Claudy
Le soir je marche dans l’ombre
D’un souvenir qui s’enfuit
C’est un beau rêve qui s’ombre
Vers les abimes de l’oubli
J’entends ta voix qui m’enchante
Pourquoi ton sourire me hante
Comme une reine sans roi
Ma vie n’est plus rien sans toi
D’un souvenir qui s’enfuit
C’est un beau rêve qui s’ombre
Vers les abimes de l’oubli
J’entends ta voix qui m’enchante
Pourquoi ton sourire me hante
Comme une reine sans roi
Ma vie n’est plus rien sans toi
Une main dans tes cheveux,
L’autre sous tes dentelles,
Quel instant merveilleux,
C'est bien toi la plus belle.
Tes jolis seins gonflés,
Sortent de leur bonnet,
Et ta main impatiente,
M’enivre et puis m'enchante.
Au travers de ce drap,
Je devine déjà,
L’ombre de ta toison,
Et j'en perds la raison.
Voilà no deux corps qui s'aiment,
A en perdre haleine,
Je veux mourir de plaisir,
J'aime te voir jouir.
Même si ce n'est qu'un rêve,
J'ai trouvé le bonheur,
Et tant pis si j'en crève,
Je veux mourir dans ton coeur.
Je t'aime Sophie
L’autre sous tes dentelles,
Quel instant merveilleux,
C'est bien toi la plus belle.
Tes jolis seins gonflés,
Sortent de leur bonnet,
Et ta main impatiente,
M’enivre et puis m'enchante.
Au travers de ce drap,
Je devine déjà,
L’ombre de ta toison,
Et j'en perds la raison.
Voilà no deux corps qui s'aiment,
A en perdre haleine,
Je veux mourir de plaisir,
J'aime te voir jouir.
Même si ce n'est qu'un rêve,
J'ai trouvé le bonheur,
Et tant pis si j'en crève,
Je veux mourir dans ton coeur.
Je t'aime Sophie
Si je plonge dans tes yeux
Je me noie
Si je touche à ton coeur
Je me brûle
Si je coule dans ton corps
Je perds pied
Si je surfe sur ta bouche
Je suis braise
Si je nage sur tes cuisses
Je suis mer
Si je vogue sur ton dos
Je m'embrase
Si je suis tes cheveux
Là, je coule
Si j'effleure ton cou
Je suis flamme
Si je goûte à ton pli
Je suis vague
Si je crie dans ta main
Je m'enflamme
Et je suis l'eau qui brûle
Et le feu qui s'écoule
En mille éclats de flammes
En mille perles de pluie...
Je me noie
Si je touche à ton coeur
Je me brûle
Si je coule dans ton corps
Je perds pied
Si je surfe sur ta bouche
Je suis braise
Si je nage sur tes cuisses
Je suis mer
Si je vogue sur ton dos
Je m'embrase
Si je suis tes cheveux
Là, je coule
Si j'effleure ton cou
Je suis flamme
Si je goûte à ton pli
Je suis vague
Si je crie dans ta main
Je m'enflamme
Et je suis l'eau qui brûle
Et le feu qui s'écoule
En mille éclats de flammes
En mille perles de pluie...
Toi que j'aime
Tes petits yeux verts
D'un seul regard
Ont fait basculé
Mon univers...
Et depuis ce temps
Je suis passé
De l'enfer au paradis
Douce folie!
Je t'aime d'un amour
Incommensurable
Démesuré
Indéniable...
Pour l'éternité
Je te veux
Dans ma vie
Dans mon lit...
Je t'aime d'un amour
Infini...
Sois mienne
Pour l'Eternité!
Elle fait onduler sa jolie robe dorée et moirée
Comme elle est belle à regarder!
Ses formes aux contours parfaits!
De celles que tu aimes caresser!
Elle a ce parfum obsédant et fruité
Celui qui t'excite et te fait chavirer
Elle te tient par tous tes sens
Elle connaît ta faiblesse...c'est là sa chance!!!
Elle t'attend dans le noir
Confiante d'être à toi, tous les soirs
Elle te laisse approcher, se laisse regarder
Touché, sans pudeur, elle s'offre à toi
Tu voudrais lui résister, mais elle fait scintiller
Sa couleur ambrée, tu as soif d'elle...elle le sait
Tu tends la main, t'approche et l'attrape par le col
Et dans un geste d'absolue soumission tu te donnes à elle
Doucement, elle vient déverser dans ton gosier
Desséché, sa liqueur empoisonnée, au goût grossier
Te brûler jusqu'au plus profond de ton corps
Mais tu vas en redemander encore et encore
Et lorsque, dégoûté, tu la laisseras échapper
Dans un dernier éclat, elle explosera
Sur le sol, en mille morceaux
Son venin irradiant toute ta peau
Comme elle est belle à regarder!
Ses formes aux contours parfaits!
De celles que tu aimes caresser!
Elle a ce parfum obsédant et fruité
Celui qui t'excite et te fait chavirer
Elle te tient par tous tes sens
Elle connaît ta faiblesse...c'est là sa chance!!!
Elle t'attend dans le noir
Confiante d'être à toi, tous les soirs
Elle te laisse approcher, se laisse regarder
Touché, sans pudeur, elle s'offre à toi
Tu voudrais lui résister, mais elle fait scintiller
Sa couleur ambrée, tu as soif d'elle...elle le sait
Tu tends la main, t'approche et l'attrape par le col
Et dans un geste d'absolue soumission tu te donnes à elle
Doucement, elle vient déverser dans ton gosier
Desséché, sa liqueur empoisonnée, au goût grossier
Te brûler jusqu'au plus profond de ton corps
Mais tu vas en redemander encore et encore
Et lorsque, dégoûté, tu la laisseras échapper
Dans un dernier éclat, elle explosera
Sur le sol, en mille morceaux
Son venin irradiant toute ta peau