Ultimate

Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Ecoute...chut fais silence autour de toi
en Toi
Ecoute...
j'aime venir me reposer dans le port de plaisance
de ta hanche mon amour
goûter les mots de tes lèvres comme des sucreries
enfantines les couleurs qui dansent dans tes yeux
chut...reste là, paisible
dans mes bras
Sens-tu la caresse du soleil qui vient inonder
nos visages?
la chaleur dans le corps dans le coeur diffusée
comme un parfum d'outre-mer...
Ta peau brunie, aux accents épicés
révèlent tous ces grands voyages
que nous faisons ensembles
les paupières fermées...
Ecoute...
la danse camarguaise des vagues
et le siroco s'enroule dans mes cheveux
Boucles d'amour et de tendresse
Petite mer câline
parfois chagrine
et je m'incline...
Ecoute...
le soleil se confie
le soleil nous endort
dans la clarté pure
A des années lumières
que ses mystères sont doux...
N'es-tu pas heureuse ainsi reposée?
ces heures voluptés
volutes irisées
en pétale de lumière
reste là petit Ange...
tout près
si proche
dans mes bras de flanelle
en dentelle nos sourires
s'unissent
je t'aime...
en Toi
Ecoute...
j'aime venir me reposer dans le port de plaisance
de ta hanche mon amour
goûter les mots de tes lèvres comme des sucreries
enfantines les couleurs qui dansent dans tes yeux
chut...reste là, paisible
dans mes bras
Sens-tu la caresse du soleil qui vient inonder
nos visages?
la chaleur dans le corps dans le coeur diffusée
comme un parfum d'outre-mer...
Ta peau brunie, aux accents épicés
révèlent tous ces grands voyages
que nous faisons ensembles
les paupières fermées...
Ecoute...
la danse camarguaise des vagues
et le siroco s'enroule dans mes cheveux
Boucles d'amour et de tendresse
Petite mer câline
parfois chagrine
et je m'incline...
Ecoute...
le soleil se confie
le soleil nous endort
dans la clarté pure
A des années lumières
que ses mystères sont doux...
N'es-tu pas heureuse ainsi reposée?
ces heures voluptés
volutes irisées
en pétale de lumière
reste là petit Ange...
tout près
si proche
dans mes bras de flanelle
en dentelle nos sourires
s'unissent
je t'aime...
Aurélie ton pays, sans monts et sans vallons,
Utilise t’il tes formes pour cacher ses rayons.
Raconte nous tes formes, aréoles dressées
Et tes seins voluptueux et ta peau satinée.
Lentement je découvre, ta tendre nudité
Illuminant les draps d’un lit désordonné
En embrasant mon âme de pensées enflammées.
Formidable magie, tes cuisses écartelées,
Offrande majestueuse, tentation diabolique.
Quête de l’impossible à la source juvénile,
Ultime hésitation bien trop machiavélique
Avant de conquérir ce corps de jeune fille.
Non, ce n’était qu’un rêve, oeil photographique
Traduisant par les mots ta beauté magnétique.
Utilise t’il tes formes pour cacher ses rayons.
Raconte nous tes formes, aréoles dressées
Et tes seins voluptueux et ta peau satinée.
Lentement je découvre, ta tendre nudité
Illuminant les draps d’un lit désordonné
En embrasant mon âme de pensées enflammées.
Formidable magie, tes cuisses écartelées,
Offrande majestueuse, tentation diabolique.
Quête de l’impossible à la source juvénile,
Ultime hésitation bien trop machiavélique
Avant de conquérir ce corps de jeune fille.
Non, ce n’était qu’un rêve, oeil photographique
Traduisant par les mots ta beauté magnétique.
Gaaaaalipette, gentille galipette ... gaaaalipette, je te plumerai ... ;-)
/// : charmante..
Moi : merci
/// : Tu peux préciser activités?
//// : Tu as aussi le temps aussi pour les galipettes dans le lit?Ou seulement randos, sorties...
Moi : c est pas un peu personnel ca ????
Moi : tu m abordes et tu parles deja de sexe ?
/// : Ben ou es le probléme.J' ai dit que tu es attirante et charmante
Moi : ok
/// : Surtout attirante
Moi : mais de là à en venir aux galipettes tout de suite ...
/// : Tu as qlq pour le moment?
Moi : et il insiste ....
/// : La troisiéme photo me plait beaucoup
/// : Ca te déranges que je te dise que tu es attirante
Moi : non
//// : Tu n' aimes pas les galipettes
Moi : ET IL INSISTE
Moi : ok, tu l auras cherché ... ;-)
/// : charmante..
Moi : merci
/// : Tu peux préciser activités?
//// : Tu as aussi le temps aussi pour les galipettes dans le lit?Ou seulement randos, sorties...
Moi : c est pas un peu personnel ca ????
Moi : tu m abordes et tu parles deja de sexe ?
/// : Ben ou es le probléme.J' ai dit que tu es attirante et charmante
Moi : ok
/// : Surtout attirante
Moi : mais de là à en venir aux galipettes tout de suite ...
/// : Tu as qlq pour le moment?
Moi : et il insiste ....
/// : La troisiéme photo me plait beaucoup
/// : Ca te déranges que je te dise que tu es attirante
Moi : non
//// : Tu n' aimes pas les galipettes
Moi : ET IL INSISTE
Moi : ok, tu l auras cherché ... ;-)
**** : salut, ca va? j'achete sous vetements usagés, si ca t'interesse de gagner de l'argent facilement, tu peut m'en revendre, c'est serieux et ca rapporte
Moi : ben figure toi que cela s'appelle le fétichisme !
**** : oui possible
**** : je rachete bon prix
**** : et tu achètes cela combien ???
****: je rachete bon prix
Moi : et tu achètes cela combien ???
**** : culotte 20 euros, bas 10 euros
Moi : ouf bien payé !!! cela doit être une culotte de combien de jours ????
**** : du jour avant ou du jour meme
Moi : oh oh vous !!!!
**** : quoi?
Moi : ben écoute même si c'est tentant, car bien payé, on est hors norme là donc je ne suis pas intéressée !!!
****c'est comme tu veut, c'est pourtant serieux
Moi : je n'en doute pas !!!
**** : bonjour
Moi : Bonsoir:-)
**** : tu vas bien?
Moi : A ma dernière prise de sang tout allais bien oui, et toi ?
**** : mdrpas mal du tt
**** : que cherches tu ici?
Moi : comme j'ai rien perdue, je ne cherche rien non plus
**** : okimoi je cherche femme plus mure pour lui donner du plaisir
Moi : et pourquoi une femme mure?
**** : j aime bien je c pas expliquer
Moi : En quête d’expériences ?
**** : en partie mais les deux femmes plus âgées que g eu g adore
Moi : Fallait les garder
Moi : on ne change pas une équipe qui gagne
Moi : Désolée mais je ne peux rien pour toi, j’ai toujours pas mûri dans ma tête, je suis restée au stade des Legos. Bonne chasse!
Moi : Bonsoir:-)
**** : tu vas bien?
Moi : A ma dernière prise de sang tout allais bien oui, et toi ?
**** : mdrpas mal du tt
**** : que cherches tu ici?
Moi : comme j'ai rien perdue, je ne cherche rien non plus
**** : okimoi je cherche femme plus mure pour lui donner du plaisir
Moi : et pourquoi une femme mure?
**** : j aime bien je c pas expliquer
Moi : En quête d’expériences ?
**** : en partie mais les deux femmes plus âgées que g eu g adore
Moi : Fallait les garder
Moi : on ne change pas une équipe qui gagne
Moi : Désolée mais je ne peux rien pour toi, j’ai toujours pas mûri dans ma tête, je suis restée au stade des Legos. Bonne chasse!
Un homme exceptionnel
Au talent surnaturel
Un énorme coeur qui bat
Dont chaque poèmes m'épate!
Chaque lecture est un plaisir
Chaque rime est une chanson
Parfois il me fait frémir!
Avec ses poèmes au rythme des saisons...
Des poèmes enchanteur et magique
Sort de son coeurs plein de bonté
Cet homme qui chaque jour m'emmène
Dans un monde ou règne calme et volupté...
Merci a ce virtuose
Merci pour le partage de tous tes mots
Merci pour tout tes poèmes sensationnel et plein de sentiment
Merci pour tout ces moments magique a ta lecture
Au talent surnaturel
Un énorme coeur qui bat
Dont chaque poèmes m'épate!
Chaque lecture est un plaisir
Chaque rime est une chanson
Parfois il me fait frémir!
Avec ses poèmes au rythme des saisons...
Des poèmes enchanteur et magique
Sort de son coeurs plein de bonté
Cet homme qui chaque jour m'emmène
Dans un monde ou règne calme et volupté...
Merci a ce virtuose
Merci pour le partage de tous tes mots
Merci pour tout tes poèmes sensationnel et plein de sentiment
Merci pour tout ces moments magique a ta lecture
(Id : xxxxxxx) - 29/12/08
lui : coucou on peut bavarder ?envie de t'éclater avec un gentil garçon et ses 23 cm ?
Moi : il en aurais encore 40 que je n'en aurais pas envie
lui : pq ?tu as déjà connu si gros ?
Moi : tout ça pour dire que quelque soit sa taille je ne suis pas là pour ça
Moi : et c'est dit sur mon profil
lui : tu as déjà connu si gros ?
Moi : et en plus tu insiste !!!
Moi : bonne soirée
lui : alle, juste pour le func'est rare, une si grosse queue
et un de plus !!!
lui : coucou on peut bavarder ?envie de t'éclater avec un gentil garçon et ses 23 cm ?
Moi : il en aurais encore 40 que je n'en aurais pas envie
lui : pq ?tu as déjà connu si gros ?
Moi : tout ça pour dire que quelque soit sa taille je ne suis pas là pour ça
Moi : et c'est dit sur mon profil
lui : tu as déjà connu si gros ?
Moi : et en plus tu insiste !!!
Moi : bonne soirée
lui : alle, juste pour le func'est rare, une si grosse queue
et un de plus !!!
Exhibitionniste.
A ceux qui me connaissent,
A ceux qui m’aiment bien
J’avoue je le confesse
Je ne cache plus rien
Si j’offre à leurs regards
Le galbe de mes seins
Ce n’est pas par hasard
Mais ça n’engage à rien
Je vais même plus loin
Beaucoup en sont témoins
Lorsque j’ouvre les cuisses
Que je montre l’esquisse
De ce qui fait parler
Mais aussi saliver
Ceux qui sont amateurs
De l’antre du bonheur.
N’ayez pas honte d’avoir
Cette raideur soudaine
Je n’en ferais pas d’histoire
Je ne suis pas puritaine.
Je m’offre en numérique
Non ce n’est pas tragique
Mais je jouis de savoir
Que vous aimez me voir.
A ceux qui me connaissent,
A ceux qui m’aiment bien
J’avoue je le confesse
Je ne cache plus rien
Si j’offre à leurs regards
Le galbe de mes seins
Ce n’est pas par hasard
Mais ça n’engage à rien
Je vais même plus loin
Beaucoup en sont témoins
Lorsque j’ouvre les cuisses
Que je montre l’esquisse
De ce qui fait parler
Mais aussi saliver
Ceux qui sont amateurs
De l’antre du bonheur.
N’ayez pas honte d’avoir
Cette raideur soudaine
Je n’en ferais pas d’histoire
Je ne suis pas puritaine.
Je m’offre en numérique
Non ce n’est pas tragique
Mais je jouis de savoir
Que vous aimez me voir.
mi (30 ans) : bonjour charmante inconnue,
Moi : merci pour le charmante
mi : de rien, comment va?
Moi : très bein merci! vs avez lu mon profil? (LA IL VA LE LIRE JE LE VOIS :-)
mi : oui
Moi : donc vs savez maintenant que je ne recherche pas d'aventure etc etc
mi : et moi aussi
Moi : ah bon ? vs m'abordez pq alors ?
mi: pour parler, quoi aborder veux dire absolument l'ame soeur ou autre
Moi : si c pour parler ok ;-) mais la grande majorité des pop c pour conclure hein :-)
mi: ben , en plus t'es avec quelqu'1 ,quel interet
Moi : c ce que je viens de vous dire !!!!alors je répète pourquoi m'abordez-vous ?
Un ange passe ....
A moi non plus, il répond plus :-)
Vous avez certainement dû vous demander où Frank était passé? J'ai vécu quelques jours de fortes secousses et mon ordinateur n'a pas supporté le choc...
Je reviens plus en forme que jamais. J'ai séduit quelques hommes ces derniers jours. J'ai connu, grâce à eux, des moments de folle extase. Et je sais qu'ils ont, eux aussi, savouré ces instants passés avec moi. Je me rafraîchis, je remets mes idées en place dans ma tête et je vous narre tout ça. Comme il fait chaud...
Je reviens plus en forme que jamais. J'ai séduit quelques hommes ces derniers jours. J'ai connu, grâce à eux, des moments de folle extase. Et je sais qu'ils ont, eux aussi, savouré ces instants passés avec moi. Je me rafraîchis, je remets mes idées en place dans ma tête et je vous narre tout ça. Comme il fait chaud...
Il est des rêves si doux et si pur que l'on prierait tous les dieux pour qu'ils deviennent réalité.
Il est des rêves si puissants qu'il est douloureux se lever et d'affronter le jour.
Tu as été ces rêves pendant de longues années où je n'avais pas encore peur de rêver!
Aujourd'hui j'ai grandi, je mûri loin de toi mais je le fais pour toi.
Ma réalité ressemble étrangement a mes rêves tu te rapproche de moi, tu me regardes avec tout cet amour qui grandit en toi.
Tu ne vois que moi, tu pleures pour moi, tu pleures sur nous!
Moi je suis là, je m'approche un peu et rêve encore et encore a celle que j'ai tant aimée il y a quelques années.
Maintenant mon rêve est devenu réalité, celle qui a fais couler de mes veines l'essence même de l'amour est devant moi a présent et me demande de l'aimer simplement;de l'aimer avec un coeur d'enfant!
Tu sais il y a longtemps que je t'aime avec se coeur que tu aimes tant!
Je ne suis plus un enfant mais je t'aime sincèrement, pas comme les grands qui se blessent et se pardonnes sans cesse.
Je t'aime simplement, sans peine, ni douleur, sans remords, ni regrets.
Je t'aime sans passé sans présent mais je sais que le futur sera notre temps!
Il est des rêves si puissants qu'il est douloureux se lever et d'affronter le jour.
Tu as été ces rêves pendant de longues années où je n'avais pas encore peur de rêver!
Aujourd'hui j'ai grandi, je mûri loin de toi mais je le fais pour toi.
Ma réalité ressemble étrangement a mes rêves tu te rapproche de moi, tu me regardes avec tout cet amour qui grandit en toi.
Tu ne vois que moi, tu pleures pour moi, tu pleures sur nous!
Moi je suis là, je m'approche un peu et rêve encore et encore a celle que j'ai tant aimée il y a quelques années.
Maintenant mon rêve est devenu réalité, celle qui a fais couler de mes veines l'essence même de l'amour est devant moi a présent et me demande de l'aimer simplement;de l'aimer avec un coeur d'enfant!
Tu sais il y a longtemps que je t'aime avec se coeur que tu aimes tant!
Je ne suis plus un enfant mais je t'aime sincèrement, pas comme les grands qui se blessent et se pardonnes sans cesse.
Je t'aime simplement, sans peine, ni douleur, sans remords, ni regrets.
Je t'aime sans passé sans présent mais je sais que le futur sera notre temps!
Cette fois-ci, c’est décidé.
Je veux me marier avec toi.
Avoir des enfants avec toi.
Habiter avec toi.
Manger avec toi.
Sortir avec toi.
Rire avec toi.
Pleurer avec toi.
Faire l’amour avec toi.
Aller travailler avec toi.
Jardiner ou bricoler avec toi.
Bouquiner ou écrire avec toi.
Faire les magasins avec toi.
Voyager avec toi.
M’ennuyer avec toi.
M’amuser avec toi.
Me prendre la tête avec toi.
Me disputer avec toi.
Me réconcilier avec toi.
Vieillir avec toi.
Mourir avec toi.
Ta future épouse
Je veux me marier avec toi.
Avoir des enfants avec toi.
Habiter avec toi.
Manger avec toi.
Sortir avec toi.
Rire avec toi.
Pleurer avec toi.
Faire l’amour avec toi.
Aller travailler avec toi.
Jardiner ou bricoler avec toi.
Bouquiner ou écrire avec toi.
Faire les magasins avec toi.
Voyager avec toi.
M’ennuyer avec toi.
M’amuser avec toi.
Me prendre la tête avec toi.
Me disputer avec toi.
Me réconcilier avec toi.
Vieillir avec toi.
Mourir avec toi.
Ta future épouse
Et ben, après on viendra dire que les zommes sont grossiers!!! ;o)))
Pas du tout... la preuve! Je viens de recevoir ce message :
Chère Madame,
Je me prénomme R****,
Très attentif à votre profil,
Je souhaite dialoguer.
En quelques mots, universitaire,
Je m’investis dans un secteur social en pleine expansion.
Je vis seul et parfaitement libre.
J’ai trois enfants autonomes, professionnellement et financièrement.
Je suis originaire de ****, habite **** et travaille à mi-chemin entre C*** et X****.
Je vous propose donc, si vous le souhaitez, dans le plus grand respect mutuel, de me laisser un message sur ce site ;
A bientôt
R*****
ps photo sur demande
C'est il pas bô ça??? ;o)
Pas du tout... la preuve! Je viens de recevoir ce message :
Chère Madame,
Je me prénomme R****,
Très attentif à votre profil,
Je souhaite dialoguer.
En quelques mots, universitaire,
Je m’investis dans un secteur social en pleine expansion.
Je vis seul et parfaitement libre.
J’ai trois enfants autonomes, professionnellement et financièrement.
Je suis originaire de ****, habite **** et travaille à mi-chemin entre C*** et X****.
Je vous propose donc, si vous le souhaitez, dans le plus grand respect mutuel, de me laisser un message sur ce site ;
A bientôt
R*****
ps photo sur demande
C'est il pas bô ça??? ;o)
Quand je respire l’odeur de ton corps
Je ferme doucement les yeux et j’imagine alors
Que je suis dans un autre monde
Où tu me dis que tu m’aimes à chaque seconde...
Dans cet autre monde je vois
De sublimes corps enlacés
Des hommes et des femmes s’embrasser
C’est un vrai bonheur, une immense joie...
Quand je te sens, ô toi mon amour !
J’imagine alors que parmi eux,
Il y a également nous deux...
On se regarde, on prend garde,
On s’enlace, on s’embrasse
On est tellement bien toutes les deux,
Je voudrais que ça ne s’arrête jamais
Je reviens à la réalité
C’est fini, tout s’efface...
Je ferme doucement les yeux et j’imagine alors
Que je suis dans un autre monde
Où tu me dis que tu m’aimes à chaque seconde...
Dans cet autre monde je vois
De sublimes corps enlacés
Des hommes et des femmes s’embrasser
C’est un vrai bonheur, une immense joie...
Quand je te sens, ô toi mon amour !
J’imagine alors que parmi eux,
Il y a également nous deux...
On se regarde, on prend garde,
On s’enlace, on s’embrasse
On est tellement bien toutes les deux,
Je voudrais que ça ne s’arrête jamais
Je reviens à la réalité
C’est fini, tout s’efface...
Comme on oublie
Comme on se balade dans la nuit
Ma main dans ta main invisible
Je voudrais te charmer
Je voudrais m'enivrer
Je voudrais me laisser aller
A te désirer
A me noyer en toi
Chavirer dans tes bras
Me livrer à tous les combats
Pour être là toute en toi
Je te voudrais vers mes yeux, je te voudrais dans mon coeur dans chacune de mes heures
Je sais que les mots se répètent
Je sais que mes phrases se tarissent
Car elles ne mènent à personne…
A tout le monde sauf à toi…
Et je ne veux que toi...les autres sont fades..
Je sais que je ne te reverrai jamais..
Et pourtant un train me relierait à toi...
Un train que j'ai le droit de prendre...
Le ferai je ou non c'est mon droit au fond
Tu me manques...
Je vais aller dormir pour former un rêve de tes lèvres à mon coeur
De mon désir à mon besoin de ta tendresse et de tes caresses
J'en fais mon ivresse nocturne...
Comme je peux oublier tout ce que j'ai vécu
Avant de t'aimer...
Comme je m'oublie en t'aimant...
Comme on se balade dans la nuit
Ma main dans ta main invisible
Je voudrais te charmer
Je voudrais m'enivrer
Je voudrais me laisser aller
A te désirer
A me noyer en toi
Chavirer dans tes bras
Me livrer à tous les combats
Pour être là toute en toi
Je te voudrais vers mes yeux, je te voudrais dans mon coeur dans chacune de mes heures
Je sais que les mots se répètent
Je sais que mes phrases se tarissent
Car elles ne mènent à personne…
A tout le monde sauf à toi…
Et je ne veux que toi...les autres sont fades..
Je sais que je ne te reverrai jamais..
Et pourtant un train me relierait à toi...
Un train que j'ai le droit de prendre...
Le ferai je ou non c'est mon droit au fond
Tu me manques...
Je vais aller dormir pour former un rêve de tes lèvres à mon coeur
De mon désir à mon besoin de ta tendresse et de tes caresses
J'en fais mon ivresse nocturne...
Comme je peux oublier tout ce que j'ai vécu
Avant de t'aimer...
Comme je m'oublie en t'aimant...
Si un jour je pouvais,
Si un jour j’osais,
Je te dirais,
Ce que personne ne te disait jamais,
Je te dirais,
Que je t’aimais,
OUI je t’aimais,
Mais plus jamais je ne le dirais,
Non jamais,
Ces trois mots je ne les dit plus qu’au passé,
Peut être parce qu’ils ne peuvent faire partie que tu passé,
Peut être qu’il faut oublier,
Et tout recommencer,
Je t’ai tout donné,
Sans rien garder,
Mais tu semble avoir tout oublier,
Pourquoi je n’arrive pas à moi aussi oublier ?
J’ai tout voulu,
J’ai tout perdu,
Pourquoi ne m’as tu pas entendu,
Pourquoi ne m’aime tu plus ?
Pourquoi n’as-tu pas compris,
Ce que j’ai dit,
Pourtant tu n étais pas un abruti,
Pourquoi veux-tu maintenant qu on soit seulement amis ?
Tu croyais que tu m’aimais,
Tu croyais que je te voulais,
Maintenant tu sais ce que je voulais,
Et tu sais que je n’ai pas pu parce que je ne t’aimais pas…
Certes un jour je t’ai aimé,
Mai maintenant c’est terminé,
Stp arrête de pleurer,
Je ne suis pas celle que tu devais aimer,
Maintenant il faut m’oublier….
Si un jour j’osais,
Je te dirais,
Ce que personne ne te disait jamais,
Je te dirais,
Que je t’aimais,
OUI je t’aimais,
Mais plus jamais je ne le dirais,
Non jamais,
Ces trois mots je ne les dit plus qu’au passé,
Peut être parce qu’ils ne peuvent faire partie que tu passé,
Peut être qu’il faut oublier,
Et tout recommencer,
Je t’ai tout donné,
Sans rien garder,
Mais tu semble avoir tout oublier,
Pourquoi je n’arrive pas à moi aussi oublier ?
J’ai tout voulu,
J’ai tout perdu,
Pourquoi ne m’as tu pas entendu,
Pourquoi ne m’aime tu plus ?
Pourquoi n’as-tu pas compris,
Ce que j’ai dit,
Pourtant tu n étais pas un abruti,
Pourquoi veux-tu maintenant qu on soit seulement amis ?
Tu croyais que tu m’aimais,
Tu croyais que je te voulais,
Maintenant tu sais ce que je voulais,
Et tu sais que je n’ai pas pu parce que je ne t’aimais pas…
Certes un jour je t’ai aimé,
Mai maintenant c’est terminé,
Stp arrête de pleurer,
Je ne suis pas celle que tu devais aimer,
Maintenant il faut m’oublier….
De toi je me parle
Je me tiens aux écoutes
De mon regard
Me voici campé dans ta légende
Tes qui voient le cortège
Tes rires
Tes yeux de paille et d’or
Je marche à toi
Tu vois
Je titube à toi
Je meurs de toi
Lentement je bois ma soif
Et je marche
Mes pas semés dans les rues
Sans nord ni sud
Le vent n’a plus de tête
J’ouvre mes bras à mon corps
Je n’attends pas à demain
Je t’attends toi
Viens
A MOI…..
Je me tiens aux écoutes
De mon regard
Me voici campé dans ta légende
Tes qui voient le cortège
Tes rires
Tes yeux de paille et d’or
Je marche à toi
Tu vois
Je titube à toi
Je meurs de toi
Lentement je bois ma soif
Et je marche
Mes pas semés dans les rues
Sans nord ni sud
Le vent n’a plus de tête
J’ouvre mes bras à mon corps
Je n’attends pas à demain
Je t’attends toi
Viens
A MOI…..
Faire rimer les mots, voila donc l’affaire
En plus compter les pieds, surtout ne pas plagier
J’emprunte donc les mots, présents au dictionnaire
J’écris du douze pieds en sachant bien compter.
Le devoir est très simple, mais il faut une histoire.
Aprés l’introduction, des vers de transition,
La trame même de l’action et une conclusion.
Manque juste le point final pour clore le devoir.
La tache est bien trop simple, il manque sûrement une chose,
Il me semble qu’en lisant Lamartine ou Verlaine,
On trouve la différence entre poèmes et prose,
Leurs mots sont en musique, et non pas à la chaîne.
Des pieds qui riment en vers ne sont jamais pervers
Un tempo harmonique, tout comme une musique
Une histoire fantastique, un résultat magique
Ce n’est pas à l’envers, aucun risque de revers.
Enfin, savoir faire court est le meilleur discours.
Voila ce que disait mon vieux maître d’école,
Quand il nous apprenait à faire des rimes folles.
Je les récite toujours avec beaucoup d’amour.
En plus compter les pieds, surtout ne pas plagier
J’emprunte donc les mots, présents au dictionnaire
J’écris du douze pieds en sachant bien compter.
Le devoir est très simple, mais il faut une histoire.
Aprés l’introduction, des vers de transition,
La trame même de l’action et une conclusion.
Manque juste le point final pour clore le devoir.
La tache est bien trop simple, il manque sûrement une chose,
Il me semble qu’en lisant Lamartine ou Verlaine,
On trouve la différence entre poèmes et prose,
Leurs mots sont en musique, et non pas à la chaîne.
Des pieds qui riment en vers ne sont jamais pervers
Un tempo harmonique, tout comme une musique
Une histoire fantastique, un résultat magique
Ce n’est pas à l’envers, aucun risque de revers.
Enfin, savoir faire court est le meilleur discours.
Voila ce que disait mon vieux maître d’école,
Quand il nous apprenait à faire des rimes folles.
Je les récite toujours avec beaucoup d’amour.
Je voudrais vous séduire, juste avec quelques mots
Pas de ceux habituels, usés des convoiteurs
Je ne veux pas d’ailleurs, vous séduire comme une sotte
Mais c’est vos âmes mesieurs qui guident mes ardeurs
Cet homme oui ce bel homme, Don Juan de pacotille
Vous plait pour son physique mais non pour sa faconde
Faites en vite le tour, seul en surface il brille
Soyez donc indulgentes au moins quelques secondes.
Oui je serai patiente, je saurais vous attendre
Je sais vous viendrez boire à la source poétique
Après avoir subi ses outrages symboliques
Afin de purifier votre âme qui est si tendre.
Jouons, voulez vous bien, ensemble avec les mots
Laissez moi vous bercer, comme des angelots
Par la musique des vers, la mélodie des rimes,
Et ma douce chaleur que je vous offre en prime.
Laissez vous envoûter par ces mots si légers
Laissez vous transporter dans ces pays rêvés
Là où je vous entraîne il n’y a pas d’interdits
Là où je vous emmène il n’y a que l’infini.
Je suis intemporelle, n’existe que par le ton
Lorsque vous me lisez, c’est vous que vous voyez
J’existe dans la note mélodieuse de vos sons
Et quand je vibre en vous, c’est beau à en pleurer.
Pas de ceux habituels, usés des convoiteurs
Je ne veux pas d’ailleurs, vous séduire comme une sotte
Mais c’est vos âmes mesieurs qui guident mes ardeurs
Cet homme oui ce bel homme, Don Juan de pacotille
Vous plait pour son physique mais non pour sa faconde
Faites en vite le tour, seul en surface il brille
Soyez donc indulgentes au moins quelques secondes.
Oui je serai patiente, je saurais vous attendre
Je sais vous viendrez boire à la source poétique
Après avoir subi ses outrages symboliques
Afin de purifier votre âme qui est si tendre.
Jouons, voulez vous bien, ensemble avec les mots
Laissez moi vous bercer, comme des angelots
Par la musique des vers, la mélodie des rimes,
Et ma douce chaleur que je vous offre en prime.
Laissez vous envoûter par ces mots si légers
Laissez vous transporter dans ces pays rêvés
Là où je vous entraîne il n’y a pas d’interdits
Là où je vous emmène il n’y a que l’infini.
Je suis intemporelle, n’existe que par le ton
Lorsque vous me lisez, c’est vous que vous voyez
J’existe dans la note mélodieuse de vos sons
Et quand je vibre en vous, c’est beau à en pleurer.
Un nouvel amour
Et se laisser aller
S’abandonner
Sur les vagues invisibles d’un rêve
Sentir...
Aller
Avec la pensée
Et embrasser avec le regard l’horizon
Jusqu’au point où il se courbe doucement
Rêver...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de chaque solitude
Pour qu’il devienne, sans jamais mourir
Une habitude infatigable...
Imaginer un nouvel amour
Qui naît avec les mains libres
Pour lui apprendre à marcher et puis
Pour lui donner un pré pour courir
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus
Le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver
Et à l’improviste
Se retrouver avec mes mains dans les tiennes
Et savoir que tu avais déjà décidé
Nous deux...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de cette solitude
Avec les paroles que tu sais dire
A l’âge de l’inquiétude...
Imaginer un nouvel amour
Qui a les yeux de la fantaisie
Pour lui donner toute sa valeur
Dans mes moments de mélancolie
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus, le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver
Et se laisser aller
S’abandonner
Sur les vagues invisibles d’un rêve
Sentir...
Aller
Avec la pensée
Et embrasser avec le regard l’horizon
Jusqu’au point où il se courbe doucement
Rêver...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de chaque solitude
Pour qu’il devienne, sans jamais mourir
Une habitude infatigable...
Imaginer un nouvel amour
Qui naît avec les mains libres
Pour lui apprendre à marcher et puis
Pour lui donner un pré pour courir
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus
Le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver
Et à l’improviste
Se retrouver avec mes mains dans les tiennes
Et savoir que tu avais déjà décidé
Nous deux...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de cette solitude
Avec les paroles que tu sais dire
A l’âge de l’inquiétude...
Imaginer un nouvel amour
Qui a les yeux de la fantaisie
Pour lui donner toute sa valeur
Dans mes moments de mélancolie
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus, le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver

Je ne veux pas mourir car ce n’est pas mon heure.
J’ai toujours eu envie de defaire la mort,
Je ne me laisserais pas faire je serais la plus forte.
Elle, elle m’a bien dit non, quand j’ai dis viens c’est l’heure.
Il arrive parfois quand la vie est trop dure
Que l’on veuille mettre un point final à l’aventure,
Alors on prie l’Ankou d’affûter mieux sa faux
Afin que le passage fasse oublier les maux.
Il arrive souvent que la demande s’égare,
Il n’était pas le bon, ce train qui quitte la gare.
Quand tout semble perdu, si la vie vous fait signe
On ne peut l’ignorer, nier serait indigne.
La vie est ainsi faite de bonheurs de douleurs,
Vous penser l’abri sûr, c’est là qu’il se fissure.
Quand la tempête fait rage, saisissez la main sûre
Qui se tend droit vers vous répandant sa chaleur.
Le bonheur c’est parfois la douceur d’une main,
Un mot ou un regard qui parlent du lendemain.
J’ai toujours eu envie de defaire la mort,
Je ne me laisserais pas faire je serais la plus forte.
Elle, elle m’a bien dit non, quand j’ai dis viens c’est l’heure.
Il arrive parfois quand la vie est trop dure
Que l’on veuille mettre un point final à l’aventure,
Alors on prie l’Ankou d’affûter mieux sa faux
Afin que le passage fasse oublier les maux.
Il arrive souvent que la demande s’égare,
Il n’était pas le bon, ce train qui quitte la gare.
Quand tout semble perdu, si la vie vous fait signe
On ne peut l’ignorer, nier serait indigne.
La vie est ainsi faite de bonheurs de douleurs,
Vous penser l’abri sûr, c’est là qu’il se fissure.
Quand la tempête fait rage, saisissez la main sûre
Qui se tend droit vers vous répandant sa chaleur.
Le bonheur c’est parfois la douceur d’une main,
Un mot ou un regard qui parlent du lendemain.
chi va là
nessuno
è soltanto il mio cuore che batte
che batte forte forte
per colpa tua
ma fuori
la bronzea manina sulla porta di legno
è ferma
non si muove
non muove nemmeno la punta delle dita
qui va là
personne
c'est seulement, mon coeur qui bat
par ta faute
mais dehors
la clinche en bronze de la porte en bois
est fermée
elle ne s'ouvre pas
même pas la pointe de tes doigts
nessuno
è soltanto il mio cuore che batte
che batte forte forte
per colpa tua
ma fuori
la bronzea manina sulla porta di legno
è ferma
non si muove
non muove nemmeno la punta delle dita
qui va là
personne
c'est seulement, mon coeur qui bat
par ta faute
mais dehors
la clinche en bronze de la porte en bois
est fermée
elle ne s'ouvre pas
même pas la pointe de tes doigts
Ce n'est pas ici que j'ai envie de dire ces choses...le reste de ma honte...
Ce n'est pas ici que j'ai envie de me confesser...
Ce n'est rien qu'à toi et uniquement à toi...
J'en ai marre de faire semblant devant les gens...
J'en ai marre de sourire, de faire ceci, de faire cela, de les écouter...
J'ai envie de crier, de ma défouler, de me vider,...
Mais ce n'est pas aux autres à qui j'ai envie de parler. Ce n'est pas aux autres à qui j'ai envie de me confier, à qui j'ai envie de tout dire...
C'est à toi que j'ai envie de tout dire...
C'est à toi que j'ai besoin de tout dire...
C'est à toi que je me dois de tout dire...
C'est à toi que je veux confesser et sortir tout ce venin qui fait ma honte à nouveau aujourd'hui...
Rien n'a d'importance à mes yeux sauf toi...
Tu es la seule personne avec qui j'ai envie d'être...
Je t'aime comme tu ne peux même pas te l'imaginer...Aucun mot n'est assez grand pour t'exprimer combien je t'aime...
Je t'attends pour tout te dire...
Ce n'est pas ici que j'ai envie de me confesser...
Ce n'est rien qu'à toi et uniquement à toi...
J'en ai marre de faire semblant devant les gens...
J'en ai marre de sourire, de faire ceci, de faire cela, de les écouter...
J'ai envie de crier, de ma défouler, de me vider,...
Mais ce n'est pas aux autres à qui j'ai envie de parler. Ce n'est pas aux autres à qui j'ai envie de me confier, à qui j'ai envie de tout dire...
C'est à toi que j'ai envie de tout dire...
C'est à toi que j'ai besoin de tout dire...
C'est à toi que je me dois de tout dire...
C'est à toi que je veux confesser et sortir tout ce venin qui fait ma honte à nouveau aujourd'hui...
Rien n'a d'importance à mes yeux sauf toi...
Tu es la seule personne avec qui j'ai envie d'être...
Je t'aime comme tu ne peux même pas te l'imaginer...Aucun mot n'est assez grand pour t'exprimer combien je t'aime...
Je t'attends pour tout te dire...
Tu es mon soleil et ma lune,
Tu es ma joie et ma peine,
Tu es mon remède et mon mal,
Tu es mon sourire et mes larmes,
Tu es mon ciel et ma terre,
Tu es mes jours et mes nuits,
Tu es mon présent et mon futur,
Tu ne seras jamais mon passé,
Mais pour toujours mon avenir,
Tu es tout pour moi,
Tu es ma vie.
Lis dans mon coeur.
Lis dans mon âme.
Lis dans mes mots.
Tu y verras tout ce que je ressens pour toi à chaque instant, à tout moment.
Je t'aime
Tu es ma joie et ma peine,
Tu es mon remède et mon mal,
Tu es mon sourire et mes larmes,
Tu es mon ciel et ma terre,
Tu es mes jours et mes nuits,
Tu es mon présent et mon futur,
Tu ne seras jamais mon passé,
Mais pour toujours mon avenir,
Tu es tout pour moi,
Tu es ma vie.
Lis dans mon coeur.
Lis dans mon âme.
Lis dans mes mots.
Tu y verras tout ce que je ressens pour toi à chaque instant, à tout moment.
Je t'aime
Tu sais que je respire la jalousie.
Chaque fois que je te vois prés d'elle.
Tu sais que tu me tues.
Chaque fois que tes doigts touchent ses bras.
Chaque fois que tu passes.
Que tu l’embrasses en face de moi.
Pourtant tu n’arrêtes pas.
A faire de moi, ce que tu veux.
Tu aimes ce jeu.
Pourtant,
Je me demande ce que je suis pour toi.
Pourquoi?
Pourquoi toutes ces lettres que tu as écrites pour moi?
Si ce n’était pas du fond de toi.
Même si du passé pour toi.
Pourquoi?
Tu fais autant de mal à moi.
Je le sens toujours en moi.
Cet amour, je le vis.
Je le respire.
Si tu n’arrêtes pas tes délires.
Je vais finir folle.
A cause de ton jeu.
Physique on peu comprendre, mais l’autre est déroutante
Elle est insupportable, elle semble inexistante
Et pourtant elle taraude, telle une érosion lente
Elle ronge d’une manière insidieuse, indécente
Elle surgit sans prévenir pour ternir l’avenir
Les racines bien ancrées tout au fond d’un passé
Alors pour la combattre, et enfin l’abolir
Il faut déterminer là ou elle fut créée
Physique bien qu’elle tourmente on peut la repousser
Par toute médication voir même anesthésique
Qu’elle soit lancinante dévorante même chronique
On trouve le moyen pour mieux la juguler
Mais lorsqu’elle est psychique ou bien psychologique
C’est dans le cœur ou l’âme que se trouve sa logique
Il conviendra alors pour calmer son ampleur
De devenir amnésique, pour tuer la douleur.
Elle est insupportable, elle semble inexistante
Et pourtant elle taraude, telle une érosion lente
Elle ronge d’une manière insidieuse, indécente
Elle surgit sans prévenir pour ternir l’avenir
Les racines bien ancrées tout au fond d’un passé
Alors pour la combattre, et enfin l’abolir
Il faut déterminer là ou elle fut créée
Physique bien qu’elle tourmente on peut la repousser
Par toute médication voir même anesthésique
Qu’elle soit lancinante dévorante même chronique
On trouve le moyen pour mieux la juguler
Mais lorsqu’elle est psychique ou bien psychologique
C’est dans le cœur ou l’âme que se trouve sa logique
Il conviendra alors pour calmer son ampleur
De devenir amnésique, pour tuer la douleur.
J'aimerais avoir le pouvoir d'effectuer de la transmission de penser. Comme çà, tu pourrais lire dans mon coeur comme dans un livre ouvert.
Je voudrais te faire savoir à quel point je t'aime.
Cet éloignement dont je suis fautive me pèse terriblement.
Je t'attends, j'ai l'espoir.
J'ai besoin de toi toujours avec moi.
Tu représentes tant pour moi; tu es la femme que j'aime, tu es la femme que je veux pour femme.
"Je t'aime" ce mot si galvaudé, si souvent tendrement échangé. Ce mot tant attendu que je n'avais pas écrit.
Ce mot que je n'avais pas prononcé. Ce mot que je te réservais pour te le livrer face à face, les yeux dans les yeux.
Je te l'ai donc livré et te le crierai encore plus fort et de plus en plus fort avec sincérité.
Sache que je l'assume. Sache que je ne craints pas de le hurler et pour toi, de tout abandonner.
Je t'aime
Je voudrais te faire savoir à quel point je t'aime.
Cet éloignement dont je suis fautive me pèse terriblement.
Je t'attends, j'ai l'espoir.
J'ai besoin de toi toujours avec moi.
Tu représentes tant pour moi; tu es la femme que j'aime, tu es la femme que je veux pour femme.
"Je t'aime" ce mot si galvaudé, si souvent tendrement échangé. Ce mot tant attendu que je n'avais pas écrit.
Ce mot que je n'avais pas prononcé. Ce mot que je te réservais pour te le livrer face à face, les yeux dans les yeux.
Je te l'ai donc livré et te le crierai encore plus fort et de plus en plus fort avec sincérité.
Sache que je l'assume. Sache que je ne craints pas de le hurler et pour toi, de tout abandonner.
Je t'aime
Désespoir...
Je ne voulais pas savoir.
Connaître ta détresse m'est insupportable.
Notre amour est né dans un lieu interdit, par égoïsme, sans distance thérapeutique.
Le tourbillon de la passion nous a entraînées dans un monde irréel, intemporel où entrent et sortent les démons du passé. Pas assez fortes, nous n'avons pas su les affronter, les combats étaient durs et inégaux. Blessée, j'ai décidé de tout arrêter, incapable comme à chaque fois d'attendre et d'élaborer un plan de bataille plus efficace, permettant de nous sauver.
Egoïste, cherchant à me sauver, je n'ai pas pensé à ton chagrin, je voulais vivre.
Le tourbillon t'a emporté, te voilà seule pour affronter les ogres du passé, de ton passé.
Pour moi la guerre est terminée, l'équilibre s'est réinstallé.
Seule, je n'y serais pas arrivée...
Le passé, je l'évite car les morts ont une force que je ne peux combattre. Le présent me fortifie et je me dirige vers l'avenir, confiante et sereine.
Quelques fois je m'en veux de te laisser seule mais je n'ai pas le choix. Accroche-toi, même dans les tourbillons il y a des aires de repos où tu trouveras des doses de courage pour dire NON, enfiler une cuirasse et retourner, avec force, obstination à la vie.
Je ne voulais pas savoir.
Connaître ta détresse m'est insupportable.
Notre amour est né dans un lieu interdit, par égoïsme, sans distance thérapeutique.
Le tourbillon de la passion nous a entraînées dans un monde irréel, intemporel où entrent et sortent les démons du passé. Pas assez fortes, nous n'avons pas su les affronter, les combats étaient durs et inégaux. Blessée, j'ai décidé de tout arrêter, incapable comme à chaque fois d'attendre et d'élaborer un plan de bataille plus efficace, permettant de nous sauver.
Egoïste, cherchant à me sauver, je n'ai pas pensé à ton chagrin, je voulais vivre.
Le tourbillon t'a emporté, te voilà seule pour affronter les ogres du passé, de ton passé.
Pour moi la guerre est terminée, l'équilibre s'est réinstallé.
Seule, je n'y serais pas arrivée...
Le passé, je l'évite car les morts ont une force que je ne peux combattre. Le présent me fortifie et je me dirige vers l'avenir, confiante et sereine.
Quelques fois je m'en veux de te laisser seule mais je n'ai pas le choix. Accroche-toi, même dans les tourbillons il y a des aires de repos où tu trouveras des doses de courage pour dire NON, enfiler une cuirasse et retourner, avec force, obstination à la vie.
Comme cet étrange ce bizarre sentiment de déjà vu qui s'empare de moi lorsque je me balade en ville en ce moment.
Comme c'est troublant aussi ces coïncidences du destin sans doute.
J'ai le sentiment de revivre une scène vécue il y a maintenant plus de 10 ans déjà.
Ce dimanche là, il faisait beau et chaud, lourd même, je me baladait sur une brocante, et j’avais aperçu une photocopie de mauvaise qualité signalant la disparition de deux petites filles aux prénoms inconnus à l'époque: "Julie et Melissa".
Hier dimanche, il faisait chaud et lourd et je revenais d'une promenade avec le chien quand j’ai aperçu une photocopie de mauvaise qualité placardée sur une vitrine, signalant la disparition de deux petites filles aux prénoms pas encore très connus: "Nathalie et Stacy".
Sentiment de malaise à nouveau au vu des souvenirs.
Que de similitudes en plus, une disparition au mois de juin, un week-end, deux petites filles pratiquement du même âge, disparition dans la région de Liège etc.
L'histoire semble repasser les plats, mais jusqu'où ?
Pourvu que cette fois, la fin soit différente ! Où devons nous déjà prévoir de longues soirées d'hiver à regarder à la télé, une nouvelle commission parlementaire tenant en haleine tout un peuple comme un feuilleton macabre imaginé par je ne sais qui ?
On se souvient tous du terrible bouleversement que la Belgique à subit suite à l'affaire Dutroux, j'espère que les leçons auront étés tirées et que nous ne revivrons plus tout cela.
Tiens, bête question : est-ce que quelqu'un a pensé à vérifier si Dutroux était toujours bien en prison ? Moi, je dis ça comme ça, on ne sait jamais !
Comme c'est troublant aussi ces coïncidences du destin sans doute.
J'ai le sentiment de revivre une scène vécue il y a maintenant plus de 10 ans déjà.
Ce dimanche là, il faisait beau et chaud, lourd même, je me baladait sur une brocante, et j’avais aperçu une photocopie de mauvaise qualité signalant la disparition de deux petites filles aux prénoms inconnus à l'époque: "Julie et Melissa".
Hier dimanche, il faisait chaud et lourd et je revenais d'une promenade avec le chien quand j’ai aperçu une photocopie de mauvaise qualité placardée sur une vitrine, signalant la disparition de deux petites filles aux prénoms pas encore très connus: "Nathalie et Stacy".
Sentiment de malaise à nouveau au vu des souvenirs.
Que de similitudes en plus, une disparition au mois de juin, un week-end, deux petites filles pratiquement du même âge, disparition dans la région de Liège etc.
L'histoire semble repasser les plats, mais jusqu'où ?
Pourvu que cette fois, la fin soit différente ! Où devons nous déjà prévoir de longues soirées d'hiver à regarder à la télé, une nouvelle commission parlementaire tenant en haleine tout un peuple comme un feuilleton macabre imaginé par je ne sais qui ?
On se souvient tous du terrible bouleversement que la Belgique à subit suite à l'affaire Dutroux, j'espère que les leçons auront étés tirées et que nous ne revivrons plus tout cela.
Tiens, bête question : est-ce que quelqu'un a pensé à vérifier si Dutroux était toujours bien en prison ? Moi, je dis ça comme ça, on ne sait jamais !
Tout de travers, tout
Quand l'eau de ta peine
Troue dans mon âme, Bijou,
Un clair de coeur-fontaine …
Lune, fais de moi un croissant de soleil,
Fais-moi grappe de tendresse pour demain
Pour mûrir l'amour bleu au coeur des treilles,
Et qu'une fois pour toutes, se fanent les chagrins ...
... au petit matin, j'aime grignoter ton coeur en volant la nuit sur tes lèvres ...
Quand l'eau de ta peine
Troue dans mon âme, Bijou,
Un clair de coeur-fontaine …
Lune, fais de moi un croissant de soleil,
Fais-moi grappe de tendresse pour demain
Pour mûrir l'amour bleu au coeur des treilles,
Et qu'une fois pour toutes, se fanent les chagrins ...
... au petit matin, j'aime grignoter ton coeur en volant la nuit sur tes lèvres ...
Je mène avec ma chérie une grande aventure, celle de la longue quête vers l'homoparentalité! Nous avons opté tout d'abord pour l'insémination artificielle, mais après 2 essais infructueux nous nous sommes tournées vers la fécondation in vitro! Pas facile tout les jours à gérer ce désir d'enfant qui se tardait à se concrétiser, mais ça vaut le coup!
Les stimulations hormonales et les essais soldés par un échec m'ont mise un peu sur les genoux tant physiquement que moralement, et puis nous sommes passées à la vitesse supérieure avec la Fécondation in vitro! On a croisé les doigts pour que ça fonctionne!
Notre futur bébé pourra en tout cas avoir une certitude c'est qu'il ou elle aura été terriblement désiré!
Un bouleversement majeur vient de se produire dans ma vie. Je suis enceinte. Enfin, je porte notre enfant. Depuis maintenant 5 semaines, un petit être se développe en moi. Mon esprit est en ébullition, et mon corps en pleine mutation! Ce rêve qui se concrétise me fait me sentir totalement vivante, présente et à la fois si fragile. Heureusement ma moitié est plus présente que jamais, attentionnée, douce et tendre à mes cotés. Cette promesse d'un enfant c'est bouleversant!!!
Les stimulations hormonales et les essais soldés par un échec m'ont mise un peu sur les genoux tant physiquement que moralement, et puis nous sommes passées à la vitesse supérieure avec la Fécondation in vitro! On a croisé les doigts pour que ça fonctionne!
Notre futur bébé pourra en tout cas avoir une certitude c'est qu'il ou elle aura été terriblement désiré!
Un bouleversement majeur vient de se produire dans ma vie. Je suis enceinte. Enfin, je porte notre enfant. Depuis maintenant 5 semaines, un petit être se développe en moi. Mon esprit est en ébullition, et mon corps en pleine mutation! Ce rêve qui se concrétise me fait me sentir totalement vivante, présente et à la fois si fragile. Heureusement ma moitié est plus présente que jamais, attentionnée, douce et tendre à mes cotés. Cette promesse d'un enfant c'est bouleversant!!!
Il est trop tard pour te pleurer,
Mais il est bien trop tôt pour ne plus t'aimer.
Tu ne sauras jamais combien j'ai pus souffrir
Le jour où mon amour n'a plus sus te retenir.
J'avais tant encore à partager en plus de ma tendresse,
Mais toi tu restais indifférente à mes mots à mes gestes.
On me dit d'essayer de t'oublier, de tout recommencer
Mais comment le pourrais-je avec sur mes lèvres le goût de tes baisers?
Je suis dans l'obscurité sans la lumière de tes yeux
Et dans cette obscurité mon coeur s'étiole peu à peu.
Je sais bien qu'il est trop tard pour te pleurer
Mais il est il est aussi bien trop tôt pour ne plus t'aimer
Mais il est bien trop tôt pour ne plus t'aimer.
Tu ne sauras jamais combien j'ai pus souffrir
Le jour où mon amour n'a plus sus te retenir.
J'avais tant encore à partager en plus de ma tendresse,
Mais toi tu restais indifférente à mes mots à mes gestes.
On me dit d'essayer de t'oublier, de tout recommencer
Mais comment le pourrais-je avec sur mes lèvres le goût de tes baisers?
Je suis dans l'obscurité sans la lumière de tes yeux
Et dans cette obscurité mon coeur s'étiole peu à peu.
Je sais bien qu'il est trop tard pour te pleurer
Mais il est il est aussi bien trop tôt pour ne plus t'aimer
Un jour elle s’est posée sur mon cœur
Elle a trouvée ou je rangeais mes sentiments et mes douleurs
Les émotions que je ne savais plus exprimer
J’ai réalisé, que j’étais dans mon monde, enfermée
Que je devais dire ce que je ressentais, sans honte et sans regrets
Depuis ce jour, j’ai retrouvé la sérénité
Je ne peux plus me passer d’elle
Elle est tellement gentille ma petite coccinelle !
Il faut que je lui rende sa liberté, que je la laisse s’envoler
Dorénavant, si vous voyez une coccinelle
Portez la sur votre cœur, elle rendra peut-être votre vie plus belle
Quand vous lui rendrez la liberté, regardez bien
Elle emporte avec elle tous les points noirs du passé !
Elle a trouvée ou je rangeais mes sentiments et mes douleurs
Les émotions que je ne savais plus exprimer
J’ai réalisé, que j’étais dans mon monde, enfermée
Que je devais dire ce que je ressentais, sans honte et sans regrets
Depuis ce jour, j’ai retrouvé la sérénité
Je ne peux plus me passer d’elle
Elle est tellement gentille ma petite coccinelle !
Il faut que je lui rende sa liberté, que je la laisse s’envoler
Dorénavant, si vous voyez une coccinelle
Portez la sur votre cœur, elle rendra peut-être votre vie plus belle
Quand vous lui rendrez la liberté, regardez bien
Elle emporte avec elle tous les points noirs du passé !
Pardon mais ça ne va pas. Je me perds, je m'y perds. Il paraît que quand ça ne va pas, il faut écrire donc j'écris.
Quand le jour s'en va,
Recommence le même combat,
Face à face sans relâche,
Lutte interminable,
Entre cette bouffe et moi,
Qui en premier perdra la face?
Quand le jour s'en va,
Recommence la même torture.
On croit que c'est facile,
Que tout est tranquille,
On croit que ça ira,
Que ça s'arrêtera,
Comme ça a commencé,
Mais c'est pas vrai!
Quand le soir tombe,
Prête à exploser la même bombe,
Quand le soir tombe,
J'ai peur qu'il replonge,
Ce moi que je ne contrôle pas!
Tout ce que j'ai envie d'écrire, c'est "viens me voir, viens vite, viens ce soir, viens tout de suite...".
Je sais que tu es là. Je tiens le coup aujourd'hui mais jusqu'à quand car les heures les plus difficiles arrivent...
car le soir tombe....
Je t'aime
Quand le jour s'en va,
Recommence le même combat,
Face à face sans relâche,
Lutte interminable,
Entre cette bouffe et moi,
Qui en premier perdra la face?
Quand le jour s'en va,
Recommence la même torture.
On croit que c'est facile,
Que tout est tranquille,
On croit que ça ira,
Que ça s'arrêtera,
Comme ça a commencé,
Mais c'est pas vrai!
Quand le soir tombe,
Prête à exploser la même bombe,
Quand le soir tombe,
J'ai peur qu'il replonge,
Ce moi que je ne contrôle pas!
Tout ce que j'ai envie d'écrire, c'est "viens me voir, viens vite, viens ce soir, viens tout de suite...".
Je sais que tu es là. Je tiens le coup aujourd'hui mais jusqu'à quand car les heures les plus difficiles arrivent...
car le soir tombe....
Je t'aime
Au fond de mon cœur tu es
Un être proche des elfes
Rire on a souvent fait
Et crois moi essence de ma vie tu es
Loin de part… maintenant tu es
Il y a des chemins que mon être pourrait
En tout cas merci pour tout et à jamais
Un être proche des elfes
Rire on a souvent fait
Et crois moi essence de ma vie tu es
Loin de part… maintenant tu es
Il y a des chemins que mon être pourrait
En tout cas merci pour tout et à jamais
Je n'ai été qu'une fourmi dans ta vie
...
Malgré ta distance et tes silences
Tu m'as fait construire une vie
Petit à petit
Et de tout cela ne reste que des débris...
Je voudrais que tu souries
Je voudrais que tu m'aimes
Tu n'as envers moi que de la haine
Il y a celle qui aime et celle qui est aimée
Pour toi j'ai de la pitié quand je mesure l'étendue de ta méchanceté.
Dans tes propos, dans tes mots
J'étais là...
Je serai là...
Effacement de toi et moi...
Je te garde malgré tout en moi
Et je ne t'oublierai pas
Je n'aurais jamais dû te rencontrer...
Mais en Te manquant
J'aurais manqué une partie de moi
C'est pour cette raison que depuis notre Nous éparpillée
Je ne suis qu'une moitié écorchée
...
Malgré ta distance et tes silences
Tu m'as fait construire une vie
Petit à petit
Et de tout cela ne reste que des débris...
Je voudrais que tu souries
Je voudrais que tu m'aimes
Tu n'as envers moi que de la haine
Il y a celle qui aime et celle qui est aimée
Pour toi j'ai de la pitié quand je mesure l'étendue de ta méchanceté.
Dans tes propos, dans tes mots
J'étais là...
Je serai là...
Effacement de toi et moi...
Je te garde malgré tout en moi
Et je ne t'oublierai pas
Je n'aurais jamais dû te rencontrer...
Mais en Te manquant
J'aurais manqué une partie de moi
C'est pour cette raison que depuis notre Nous éparpillée
Je ne suis qu'une moitié écorchée
Ton pas dans mon pas
Mon chant dans ta voix
Tes doigts dans mes doigts
Est-ce possible ou pas?
Ton désir dans mes yeux
Mon rire sur tes lèvres
Et nos nuits trop brèves
Est-ce possible ou pas?
Mon âme dans ton âme
Ton coeur dans mon coeur
Et ma vie pour toi
Est-ce possible ou pas?
Non, surtout ne dis rien
Nous le saurons demain
Mon chant dans ta voix
Tes doigts dans mes doigts
Est-ce possible ou pas?
Ton désir dans mes yeux
Mon rire sur tes lèvres
Et nos nuits trop brèves
Est-ce possible ou pas?
Mon âme dans ton âme
Ton coeur dans mon coeur
Et ma vie pour toi
Est-ce possible ou pas?
Non, surtout ne dis rien
Nous le saurons demain
mes seins
que tu adores
et que tu observes dans le silence
que tu touche doucement
avec tes doigts
et tes lèvres
que tu mords et tu lèches
ils remplissent tes mains
et ton imagination
ils t'excitent
et ils te désespèrent
mes seins
pour toi ils attendent
soucieux
tendus de désir
que tu adores
et que tu observes dans le silence
que tu touche doucement
avec tes doigts
et tes lèvres
que tu mords et tu lèches
ils remplissent tes mains
et ton imagination
ils t'excitent
et ils te désespèrent
mes seins
pour toi ils attendent
soucieux
tendus de désir
C'était la nuit d'halloween.
Sous l'horloge, les baisers se prolongeaient.
Bonjour, car on venait de se trouver enfin, aussi au-revoir, car le moment des adieux sonnait déjà.
Bientôt la distance, les kilomètres par centaines.
Noir.
La couleur de tes fringues, la lueur obscure de ton regard, la nuance de tes cheveux.
Diable aux corps dans les ténébres de circonstance.
Moi, dans tes bras.
Blonde aux yeux clairs qui tente de t' Angel-iser, la peau aux effluves de mon parfum sucré.
Pacte infernal.
Alliance mi-ange, mi-démon.
Myriam, Aurélie, Daniélle & Sophie
Sous l'horloge, les baisers se prolongeaient.
Bonjour, car on venait de se trouver enfin, aussi au-revoir, car le moment des adieux sonnait déjà.
Bientôt la distance, les kilomètres par centaines.
Noir.
La couleur de tes fringues, la lueur obscure de ton regard, la nuance de tes cheveux.
Diable aux corps dans les ténébres de circonstance.
Moi, dans tes bras.
Blonde aux yeux clairs qui tente de t' Angel-iser, la peau aux effluves de mon parfum sucré.
Pacte infernal.
Alliance mi-ange, mi-démon.
Myriam, Aurélie, Daniélle & Sophie
Prends ma main
Ne la lâche pas
J’écouterai ce que tu veux me dire
Si tu préfères te taire
J’écouterai ton silence
si tu ris,
Je rirai avec toi
Et si tu pleures
Je serai tout simplement là !
Devine !!!!!!!!!
Ne la lâche pas
J’écouterai ce que tu veux me dire
Si tu préfères te taire
J’écouterai ton silence
si tu ris,
Je rirai avec toi
Et si tu pleures
Je serai tout simplement là !
Devine !!!!!!!!!
Comme faisant partie de toi ...
De ta globalité...
Tu veux pleurer toutes les larmes...
Va...
Laisse les couler une à une...
Laisse les te pénétrer par leur chaleur...
Elles sauront trouver le chemin de l'arc en ciel...
Cependant, laisse moi partager tes larmes...
Comme si elles pouvaient ouvrir un chemin...
Donner naissance à une autre voie...
Un sentier que ni l'une ni l'autre ne connaissons...
Ne passe pas ni à coté de tes larmes, ni de...
Seul je ne sais qui ...
Un Être supérieur qui peut prendre de multiples visages...
Seul lui sait ce que l'on doit ou pas...
J'accueille tes larmes comme si elles étaient miennes...
Une à une je leurs ouvre la porte...
À une réconciliation de l'âme vers un demain...
Vers une autre âme...
De ta globalité...
Tu veux pleurer toutes les larmes...
Va...
Laisse les couler une à une...
Laisse les te pénétrer par leur chaleur...
Elles sauront trouver le chemin de l'arc en ciel...
Cependant, laisse moi partager tes larmes...
Comme si elles pouvaient ouvrir un chemin...
Donner naissance à une autre voie...
Un sentier que ni l'une ni l'autre ne connaissons...
Ne passe pas ni à coté de tes larmes, ni de...
Seul je ne sais qui ...
Un Être supérieur qui peut prendre de multiples visages...
Seul lui sait ce que l'on doit ou pas...
J'accueille tes larmes comme si elles étaient miennes...
Une à une je leurs ouvre la porte...
À une réconciliation de l'âme vers un demain...
Vers une autre âme...
J'aurais voulu être la porte que tu ouvres
Lorsque tu as faim et froid
Et que tu rentres heureuse chez toi
Etre le Baume qui te soulage quand tu souffres
Etre la chanson que tu fredonnes au hasard
L'idée qui jaillit dans ta tête
Et l'éclat qui illumine ton regard
A la pensée d'une belle fête
J'aurais voulu être celle
Que tu cherches, que tu appelles
Qui aurait empli ton âme de poète
A qui tu aurais dédié
Quelques rimes, quelques couplets
Mais mon coeur est fatigué
Je ne t'ai jamais trouvée
Ou peut-être es-tu passé sans t'arrêter
Bien trop pressé, pour aller vers
TON AIMEE.....
Lorsque tu as faim et froid
Et que tu rentres heureuse chez toi
Etre le Baume qui te soulage quand tu souffres
Etre la chanson que tu fredonnes au hasard
L'idée qui jaillit dans ta tête
Et l'éclat qui illumine ton regard
A la pensée d'une belle fête
J'aurais voulu être celle
Que tu cherches, que tu appelles
Qui aurait empli ton âme de poète
A qui tu aurais dédié
Quelques rimes, quelques couplets
Mais mon coeur est fatigué
Je ne t'ai jamais trouvée
Ou peut-être es-tu passé sans t'arrêter
Bien trop pressé, pour aller vers
TON AIMEE.....
Pose tes mains sur moi
laisse glisser l'amour
entre tes doigts
comme le sable sur les plages d'été
dépose les cristaux millénaires
éparpillés
comme nos sentiments fébriles et enfantins
Etre de lumière
réinventé dans les songes
et frémissante ta voix
qu'aujourd'hui je perçois mieux
les couleurs et les teintes
sensuelles bigarrées de ta peau
nacrée amoureuse laiteuse
qui s'enivre sous les caresses
tendres et dévoilées
de mes vingt ans de poésie
féminines les mélodies
dansent dans la petite chambre
moite des derniers longs baisers
échangés secrets dans l'alcôve
où tu t'abandonnes
et où je te découvre
Petite fille du soleil
C'est toujours le sud
que je goûte
quand nous nous aimons
lentement
docilement
tendrement...
je t'aime...
laisse glisser l'amour
entre tes doigts
comme le sable sur les plages d'été
dépose les cristaux millénaires
éparpillés
comme nos sentiments fébriles et enfantins
Etre de lumière
réinventé dans les songes
et frémissante ta voix
qu'aujourd'hui je perçois mieux
les couleurs et les teintes
sensuelles bigarrées de ta peau
nacrée amoureuse laiteuse
qui s'enivre sous les caresses
tendres et dévoilées
de mes vingt ans de poésie
féminines les mélodies
dansent dans la petite chambre
moite des derniers longs baisers
échangés secrets dans l'alcôve
où tu t'abandonnes
et où je te découvre
Petite fille du soleil
C'est toujours le sud
que je goûte
quand nous nous aimons
lentement
docilement
tendrement...
je t'aime...
Il resurgit tout au fond de ma mémoire
Le Souvenir d'un bel été
Tous les parfums de ces grands soirs
La chaleur d'une belle amitié.
Sur nous, le temps passait en douceur
Baigné des secrets des confidences d'après-midi
Nos éclats de rires rayonnaient nos coeurs
Dans cet havre de quiétude de nos jeunes vies.
Il resurgit tout au fond de ma Mémoire
L'Innocent Bonheur d'Aimer
Tous les Trésors qu'offrent les Belles Histoires
Où s'effeuillent les Marguerites des Prés.
Car cette petite Carte retrouvée, j'en suis Fière !
Où dormaient quelques Mots griffonnés
M'a ramenée en ces Jours d'Hier
Flash Eclair des Intimes Pensées.
Quant à cette simple Photographie
Où nos regards tendres brillaient
Je la glisserai cette Nuit
Sous les Draps de mes Rêves d'Eté.
Puis, resurgira, tout au fond de ma Mémoire ...
Le Souvenir d'un bel été
Tous les parfums de ces grands soirs
La chaleur d'une belle amitié.
Sur nous, le temps passait en douceur
Baigné des secrets des confidences d'après-midi
Nos éclats de rires rayonnaient nos coeurs
Dans cet havre de quiétude de nos jeunes vies.
Il resurgit tout au fond de ma Mémoire
L'Innocent Bonheur d'Aimer
Tous les Trésors qu'offrent les Belles Histoires
Où s'effeuillent les Marguerites des Prés.
Car cette petite Carte retrouvée, j'en suis Fière !
Où dormaient quelques Mots griffonnés
M'a ramenée en ces Jours d'Hier
Flash Eclair des Intimes Pensées.
Quant à cette simple Photographie
Où nos regards tendres brillaient
Je la glisserai cette Nuit
Sous les Draps de mes Rêves d'Eté.
Puis, resurgira, tout au fond de ma Mémoire ...
J'en peux plus, je n'en peux vraiment plus.
J'ai besoin de savoir comment tu vas, comment ça se passe là-bas.
J'ai besoin de t'entendre. J'ai besoin de parler. Je suis à bout.
Ce silence est une véritable torture pour moi.
Ce silence est la pire des souffrances.
J'ai craqué au boulot... Je me suis empiffrée, j’ai amassé...Je ne pourrais pas dire quel goût ça avait...L’important était de l’enfourner, encore et encore plus.
Et maintenant, je suis malade. Je remets. J’évacue tout ce dégoût de moi. J’ai l’impression que tout va sortir, que mes organes vont s'arracher de mon corps.
Je crève de mal...
J’ai froid...
Assumer ses faiblesses,
Assumer sa sensibilité,
Je regrette tellement...
Mais Dieu n’entend même plus mes prières,
Dieu est sourd !
Tout m’abandonne...
Y a plus personne.
De toute façon, personne sinon...mais j’ai tant besoin de parler...
Certaines choses ont changé et ne pas pouvoir les dire, c’est une punition de plus.
Je voudrais tant te parler, te dire mais...
« ...Des jours et des nuits entières à t’aimer...des jours et des nuits entières à t’attendre...ma vie...Je t’aime comme je respire... »
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. »
Le pire est de se dégoûter...
Le pire est d’avoir blessé et de se punir...
Le pire est de ne pas savoir contrôler les crises...
Le pire est que chaque jour, chaque nuit, ça recommence...
Le pire est ce silence insoutenable...
Le pire, c’est de ne pas savoir, de n’avoir aucun signe, aucun geste, rien...
Le pire est de se sentir abandonnée...
Le pire est de se sentir perdue...
J'ai besoin de savoir comment tu vas, comment ça se passe là-bas.
J'ai besoin de t'entendre. J'ai besoin de parler. Je suis à bout.
Ce silence est une véritable torture pour moi.
Ce silence est la pire des souffrances.
J'ai craqué au boulot... Je me suis empiffrée, j’ai amassé...Je ne pourrais pas dire quel goût ça avait...L’important était de l’enfourner, encore et encore plus.
Et maintenant, je suis malade. Je remets. J’évacue tout ce dégoût de moi. J’ai l’impression que tout va sortir, que mes organes vont s'arracher de mon corps.
Je crève de mal...
J’ai froid...
Assumer ses faiblesses,
Assumer sa sensibilité,
Je regrette tellement...
Mais Dieu n’entend même plus mes prières,
Dieu est sourd !
Tout m’abandonne...
Y a plus personne.
De toute façon, personne sinon...mais j’ai tant besoin de parler...
Certaines choses ont changé et ne pas pouvoir les dire, c’est une punition de plus.
Je voudrais tant te parler, te dire mais...
« ...Des jours et des nuits entières à t’aimer...des jours et des nuits entières à t’attendre...ma vie...Je t’aime comme je respire... »
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. »
Le pire est de se dégoûter...
Le pire est d’avoir blessé et de se punir...
Le pire est de ne pas savoir contrôler les crises...
Le pire est que chaque jour, chaque nuit, ça recommence...
Le pire est ce silence insoutenable...
Le pire, c’est de ne pas savoir, de n’avoir aucun signe, aucun geste, rien...
Le pire est de se sentir abandonnée...
Le pire est de se sentir perdue...
Je me dévoile tout doucement ce soir
Je laisse tomber devant toi ce voile noir
Qui couvrait mes épaules, ma poitrine
Tu me regardes tu me trouves sublime
Ton regard me dévore ne me quitte pas
J’avance vers toi timide, et à petit pas
Te regardant bien au fond dans les yeux
Et puis tendrement je me prends au jeu
Je laisse soudain tout tomber à tes pieds
Même si je me sentais par toi épiée
Mais ravie et fière de cette mise à nue
De ne plus être ce soir une détenue
De mes angoisses d’antan de mes peurs
Puis dans tes bras je me blottit, je pleure
Soulagée de t’avoir montré mon cœur
Désormais plus rien ne me fera peur
Ce soir, c’est le réveillon
2000 et des poussières
Dans toutes les maisons
Scintillent les lumières
Les nœuds papillons
Sortis de leurs repères
Flirtent avec des millions
De paillettes en rivières
On a emballé nos cœurs
De soie et de satin
Pour faire appel au bonheur
C’est plus joli, c’est certain
Mais ce goût de déjà vu
Et ces fichues traditions
Que chaque année on nous ressert
Parce qu’il n’y a pas de raisons
On a préparé d’avance
Cette nuit pleine d’étoiles
Le hasard n’a pas de chance
Il n’est invité nulle part
Les petits plats dans les grands
Les meilleurs millésimes
Cette nuit pas question
De parler de régime
Sur le coup de minuit
L’œil rivé sur nos montres
Pour ne pas faire de crédit
Aux anciennes secondes
On se fera des souhaits
Pour une année douce et ronde
On échangera nos présents
On s’embrassera sous le gui
Rien ne change vraiment
C’est juste comme ça la vie
Aurons nous des regrets
Quand il sera trop tard?
Quand nous serons les derniers
Assis tous seuls dans le noir?
Serons nous nostalgiques
De ces soirs de réveillons
Où l’on allait parfois avec des pieds de plomb?
Est-ce que l’on n’aura pas envie
Pour un soir ou pour une heure
De refaire simplement
Le chemin à l’envers?
Myriam, Claudia, Aurélie, Danièllé & Sophie
2000 et des poussières
Dans toutes les maisons
Scintillent les lumières
Les nœuds papillons
Sortis de leurs repères
Flirtent avec des millions
De paillettes en rivières
On a emballé nos cœurs
De soie et de satin
Pour faire appel au bonheur
C’est plus joli, c’est certain
Mais ce goût de déjà vu
Et ces fichues traditions
Que chaque année on nous ressert
Parce qu’il n’y a pas de raisons
On a préparé d’avance
Cette nuit pleine d’étoiles
Le hasard n’a pas de chance
Il n’est invité nulle part
Les petits plats dans les grands
Les meilleurs millésimes
Cette nuit pas question
De parler de régime
Sur le coup de minuit
L’œil rivé sur nos montres
Pour ne pas faire de crédit
Aux anciennes secondes
On se fera des souhaits
Pour une année douce et ronde
On échangera nos présents
On s’embrassera sous le gui
Rien ne change vraiment
C’est juste comme ça la vie
Aurons nous des regrets
Quand il sera trop tard?
Quand nous serons les derniers
Assis tous seuls dans le noir?
Serons nous nostalgiques
De ces soirs de réveillons
Où l’on allait parfois avec des pieds de plomb?
Est-ce que l’on n’aura pas envie
Pour un soir ou pour une heure
De refaire simplement
Le chemin à l’envers?
Myriam, Claudia, Aurélie, Danièllé & Sophie
Qui étais-tu?
C’était un retour de vacances
Je revenais d’Espagne
Un voyage de nuit
Le retour sur Liége
Je devais avoir 19 ans
J’étais seule dans mon compartiment
Lors d’un arrêt, tu es entrée
Vers moi tu as regardé
Tu croyais que je dormais
En fait, je simulais
Tu as enlevé ta robe
Il faisait sombre
J’ai deviné ton corps
Je ne voyais que ton dos
Tu t’es allongée sur l’autre couchette
Par le léger drap, tu étais recouverte.
Au rythme des légères secousses du train
Tu t’es mise à parcourir ton corps de ta main
Je devinais tes caresses de plus en plus précises
A celles ci, tu semblais soumise
Tu as deviné que je dormais pas
Sans doute, tu le savais déjà
Tu t’es levée
Près de moi, tu t’es allongée
Il faisait chaud, il faisait lourd
Sans un mot, nous avons fait l’amour
J’ai du être maladroite
Pour moi, c’était la première fois
Nous sommes restées allongées
Sans se parler, juste se regarder
Le haut parleur annonce l’arrivée en gare
C’est le moment de ton départ
Sur mes lèvres, tu déposes un baiser
Tu te presses de te rhabiller
Le train s’arrête
Seule je reste
Qui étais-tu ?
Jamais je ne l’ai su
Parfois, je me mets à rêver
De cette rencontre insensée.
C’était un retour de vacances
Je revenais d’Espagne
Un voyage de nuit
Le retour sur Liége
Je devais avoir 19 ans
J’étais seule dans mon compartiment
Lors d’un arrêt, tu es entrée
Vers moi tu as regardé
Tu croyais que je dormais
En fait, je simulais
Tu as enlevé ta robe
Il faisait sombre
J’ai deviné ton corps
Je ne voyais que ton dos
Tu t’es allongée sur l’autre couchette
Par le léger drap, tu étais recouverte.
Au rythme des légères secousses du train
Tu t’es mise à parcourir ton corps de ta main
Je devinais tes caresses de plus en plus précises
A celles ci, tu semblais soumise
Tu as deviné que je dormais pas
Sans doute, tu le savais déjà
Tu t’es levée
Près de moi, tu t’es allongée
Il faisait chaud, il faisait lourd
Sans un mot, nous avons fait l’amour
J’ai du être maladroite
Pour moi, c’était la première fois
Nous sommes restées allongées
Sans se parler, juste se regarder
Le haut parleur annonce l’arrivée en gare
C’est le moment de ton départ
Sur mes lèvres, tu déposes un baiser
Tu te presses de te rhabiller
Le train s’arrête
Seule je reste
Qui étais-tu ?
Jamais je ne l’ai su
Parfois, je me mets à rêver
De cette rencontre insensée.
Quand elle est dans mes bras,
Personne n'est plus heureuse que moi
Quand elle est au boulot,
Je suis au bout du rouleau.
Quand je la vois de si loin,
Mes pas commencent à se presser,
Pour la saisir dans un coin,
La coller au mur et l'embrasser.
Que dira-t-elle de moi?
Une folle ou une perverse?
Je subis vraiment sa loi
Et je cherche à lui plaire.
Je l'approche et je l'embrasse,
Elle hurle et me dit: passe!
J'aimerais trouver les mots,
Qui soulageraient mon fardeau.
La fille mystérieuse peuple mes insomnies
Elle me sourit puis se sauve,
Elle a les pas rapides tel un fauve,
Courir pour elle est une manie.
Personne n'est plus heureuse que moi
Quand elle est au boulot,
Je suis au bout du rouleau.
Quand je la vois de si loin,
Mes pas commencent à se presser,
Pour la saisir dans un coin,
La coller au mur et l'embrasser.
Que dira-t-elle de moi?
Une folle ou une perverse?
Je subis vraiment sa loi
Et je cherche à lui plaire.
Je l'approche et je l'embrasse,
Elle hurle et me dit: passe!
J'aimerais trouver les mots,
Qui soulageraient mon fardeau.
La fille mystérieuse peuple mes insomnies
Elle me sourit puis se sauve,
Elle a les pas rapides tel un fauve,
Courir pour elle est une manie.
Une danse, un souffle léger
Ton corps, notre corps
Brisé, haletant
Je dois faire un effort
Et d'un aimant
Douloureusement me détacher
Une soif de toi qui ne s'assouvit jamais
J'ai toujours devant moi ce souvenir
De toi, tête rejetée, abandonnée
C'est là qu'il faudrait fuir
Et je ne peux plus m'arrêter
Je sens comme des ombres
De tes mains me parcourir encore
Des battements de coeurs
Plus forts
J'ai toujours en moi la saveur
De tes baisers et cette chaleur
Qui me mords
Souffle court, attentif
Penchée sur toi, yeux hagards
D'une pâleur excessive
Peur de toi et de ton regard
Faudrait que je m'esquive
Mais il est tard
Et ma volonté s'amenuise
Je ne me reconnais plus
Vidée, hypnotisée
"A quoi pense-tu?"
Je ne réfléchissais plus
Simplement je t'aimais
Ton corps, notre corps
Brisé, haletant
Je dois faire un effort
Et d'un aimant
Douloureusement me détacher
Une soif de toi qui ne s'assouvit jamais
J'ai toujours devant moi ce souvenir
De toi, tête rejetée, abandonnée
C'est là qu'il faudrait fuir
Et je ne peux plus m'arrêter
Je sens comme des ombres
De tes mains me parcourir encore
Des battements de coeurs
Plus forts
J'ai toujours en moi la saveur
De tes baisers et cette chaleur
Qui me mords
Souffle court, attentif
Penchée sur toi, yeux hagards
D'une pâleur excessive
Peur de toi et de ton regard
Faudrait que je m'esquive
Mais il est tard
Et ma volonté s'amenuise
Je ne me reconnais plus
Vidée, hypnotisée
"A quoi pense-tu?"
Je ne réfléchissais plus
Simplement je t'aimais
Crois en toi
En réponse à tes délires.
Essaye de me lire.
Toi.
La femme qui croit.
Qui n’a pas de place dans mon cœur !
Il faut que tu sache.
Que je suis l’amour.
De toutes les fleurs.
Que tu sois brune ou blonde.
Que tu sois mince ou ronde.
Que tu sois petite ou grande.
Tu’es au plus profond de moi.
Seulement crois en toi.
Ça te fera du bien.
Si tu ne pense à rien.
Ni à ton age.
Ni aux autres messages.
Qui tuent en toi.
La femme et la flamme.
L’amour et les larmes.
Réveille-toi.
Tu’es toujours vivante.
Tu’es toujours existante.
Dans chacun de mes gestes.
Dans mes pensées.
Tout au long du parcours de ma vie.
En réponse à tes délires.
Essaye de me lire.
Toi.
La femme qui croit.
Qui n’a pas de place dans mon cœur !
Il faut que tu sache.
Que je suis l’amour.
De toutes les fleurs.
Que tu sois brune ou blonde.
Que tu sois mince ou ronde.
Que tu sois petite ou grande.
Tu’es au plus profond de moi.
Seulement crois en toi.
Ça te fera du bien.
Si tu ne pense à rien.
Ni à ton age.
Ni aux autres messages.
Qui tuent en toi.
La femme et la flamme.
L’amour et les larmes.
Réveille-toi.
Tu’es toujours vivante.
Tu’es toujours existante.
Dans chacun de mes gestes.
Dans mes pensées.
Tout au long du parcours de ma vie.
Au Seuil de ma modeste Chaumière,
Tu poseras le Pas.
Un seul regard suffirait
Pour que Ta Confiance adoucisse mon Coeur.
Et quand Ta Présence enveloppera mon Espace,
Ma Chaleur amicale se colorera
D'innombrables Richesses.
Toi Seul, en connaîtras les Mystères!
Tu découvriras, de mes divers Chemins,
Les Senteurs épicées, fleuries et troublantes
De mon tendre Coeur.
Il se livrera, tel un Violon mélancolique
Qui libère sa Plainte.
Il t'emportera par-delà des Décors lumineux,
Vers des Brumes de Pluie ou des Orages violents.
Tes Lèvres sauront s'émouvoir
De ce Rire séduisant.
Tes Yeux sauront décrire les rayons enflammés
De tes secrètes Pensées.
Ton Coeur saura réveiller des Beautés insoupçonnables
Dans le Palais de mes Folies enfouies
Et Ton Ame sera devenue l'Alliée tant recherchée
Et que Jamais, Je ne Laisserai... repartir!
Tu poseras le Pas.
Un seul regard suffirait
Pour que Ta Confiance adoucisse mon Coeur.
Et quand Ta Présence enveloppera mon Espace,
Ma Chaleur amicale se colorera
D'innombrables Richesses.
Toi Seul, en connaîtras les Mystères!
Tu découvriras, de mes divers Chemins,
Les Senteurs épicées, fleuries et troublantes
De mon tendre Coeur.
Il se livrera, tel un Violon mélancolique
Qui libère sa Plainte.
Il t'emportera par-delà des Décors lumineux,
Vers des Brumes de Pluie ou des Orages violents.
Tes Lèvres sauront s'émouvoir
De ce Rire séduisant.
Tes Yeux sauront décrire les rayons enflammés
De tes secrètes Pensées.
Ton Coeur saura réveiller des Beautés insoupçonnables
Dans le Palais de mes Folies enfouies
Et Ton Ame sera devenue l'Alliée tant recherchée
Et que Jamais, Je ne Laisserai... repartir!
je me souviens de tes baisers
de chacun de tes mots et de tes vers
je n ai jamais rien pu oublié
des pierres de notre univers
la vie est passé en laissant ton visage
et ces terribles caresses de douleurs
qui m emprisonnent dans ces paysages
ou nous apprivoisions nos coeurs
la vie me guidant vers les rimes d un destin
dont tu chante si bien les chagrins
les larmes en encre d une poésie
ou j aime tant noyer mes dernières nuits
alors adieu et a toujours ma mélodie
je quitte l espace de nos souvenirs
et dans un dernier sourire de vie
je t abandonne la dernière lettre de mon désir
de chacun de tes mots et de tes vers
je n ai jamais rien pu oublié
des pierres de notre univers
la vie est passé en laissant ton visage
et ces terribles caresses de douleurs
qui m emprisonnent dans ces paysages
ou nous apprivoisions nos coeurs
la vie me guidant vers les rimes d un destin
dont tu chante si bien les chagrins
les larmes en encre d une poésie
ou j aime tant noyer mes dernières nuits
alors adieu et a toujours ma mélodie
je quitte l espace de nos souvenirs
et dans un dernier sourire de vie
je t abandonne la dernière lettre de mon désir
woauh je m'épate moi même...
s*** : saluttu recherches une rencontre?
Moi : Non je cherche une lampe ancienne...
s*** : tres bien, je suis antiquaire!
s*** : tu recherches quel genre de rencontre? one shoot?
Moi : j'ai dit que je cherchais une rencontre ???? n'en n'ai pas le sentiment...
Moi : je veux juste ma lampe :-)
s*** : ok ! un petit mot pôur te dire m.... adieu je fais pas dans les folles!
Moi : ouf adieu oui :)
s*** : va faire du sport ca aide!
Moi : à trouver une lampe ????
s*** : saluttu recherches une rencontre?
Moi : Non je cherche une lampe ancienne...
s*** : tres bien, je suis antiquaire!
s*** : tu recherches quel genre de rencontre? one shoot?
Moi : j'ai dit que je cherchais une rencontre ???? n'en n'ai pas le sentiment...
Moi : je veux juste ma lampe :-)
s*** : ok ! un petit mot pôur te dire m.... adieu je fais pas dans les folles!
Moi : ouf adieu oui :)
s*** : va faire du sport ca aide!
Moi : à trouver une lampe ????
a/// 08:30 : coucou tu es encore plus jolie
Moi : ah ?
Moi : et toi (toujours aussi) original ;-)
a/// 08:36 : je ne te plais pas moi
Moi : ?
a/// 08:40 : tu viens sur
svp
a/// 08:40 : merçi
Moi : desolee pas de
a/// 08:42 : allo
a/// 08:42 : comment te faire comprendre que je suis fou de toi
comment me faire comprendre, en effet ... GRANDE QUESTION ! ;-)
Moi : ah ?
Moi : et toi (toujours aussi) original ;-)
a/// 08:36 : je ne te plais pas moi
Moi : ?
a/// 08:40 : tu viens sur

a/// 08:40 : merçi
Moi : desolee pas de

a/// 08:42 : allo
a/// 08:42 : comment te faire comprendre que je suis fou de toi
comment me faire comprendre, en effet ... GRANDE QUESTION ! ;-)
J'ai posé mes lèvres
sur ton corps exalté
j'ai senti la fièvre
en moi s'éveiller
j'ai glissé mes mains
sur ta peau enivrante
jusqu'au petit matin
que d'envies indécentes
j'ai goûté fougueusement
la chaleur de ton corps
et aujourd'hui je ressens
le plaisir encore
J'ai embrassé tendrement
tes lèvres troublantes
et caressé lentement
ta vulve provocante
J'ai contemplé passionnée
ton regard frénétique
pour ne plus oublier
ces moments magiques
sur ton corps exalté
j'ai senti la fièvre
en moi s'éveiller
j'ai glissé mes mains
sur ta peau enivrante
jusqu'au petit matin
que d'envies indécentes
j'ai goûté fougueusement
la chaleur de ton corps
et aujourd'hui je ressens
le plaisir encore
J'ai embrassé tendrement
tes lèvres troublantes
et caressé lentement
ta vulve provocante
J'ai contemplé passionnée
ton regard frénétique
pour ne plus oublier
ces moments magiques
Voilà un moment fou
Un pur bonheur!
L'air devient si doux
Nuit de chaleur!
Dans une chambre, une femme ! Un coeur bat chamade
Et de concert, des grillons chantent la sérénade.
Raisonne le bruit d'une auto dans le lointain
Femme attend, espère!... C'est bien lui qui revient !
Voilà un quart de lune
Un beau ciel étoilé !
Brille la soie couleur prune
D'un simple déshabillé!
Jeux de mains! Caresses brûlantes sur corps nus.
Dans le jardin : le calme! Les ombres, on n'entend plus ...
Seuls, les baisers de l'intime jouent leur musique
En Rythme lent, épousé, sensuel et harmonique !
Voilà la lueur d'une bougie
Une senteur vanillée!
L'ambiance d'une magie
Quand la flamme ... a vacillé!
Les souffles sont " abandons " à l'aube du sommeil
Où les rêves poursuivent leur fusion septième ciel.
La douceur est exquise dans ces draps cotonneux,
Le repos mérité pour ces amants amoureux !...
Un pur bonheur!
L'air devient si doux
Nuit de chaleur!
Dans une chambre, une femme ! Un coeur bat chamade
Et de concert, des grillons chantent la sérénade.
Raisonne le bruit d'une auto dans le lointain
Femme attend, espère!... C'est bien lui qui revient !
Voilà un quart de lune
Un beau ciel étoilé !
Brille la soie couleur prune
D'un simple déshabillé!
Jeux de mains! Caresses brûlantes sur corps nus.
Dans le jardin : le calme! Les ombres, on n'entend plus ...
Seuls, les baisers de l'intime jouent leur musique
En Rythme lent, épousé, sensuel et harmonique !
Voilà la lueur d'une bougie
Une senteur vanillée!
L'ambiance d'une magie
Quand la flamme ... a vacillé!
Les souffles sont " abandons " à l'aube du sommeil
Où les rêves poursuivent leur fusion septième ciel.
La douceur est exquise dans ces draps cotonneux,
Le repos mérité pour ces amants amoureux !...
A Mon tour d'allumer ma bougie
le grand jour est arrivé
je vous quitte et je vous remercie toutes et tous
j'allume a présent moi aussi ma flamme
le temps de mon retour cette flamme je la met sur les dernières photos qui sont les plus chère a mon cœur, ma famille
je vous aime je serais toujours là maman, mamy
je vous embrasse
Aurélie
Nous
Un doux baiser que l’on a partagé et nos coeurs ont chaviré laissant nos voix coupées on a lentement réalisé que ce jour sera pour nous le début d’un grand amour.
Au fil du temps, nous planons ensemble vers un horizon rien qu’à nous nous emportant au gré du vent des instants mirifiques avec toi si romantique
Nos destins se ressemblent nos vies sont faites pour être ensemble toi et moi, continuons ce chemin parfait sans fin.
Ta peau douce tes gestes tendres tes bras vers moi et mon corps s’abandonne à toi dans le silence se perdent des échanges intenses
Ces instants en or que nous partageons sont et resteront pour nous le plus beau des trésors
Myriam
le grand jour est arrivé
je vous quitte et je vous remercie toutes et tous
j'allume a présent moi aussi ma flamme
le temps de mon retour cette flamme je la met sur les dernières photos qui sont les plus chère a mon cœur, ma famille
je vous aime je serais toujours là maman, mamy
je vous embrasse
Aurélie
Nous
Un doux baiser que l’on a partagé et nos coeurs ont chaviré laissant nos voix coupées on a lentement réalisé que ce jour sera pour nous le début d’un grand amour.
Au fil du temps, nous planons ensemble vers un horizon rien qu’à nous nous emportant au gré du vent des instants mirifiques avec toi si romantique
Nos destins se ressemblent nos vies sont faites pour être ensemble toi et moi, continuons ce chemin parfait sans fin.
Ta peau douce tes gestes tendres tes bras vers moi et mon corps s’abandonne à toi dans le silence se perdent des échanges intenses
Ces instants en or que nous partageons sont et resteront pour nous le plus beau des trésors
Myriam
A ceux qui me connaissent,
A ceux qui m’aiment bien
J’avoue je le confesse
Je ne cache plus rien
Si j’offre à leurs regards
Le galbe de mes seins
Ce n’est pas par hasard
Mais ça n’engage à rien
Je vais même plus loin
Beaucoup en sont témoins
Lorsque j’ouvre les cuisses
Que je montre l’esquisse
De ce qui fait parler
Mais aussi saliver
Ceux qui sont amateurs
De l’antre du bonheur.
N’ayez pas honte d’avoir
Cette raideur soudaine
J’en ferais pas d’histoire
Je n’suis pas puritaine.
Je m’offre en numérique
Non ce n’est pas tragique
Mais je jouis de savoir
Que vous aimez me voir.
A ceux qui m’aiment bien
J’avoue je le confesse
Je ne cache plus rien
Si j’offre à leurs regards
Le galbe de mes seins
Ce n’est pas par hasard
Mais ça n’engage à rien
Je vais même plus loin
Beaucoup en sont témoins
Lorsque j’ouvre les cuisses
Que je montre l’esquisse
De ce qui fait parler
Mais aussi saliver
Ceux qui sont amateurs
De l’antre du bonheur.
N’ayez pas honte d’avoir
Cette raideur soudaine
J’en ferais pas d’histoire
Je n’suis pas puritaine.
Je m’offre en numérique
Non ce n’est pas tragique
Mais je jouis de savoir
Que vous aimez me voir.
Mélange de tendresse et de mélancolie,
A la fois poète et marin réunis,
Rien n'a plus d'importance que d'aimer
C'est sincère, un sentiment pur et vrai.
Douce de par l'amour de ton mari
On vous voit tous deux dans la vie
Main dans la main, le regard amoureux,
Il faut vous imaginer pour le voir un peu mieux ;
Naturellement, j'imagine aisément !
Il n'est pas plus émouvant
Qu'un amour partagé,
Un amour qui fleurit nos pensées
Et nous fait nous sentir pousser des ailes
A tous deux, je dédie ce poème fait de vos pseudo en espérant vous toucher comme vous le faîtes lorsque les mots glissent sur le papier et que généreusement vous offrez un peu de votre génie.
Merci à vous
A la fois poète et marin réunis,
Rien n'a plus d'importance que d'aimer
C'est sincère, un sentiment pur et vrai.
Douce de par l'amour de ton mari
On vous voit tous deux dans la vie
Main dans la main, le regard amoureux,
Il faut vous imaginer pour le voir un peu mieux ;
Naturellement, j'imagine aisément !
Il n'est pas plus émouvant
Qu'un amour partagé,
Un amour qui fleurit nos pensées
Et nous fait nous sentir pousser des ailes
A tous deux, je dédie ce poème fait de vos pseudo en espérant vous toucher comme vous le faîtes lorsque les mots glissent sur le papier et que généreusement vous offrez un peu de votre génie.
Merci à vous
Je pense à lui, là… juste à l’instant
Voilà… ça fait trois ans et un mois que tu es parti… en ne laissant derrière toi que des interrogations… Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Il reste un paquet de choses que l’on ne comprend pas, qui nous échappe, qui nous laisse pantois, qui nous laisse sur le cul…
Tu n’avait que 18 ans, tu est parti sans prévenir, sans nous faire comprendre que la vie te dépassait, sans nous laisser le choix, en baissant les bras à ton premier et seul grand échec… en ne laissant derrière toi que des larmes, souffrances…
Ton acte aura été pour moi un des tout gros tournants de ma vie !!!
Même si je ne le montre pas, tu m’a appris à prendre énormément de recul par rapport à ce qui m’arrive, par rapport à ce qui m’entoure…
Je ne m’en fais plus, je me dis que les petits soucis de la vie quotidienne ne sont rien à côté de la souffrance de certaines personnes…
Il me manque un rien me rappelle à lui… une musique, un lieu, un regard, un look, une attitude, une action…
Je me suis sentie complètement impuissante, une culpabilité m’a envahie…
Pourquoi ne me l’avoir pas dit?
Pourquoi n’avoir pas attendu pour trouver une autre solution?
On ne le saura jamais… tu n’a rien laissé derrière toi, pas de mots… juste des attitudes que nous n’avons pas réussi à traduire…
Tu me manques UltimateOne…
J’ai repris ce pseudo en souvenir du pseudo du blog mon frère.
Voilà… ça fait trois ans et un mois que tu es parti… en ne laissant derrière toi que des interrogations… Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Il reste un paquet de choses que l’on ne comprend pas, qui nous échappe, qui nous laisse pantois, qui nous laisse sur le cul…
Tu n’avait que 18 ans, tu est parti sans prévenir, sans nous faire comprendre que la vie te dépassait, sans nous laisser le choix, en baissant les bras à ton premier et seul grand échec… en ne laissant derrière toi que des larmes, souffrances…
Ton acte aura été pour moi un des tout gros tournants de ma vie !!!
Même si je ne le montre pas, tu m’a appris à prendre énormément de recul par rapport à ce qui m’arrive, par rapport à ce qui m’entoure…
Je ne m’en fais plus, je me dis que les petits soucis de la vie quotidienne ne sont rien à côté de la souffrance de certaines personnes…
Il me manque un rien me rappelle à lui… une musique, un lieu, un regard, un look, une attitude, une action…
Je me suis sentie complètement impuissante, une culpabilité m’a envahie…
Pourquoi ne me l’avoir pas dit?
Pourquoi n’avoir pas attendu pour trouver une autre solution?
On ne le saura jamais… tu n’a rien laissé derrière toi, pas de mots… juste des attitudes que nous n’avons pas réussi à traduire…
Tu me manques UltimateOne…
J’ai repris ce pseudo en souvenir du pseudo du blog mon frère.
J’allais le congédier
Juste après ce dîner
Mais j’hésitais encore
J’étais trop omnivore
L’heure n’était plus à voir
Mais à prendre ou donner
Et à cette heure du soir
Tous trois voulions baiser
Bien sûr j’aurais pu dire
Avec juste un sourire
Pardonnez moi jeune homme
Il s’agit d’un huis clos
Et pour croquer la pomme
Je penche pour Lesbos.
Gardez donc mes photos
Pour décongestionner
Par quelques vibratos
Cette bosse exagérée
Mon con disait pas non
Devant cet étalon
Un choix trop cornélien
Il m’inondait les reins
Faisait saillir mes seins
Je voulais tout ou rien.
Qu’allais-je décider
Une femme dans mon lit
Ou un homme et son vit
Trois est un nombre entier.
Alors j’ai murmuré
Dans un spasme étouffé
Je vous sens ombrageux
Venez entre nous deux
Laquelle d’entre nous
Monsieur baiserez vous
Laissez moi lutiner
Ma tendre dulcinée
Quand à vous soyez fou
Mon sexe n’attend que vous.
Dois-je me taire ou conter
Cette folle chevauchée.
Ce fut une tornade
Chevauchée fantastique
Aucune débandade
Solide était la trique
Nous fûmes mille fois comblées
Honorées culbutées
Il su bien pour nous deux
Gardez raide l’épieu.
Juste après ce dîner
Mais j’hésitais encore
J’étais trop omnivore
L’heure n’était plus à voir
Mais à prendre ou donner
Et à cette heure du soir
Tous trois voulions baiser
Bien sûr j’aurais pu dire
Avec juste un sourire
Pardonnez moi jeune homme
Il s’agit d’un huis clos
Et pour croquer la pomme
Je penche pour Lesbos.
Gardez donc mes photos
Pour décongestionner
Par quelques vibratos
Cette bosse exagérée
Mon con disait pas non
Devant cet étalon
Un choix trop cornélien
Il m’inondait les reins
Faisait saillir mes seins
Je voulais tout ou rien.
Qu’allais-je décider
Une femme dans mon lit
Ou un homme et son vit
Trois est un nombre entier.
Alors j’ai murmuré
Dans un spasme étouffé
Je vous sens ombrageux
Venez entre nous deux
Laquelle d’entre nous
Monsieur baiserez vous
Laissez moi lutiner
Ma tendre dulcinée
Quand à vous soyez fou
Mon sexe n’attend que vous.
Dois-je me taire ou conter
Cette folle chevauchée.
Ce fut une tornade
Chevauchée fantastique
Aucune débandade
Solide était la trique
Nous fûmes mille fois comblées
Honorées culbutées
Il su bien pour nous deux
Gardez raide l’épieu.