La voix c'est aussi un accent
Qui fait remonter ses dépôts,
Se frotte au palais en passant,
Chatouille l'oreille au repos.
C'est notre culture, du berceau
A la dernière heure qui sonne,
De rires et sourires en écho,
Aux jolis mots que l'on donne.
D'un seul mot fleurit un terroir:
Au coin des lèvres d'un voisin
On apprend une autre histoire,
Qu'on goûte comme du bon pain.
On articule ces sons nouveaux,
on les mastique avec lenteur.
On imagine d'autres tableaux,
d'autres épices d'autres odeurs.
Saveurs d'échappées champêtres
A l'orée des langues écartées
Des chemins de nos ancêtres,
Aux vocables riches et oubliés.
Sur une voie à sens unique
Roulent les langues monotones.
Leurs portées n'ont qu'une musique,
Appauvrie et fanfaronne.
Le trésor de tous nos accents,
Nos verbes éclos quelque part,
Fleurs de nos idiomes insolents
N'est pas un fruit né du hasard.
Cette sève qui a su nourrir
Sa création sur le fier terreau
Des anciens peuples, elle inspire,
Et baigne encore son humble rameau.
Malice de petits clins d'oeil
Aux diktats de la censure:
Quoi de plus précieux qu'un recueil
Avec l'accent pour reliure.
Qui fait remonter ses dépôts,
Se frotte au palais en passant,
Chatouille l'oreille au repos.
C'est notre culture, du berceau
A la dernière heure qui sonne,
De rires et sourires en écho,
Aux jolis mots que l'on donne.
D'un seul mot fleurit un terroir:
Au coin des lèvres d'un voisin
On apprend une autre histoire,
Qu'on goûte comme du bon pain.
On articule ces sons nouveaux,
on les mastique avec lenteur.
On imagine d'autres tableaux,
d'autres épices d'autres odeurs.
Saveurs d'échappées champêtres
A l'orée des langues écartées
Des chemins de nos ancêtres,
Aux vocables riches et oubliés.
Sur une voie à sens unique
Roulent les langues monotones.
Leurs portées n'ont qu'une musique,
Appauvrie et fanfaronne.
Le trésor de tous nos accents,
Nos verbes éclos quelque part,
Fleurs de nos idiomes insolents
N'est pas un fruit né du hasard.
Cette sève qui a su nourrir
Sa création sur le fier terreau
Des anciens peuples, elle inspire,
Et baigne encore son humble rameau.
Malice de petits clins d'oeil
Aux diktats de la censure:
Quoi de plus précieux qu'un recueil
Avec l'accent pour reliure.
je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amants...
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui...
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Dans la nuit froide de l'oubli.
La chanson que tu me chantais.
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais...
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit...
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis...
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie...
Je t'aimais tant, tu étais si jolie.
Comment veux-tu que je t'oublie ?
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui...
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l'entendrai...
Chaque jour ma mémoire s'effile et s'étiole,
Fol symbole d'amnésie garnie de vitriol,
Mes souvenirs défilent et les images filent,
Mes neurones fébriles, de vieux fossiles séniles,
Mes pensée volatiles cherchent encore un asile,
Dans les recoins futiles de mon esprit fragile,
Mes souvenirs du présent partent déjà en poussière,
Et chaque jour qui passe, j'oublie celui d'hier,
Les image de visages commencent à s'effacer,
Souvenance lointaine des ombres du passé,
Je voudrais vous parler mais je ne vous connais plus,
Je ne vois devant moi qu'un décor disparu,
Plus rien ne me reviens, je meure de l'intérieur,
Je ne retiens plus rien, pas même mes frayeurs,
Tout s'estompe, tous s'efface, et pourtant, et pourtant,
Tu es toujours en moi, présent à chaque instant.
Fol symbole d'amnésie garnie de vitriol,
Mes souvenirs défilent et les images filent,
Mes neurones fébriles, de vieux fossiles séniles,
Mes pensée volatiles cherchent encore un asile,
Dans les recoins futiles de mon esprit fragile,
Mes souvenirs du présent partent déjà en poussière,
Et chaque jour qui passe, j'oublie celui d'hier,
Les image de visages commencent à s'effacer,
Souvenance lointaine des ombres du passé,
Je voudrais vous parler mais je ne vous connais plus,
Je ne vois devant moi qu'un décor disparu,
Plus rien ne me reviens, je meure de l'intérieur,
Je ne retiens plus rien, pas même mes frayeurs,
Tout s'estompe, tous s'efface, et pourtant, et pourtant,
Tu es toujours en moi, présent à chaque instant.
Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Je me croyais malin car j’étais un valide
Valide avec un U pourtant je n’étais rien
Car lorsque je l’ai vu, elle était invalide
Valide avec un I, elle était tout, moi rien.
Je me sentais petit en la regardant faire
Pour une tache à faire, j’étais un vrai looser
Elle n’hésitait jamais car elle savait tout faire
Sur terre comme sur mer elle n’était que leader.
Près d’elle j’ai appris, la vie est un combat
Qu’il convient de gagner avant de l’engager
Avec elle on avance sans faire trop de débats
Ou alors c’est après que l’on peut deviser.
Quand l’enjeu est atteint, le défi relevé,
Elle vous dit : c’est gagné, allons nous reposer.
J’ai une pensée plus qu’affectueuse pour mon amie Joëlle notre Yaourt que vous connaissez tous elle est train de se battre contre une ennemie pas facile à lire la météo, afin de pouvoir réaliser son troisième défi un peu comme la quadrature du cercle je sais qu’elle va y arriver on pourra bientôt lire dans la presse elle a réussi son défi « le Sterenn Armor » , parce qu’avec elle, il ne peut pas y avoir d’échec.
Bon vent mon joli Yaourt , j’ai écris quelques mots, quelques vers pour te rendre hommage.