ne plus penser
Un peu de rythme pour faire danser
Quelques notes décontractées
Les cordes vibraient une douce chaleur
De vivre dans devoir y penser
Les yeux se fermaient comme des fleurs
Que le soleil a trop aimé
Peu à peu s'éteignaient les bougies
Peu à peu s'ouvraient les cœurs
Pour ne plus être qu'une seule vie
Souriant autour d'une même lueur
Les mains caressaient un ruisseau d'accords
Descendant un frisson dans le cou
Une douce fatigue enivrait les corps
Comme d'avoir bien fait l'amour
AU plus profond de la ville endormie
Une rue brillait sous la pluie
Ce café habillé de vieux
Battait d'un sang merveilleux
Deux filles quatre gars affalés dans un bar
Ecoutaient des accords de guitare
Un piano chantonnait au hasard
Un air un petit peu bizarre
Ecoutaient des accords de guitare
Un piano chantonnait au hasard
Un air un petit peu bizarre
Fatigué du travail journalier
La tête rêvant de ne plus penser
Un peu de rythme pour faire danser
Quelques notes décontractées
Les cordes vibraient une douce chaleur
De vivre dans devoir y penser
Les yeux se fermaient comme des fleurs
Que le soleil a trop aimé
Peu à peu s'éteignaient les bougies
Peu à peu s'ouvraient les cœurs
Pour ne plus être qu'une seule vie
Souriant autour d'une même lueur
Les mains caressaient un ruisseau d'accords
Descendant un frisson dans le cou
Une douce fatigue enivrait les corps
Comme d'avoir bien fait l'amour
AU plus profond de la ville endormie
Une rue brillait sous la pluie
Ce café habillé de vieux
Battait d'un sang merveilleux
Deux filles quatre gars affalés dans un bar
Ecoutaient des accords de guitare
Un piano chantonnait au hasard
Un air un petit peu bizarre