Ultimate

Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
**** : salut, ca va? j'achete sous vetements usagés, si ca t'interesse de gagner de l'argent facilement, tu peut m'en revendre, c'est serieux et ca rapporte
Moi : ben figure toi que cela s'appelle le fétichisme !
**** : oui possible
**** : je rachete bon prix
**** : et tu achètes cela combien ???
****: je rachete bon prix
Moi : et tu achètes cela combien ???
**** : culotte 20 euros, bas 10 euros
Moi : ouf bien payé !!! cela doit être une culotte de combien de jours ????
**** : du jour avant ou du jour meme
Moi : oh oh vous !!!!
**** : quoi?
Moi : ben écoute même si c'est tentant, car bien payé, on est hors norme là donc je ne suis pas intéressée !!!
****c'est comme tu veut, c'est pourtant serieux
Moi : je n'en doute pas !!!
**** : bonjour
Moi : Bonsoir:-)
**** : tu vas bien?
Moi : A ma dernière prise de sang tout allais bien oui, et toi ?
**** : mdrpas mal du tt
**** : que cherches tu ici?
Moi : comme j'ai rien perdue, je ne cherche rien non plus
**** : okimoi je cherche femme plus mure pour lui donner du plaisir
Moi : et pourquoi une femme mure?
**** : j aime bien je c pas expliquer
Moi : En quête d’expériences ?
**** : en partie mais les deux femmes plus âgées que g eu g adore
Moi : Fallait les garder
Moi : on ne change pas une équipe qui gagne
Moi : Désolée mais je ne peux rien pour toi, j’ai toujours pas mûri dans ma tête, je suis restée au stade des Legos. Bonne chasse!
Moi : Bonsoir:-)
**** : tu vas bien?
Moi : A ma dernière prise de sang tout allais bien oui, et toi ?
**** : mdrpas mal du tt
**** : que cherches tu ici?
Moi : comme j'ai rien perdue, je ne cherche rien non plus
**** : okimoi je cherche femme plus mure pour lui donner du plaisir
Moi : et pourquoi une femme mure?
**** : j aime bien je c pas expliquer
Moi : En quête d’expériences ?
**** : en partie mais les deux femmes plus âgées que g eu g adore
Moi : Fallait les garder
Moi : on ne change pas une équipe qui gagne
Moi : Désolée mais je ne peux rien pour toi, j’ai toujours pas mûri dans ma tête, je suis restée au stade des Legos. Bonne chasse!
Exhibitionniste.
A ceux qui me connaissent,
A ceux qui m’aiment bien
J’avoue je le confesse
Je ne cache plus rien
Si j’offre à leurs regards
Le galbe de mes seins
Ce n’est pas par hasard
Mais ça n’engage à rien
Je vais même plus loin
Beaucoup en sont témoins
Lorsque j’ouvre les cuisses
Que je montre l’esquisse
De ce qui fait parler
Mais aussi saliver
Ceux qui sont amateurs
De l’antre du bonheur.
N’ayez pas honte d’avoir
Cette raideur soudaine
Je n’en ferais pas d’histoire
Je ne suis pas puritaine.
Je m’offre en numérique
Non ce n’est pas tragique
Mais je jouis de savoir
Que vous aimez me voir.
A ceux qui me connaissent,
A ceux qui m’aiment bien
J’avoue je le confesse
Je ne cache plus rien
Si j’offre à leurs regards
Le galbe de mes seins
Ce n’est pas par hasard
Mais ça n’engage à rien
Je vais même plus loin
Beaucoup en sont témoins
Lorsque j’ouvre les cuisses
Que je montre l’esquisse
De ce qui fait parler
Mais aussi saliver
Ceux qui sont amateurs
De l’antre du bonheur.
N’ayez pas honte d’avoir
Cette raideur soudaine
Je n’en ferais pas d’histoire
Je ne suis pas puritaine.
Je m’offre en numérique
Non ce n’est pas tragique
Mais je jouis de savoir
Que vous aimez me voir.
Il est des rêves si doux et si pur que l'on prierait tous les dieux pour qu'ils deviennent réalité.
Il est des rêves si puissants qu'il est douloureux se lever et d'affronter le jour.
Tu as été ces rêves pendant de longues années où je n'avais pas encore peur de rêver!
Aujourd'hui j'ai grandi, je mûri loin de toi mais je le fais pour toi.
Ma réalité ressemble étrangement a mes rêves tu te rapproche de moi, tu me regardes avec tout cet amour qui grandit en toi.
Tu ne vois que moi, tu pleures pour moi, tu pleures sur nous!
Moi je suis là, je m'approche un peu et rêve encore et encore a celle que j'ai tant aimée il y a quelques années.
Maintenant mon rêve est devenu réalité, celle qui a fais couler de mes veines l'essence même de l'amour est devant moi a présent et me demande de l'aimer simplement;de l'aimer avec un coeur d'enfant!
Tu sais il y a longtemps que je t'aime avec se coeur que tu aimes tant!
Je ne suis plus un enfant mais je t'aime sincèrement, pas comme les grands qui se blessent et se pardonnes sans cesse.
Je t'aime simplement, sans peine, ni douleur, sans remords, ni regrets.
Je t'aime sans passé sans présent mais je sais que le futur sera notre temps!
Il est des rêves si puissants qu'il est douloureux se lever et d'affronter le jour.
Tu as été ces rêves pendant de longues années où je n'avais pas encore peur de rêver!
Aujourd'hui j'ai grandi, je mûri loin de toi mais je le fais pour toi.
Ma réalité ressemble étrangement a mes rêves tu te rapproche de moi, tu me regardes avec tout cet amour qui grandit en toi.
Tu ne vois que moi, tu pleures pour moi, tu pleures sur nous!
Moi je suis là, je m'approche un peu et rêve encore et encore a celle que j'ai tant aimée il y a quelques années.
Maintenant mon rêve est devenu réalité, celle qui a fais couler de mes veines l'essence même de l'amour est devant moi a présent et me demande de l'aimer simplement;de l'aimer avec un coeur d'enfant!
Tu sais il y a longtemps que je t'aime avec se coeur que tu aimes tant!
Je ne suis plus un enfant mais je t'aime sincèrement, pas comme les grands qui se blessent et se pardonnes sans cesse.
Je t'aime simplement, sans peine, ni douleur, sans remords, ni regrets.
Je t'aime sans passé sans présent mais je sais que le futur sera notre temps!
Cette fois-ci, c’est décidé.
Je veux me marier avec toi.
Avoir des enfants avec toi.
Habiter avec toi.
Manger avec toi.
Sortir avec toi.
Rire avec toi.
Pleurer avec toi.
Faire l’amour avec toi.
Aller travailler avec toi.
Jardiner ou bricoler avec toi.
Bouquiner ou écrire avec toi.
Faire les magasins avec toi.
Voyager avec toi.
M’ennuyer avec toi.
M’amuser avec toi.
Me prendre la tête avec toi.
Me disputer avec toi.
Me réconcilier avec toi.
Vieillir avec toi.
Mourir avec toi.
Ta future épouse
Je veux me marier avec toi.
Avoir des enfants avec toi.
Habiter avec toi.
Manger avec toi.
Sortir avec toi.
Rire avec toi.
Pleurer avec toi.
Faire l’amour avec toi.
Aller travailler avec toi.
Jardiner ou bricoler avec toi.
Bouquiner ou écrire avec toi.
Faire les magasins avec toi.
Voyager avec toi.
M’ennuyer avec toi.
M’amuser avec toi.
Me prendre la tête avec toi.
Me disputer avec toi.
Me réconcilier avec toi.
Vieillir avec toi.
Mourir avec toi.
Ta future épouse
Et ben, après on viendra dire que les zommes sont grossiers!!! ;o)))
Pas du tout... la preuve! Je viens de recevoir ce message :
Chère Madame,
Je me prénomme R****,
Très attentif à votre profil,
Je souhaite dialoguer.
En quelques mots, universitaire,
Je m’investis dans un secteur social en pleine expansion.
Je vis seul et parfaitement libre.
J’ai trois enfants autonomes, professionnellement et financièrement.
Je suis originaire de ****, habite **** et travaille à mi-chemin entre C*** et X****.
Je vous propose donc, si vous le souhaitez, dans le plus grand respect mutuel, de me laisser un message sur ce site ;
A bientôt
R*****
ps photo sur demande
C'est il pas bô ça??? ;o)
Pas du tout... la preuve! Je viens de recevoir ce message :
Chère Madame,
Je me prénomme R****,
Très attentif à votre profil,
Je souhaite dialoguer.
En quelques mots, universitaire,
Je m’investis dans un secteur social en pleine expansion.
Je vis seul et parfaitement libre.
J’ai trois enfants autonomes, professionnellement et financièrement.
Je suis originaire de ****, habite **** et travaille à mi-chemin entre C*** et X****.
Je vous propose donc, si vous le souhaitez, dans le plus grand respect mutuel, de me laisser un message sur ce site ;
A bientôt
R*****
ps photo sur demande
C'est il pas bô ça??? ;o)
Quand je respire l’odeur de ton corps
Je ferme doucement les yeux et j’imagine alors
Que je suis dans un autre monde
Où tu me dis que tu m’aimes à chaque seconde...
Dans cet autre monde je vois
De sublimes corps enlacés
Des hommes et des femmes s’embrasser
C’est un vrai bonheur, une immense joie...
Quand je te sens, ô toi mon amour !
J’imagine alors que parmi eux,
Il y a également nous deux...
On se regarde, on prend garde,
On s’enlace, on s’embrasse
On est tellement bien toutes les deux,
Je voudrais que ça ne s’arrête jamais
Je reviens à la réalité
C’est fini, tout s’efface...
Je ferme doucement les yeux et j’imagine alors
Que je suis dans un autre monde
Où tu me dis que tu m’aimes à chaque seconde...
Dans cet autre monde je vois
De sublimes corps enlacés
Des hommes et des femmes s’embrasser
C’est un vrai bonheur, une immense joie...
Quand je te sens, ô toi mon amour !
J’imagine alors que parmi eux,
Il y a également nous deux...
On se regarde, on prend garde,
On s’enlace, on s’embrasse
On est tellement bien toutes les deux,
Je voudrais que ça ne s’arrête jamais
Je reviens à la réalité
C’est fini, tout s’efface...
Comme on oublie
Comme on se balade dans la nuit
Ma main dans ta main invisible
Je voudrais te charmer
Je voudrais m'enivrer
Je voudrais me laisser aller
A te désirer
A me noyer en toi
Chavirer dans tes bras
Me livrer à tous les combats
Pour être là toute en toi
Je te voudrais vers mes yeux, je te voudrais dans mon coeur dans chacune de mes heures
Je sais que les mots se répètent
Je sais que mes phrases se tarissent
Car elles ne mènent à personne…
A tout le monde sauf à toi…
Et je ne veux que toi...les autres sont fades..
Je sais que je ne te reverrai jamais..
Et pourtant un train me relierait à toi...
Un train que j'ai le droit de prendre...
Le ferai je ou non c'est mon droit au fond
Tu me manques...
Je vais aller dormir pour former un rêve de tes lèvres à mon coeur
De mon désir à mon besoin de ta tendresse et de tes caresses
J'en fais mon ivresse nocturne...
Comme je peux oublier tout ce que j'ai vécu
Avant de t'aimer...
Comme je m'oublie en t'aimant...
Comme on se balade dans la nuit
Ma main dans ta main invisible
Je voudrais te charmer
Je voudrais m'enivrer
Je voudrais me laisser aller
A te désirer
A me noyer en toi
Chavirer dans tes bras
Me livrer à tous les combats
Pour être là toute en toi
Je te voudrais vers mes yeux, je te voudrais dans mon coeur dans chacune de mes heures
Je sais que les mots se répètent
Je sais que mes phrases se tarissent
Car elles ne mènent à personne…
A tout le monde sauf à toi…
Et je ne veux que toi...les autres sont fades..
Je sais que je ne te reverrai jamais..
Et pourtant un train me relierait à toi...
Un train que j'ai le droit de prendre...
Le ferai je ou non c'est mon droit au fond
Tu me manques...
Je vais aller dormir pour former un rêve de tes lèvres à mon coeur
De mon désir à mon besoin de ta tendresse et de tes caresses
J'en fais mon ivresse nocturne...
Comme je peux oublier tout ce que j'ai vécu
Avant de t'aimer...
Comme je m'oublie en t'aimant...
Je voudrais vous séduire, juste avec quelques mots
Pas de ceux habituels, usés des convoiteurs
Je ne veux pas d’ailleurs, vous séduire comme une sotte
Mais c’est vos âmes mesieurs qui guident mes ardeurs
Cet homme oui ce bel homme, Don Juan de pacotille
Vous plait pour son physique mais non pour sa faconde
Faites en vite le tour, seul en surface il brille
Soyez donc indulgentes au moins quelques secondes.
Oui je serai patiente, je saurais vous attendre
Je sais vous viendrez boire à la source poétique
Après avoir subi ses outrages symboliques
Afin de purifier votre âme qui est si tendre.
Jouons, voulez vous bien, ensemble avec les mots
Laissez moi vous bercer, comme des angelots
Par la musique des vers, la mélodie des rimes,
Et ma douce chaleur que je vous offre en prime.
Laissez vous envoûter par ces mots si légers
Laissez vous transporter dans ces pays rêvés
Là où je vous entraîne il n’y a pas d’interdits
Là où je vous emmène il n’y a que l’infini.
Je suis intemporelle, n’existe que par le ton
Lorsque vous me lisez, c’est vous que vous voyez
J’existe dans la note mélodieuse de vos sons
Et quand je vibre en vous, c’est beau à en pleurer.
Pas de ceux habituels, usés des convoiteurs
Je ne veux pas d’ailleurs, vous séduire comme une sotte
Mais c’est vos âmes mesieurs qui guident mes ardeurs
Cet homme oui ce bel homme, Don Juan de pacotille
Vous plait pour son physique mais non pour sa faconde
Faites en vite le tour, seul en surface il brille
Soyez donc indulgentes au moins quelques secondes.
Oui je serai patiente, je saurais vous attendre
Je sais vous viendrez boire à la source poétique
Après avoir subi ses outrages symboliques
Afin de purifier votre âme qui est si tendre.
Jouons, voulez vous bien, ensemble avec les mots
Laissez moi vous bercer, comme des angelots
Par la musique des vers, la mélodie des rimes,
Et ma douce chaleur que je vous offre en prime.
Laissez vous envoûter par ces mots si légers
Laissez vous transporter dans ces pays rêvés
Là où je vous entraîne il n’y a pas d’interdits
Là où je vous emmène il n’y a que l’infini.
Je suis intemporelle, n’existe que par le ton
Lorsque vous me lisez, c’est vous que vous voyez
J’existe dans la note mélodieuse de vos sons
Et quand je vibre en vous, c’est beau à en pleurer.
Un nouvel amour
Et se laisser aller
S’abandonner
Sur les vagues invisibles d’un rêve
Sentir...
Aller
Avec la pensée
Et embrasser avec le regard l’horizon
Jusqu’au point où il se courbe doucement
Rêver...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de chaque solitude
Pour qu’il devienne, sans jamais mourir
Une habitude infatigable...
Imaginer un nouvel amour
Qui naît avec les mains libres
Pour lui apprendre à marcher et puis
Pour lui donner un pré pour courir
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus
Le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver
Et à l’improviste
Se retrouver avec mes mains dans les tiennes
Et savoir que tu avais déjà décidé
Nous deux...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de cette solitude
Avec les paroles que tu sais dire
A l’âge de l’inquiétude...
Imaginer un nouvel amour
Qui a les yeux de la fantaisie
Pour lui donner toute sa valeur
Dans mes moments de mélancolie
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus, le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver
Et se laisser aller
S’abandonner
Sur les vagues invisibles d’un rêve
Sentir...
Aller
Avec la pensée
Et embrasser avec le regard l’horizon
Jusqu’au point où il se courbe doucement
Rêver...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de chaque solitude
Pour qu’il devienne, sans jamais mourir
Une habitude infatigable...
Imaginer un nouvel amour
Qui naît avec les mains libres
Pour lui apprendre à marcher et puis
Pour lui donner un pré pour courir
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus
Le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver
Et à l’improviste
Se retrouver avec mes mains dans les tiennes
Et savoir que tu avais déjà décidé
Nous deux...
Un nouvel amour à découvrir
Au fond de cette solitude
Avec les paroles que tu sais dire
A l’âge de l’inquiétude...
Imaginer un nouvel amour
Qui a les yeux de la fantaisie
Pour lui donner toute sa valeur
Dans mes moments de mélancolie
Pour lui donner toujours plus
Un peu plus
Et encore plus, le laisser aller
Jusqu’à ce qu’il apprenne à voler...
Rêver

Il est trop tard pour te pleurer,
Mais il est bien trop tôt pour ne plus t'aimer.
Tu ne sauras jamais combien j'ai pus souffrir
Le jour où mon amour n'a plus sus te retenir.
J'avais tant encore à partager en plus de ma tendresse,
Mais toi tu restais indifférente à mes mots à mes gestes.
On me dit d'essayer de t'oublier, de tout recommencer
Mais comment le pourrais-je avec sur mes lèvres le goût de tes baisers?
Je suis dans l'obscurité sans la lumière de tes yeux
Et dans cette obscurité mon coeur s'étiole peu à peu.
Je sais bien qu'il est trop tard pour te pleurer
Mais il est il est aussi bien trop tôt pour ne plus t'aimer
Mais il est bien trop tôt pour ne plus t'aimer.
Tu ne sauras jamais combien j'ai pus souffrir
Le jour où mon amour n'a plus sus te retenir.
J'avais tant encore à partager en plus de ma tendresse,
Mais toi tu restais indifférente à mes mots à mes gestes.
On me dit d'essayer de t'oublier, de tout recommencer
Mais comment le pourrais-je avec sur mes lèvres le goût de tes baisers?
Je suis dans l'obscurité sans la lumière de tes yeux
Et dans cette obscurité mon coeur s'étiole peu à peu.
Je sais bien qu'il est trop tard pour te pleurer
Mais il est il est aussi bien trop tôt pour ne plus t'aimer
Ton pas dans mon pas
Mon chant dans ta voix
Tes doigts dans mes doigts
Est-ce possible ou pas?
Ton désir dans mes yeux
Mon rire sur tes lèvres
Et nos nuits trop brèves
Est-ce possible ou pas?
Mon âme dans ton âme
Ton coeur dans mon coeur
Et ma vie pour toi
Est-ce possible ou pas?
Non, surtout ne dis rien
Nous le saurons demain
Mon chant dans ta voix
Tes doigts dans mes doigts
Est-ce possible ou pas?
Ton désir dans mes yeux
Mon rire sur tes lèvres
Et nos nuits trop brèves
Est-ce possible ou pas?
Mon âme dans ton âme
Ton coeur dans mon coeur
Et ma vie pour toi
Est-ce possible ou pas?
Non, surtout ne dis rien
Nous le saurons demain
C'était la nuit d'halloween.
Sous l'horloge, les baisers se prolongeaient.
Bonjour, car on venait de se trouver enfin, aussi au-revoir, car le moment des adieux sonnait déjà.
Bientôt la distance, les kilomètres par centaines.
Noir.
La couleur de tes fringues, la lueur obscure de ton regard, la nuance de tes cheveux.
Diable aux corps dans les ténébres de circonstance.
Moi, dans tes bras.
Blonde aux yeux clairs qui tente de t' Angel-iser, la peau aux effluves de mon parfum sucré.
Pacte infernal.
Alliance mi-ange, mi-démon.
Myriam, Aurélie, Daniélle & Sophie
Sous l'horloge, les baisers se prolongeaient.
Bonjour, car on venait de se trouver enfin, aussi au-revoir, car le moment des adieux sonnait déjà.
Bientôt la distance, les kilomètres par centaines.
Noir.
La couleur de tes fringues, la lueur obscure de ton regard, la nuance de tes cheveux.
Diable aux corps dans les ténébres de circonstance.
Moi, dans tes bras.
Blonde aux yeux clairs qui tente de t' Angel-iser, la peau aux effluves de mon parfum sucré.
Pacte infernal.
Alliance mi-ange, mi-démon.
Myriam, Aurélie, Daniélle & Sophie
Il resurgit tout au fond de ma mémoire
Le Souvenir d'un bel été
Tous les parfums de ces grands soirs
La chaleur d'une belle amitié.
Sur nous, le temps passait en douceur
Baigné des secrets des confidences d'après-midi
Nos éclats de rires rayonnaient nos coeurs
Dans cet havre de quiétude de nos jeunes vies.
Il resurgit tout au fond de ma Mémoire
L'Innocent Bonheur d'Aimer
Tous les Trésors qu'offrent les Belles Histoires
Où s'effeuillent les Marguerites des Prés.
Car cette petite Carte retrouvée, j'en suis Fière !
Où dormaient quelques Mots griffonnés
M'a ramenée en ces Jours d'Hier
Flash Eclair des Intimes Pensées.
Quant à cette simple Photographie
Où nos regards tendres brillaient
Je la glisserai cette Nuit
Sous les Draps de mes Rêves d'Eté.
Puis, resurgira, tout au fond de ma Mémoire ...
Le Souvenir d'un bel été
Tous les parfums de ces grands soirs
La chaleur d'une belle amitié.
Sur nous, le temps passait en douceur
Baigné des secrets des confidences d'après-midi
Nos éclats de rires rayonnaient nos coeurs
Dans cet havre de quiétude de nos jeunes vies.
Il resurgit tout au fond de ma Mémoire
L'Innocent Bonheur d'Aimer
Tous les Trésors qu'offrent les Belles Histoires
Où s'effeuillent les Marguerites des Prés.
Car cette petite Carte retrouvée, j'en suis Fière !
Où dormaient quelques Mots griffonnés
M'a ramenée en ces Jours d'Hier
Flash Eclair des Intimes Pensées.
Quant à cette simple Photographie
Où nos regards tendres brillaient
Je la glisserai cette Nuit
Sous les Draps de mes Rêves d'Eté.
Puis, resurgira, tout au fond de ma Mémoire ...
Je me dévoile tout doucement ce soir
Je laisse tomber devant toi ce voile noir
Qui couvrait mes épaules, ma poitrine
Tu me regardes tu me trouves sublime
Ton regard me dévore ne me quitte pas
J’avance vers toi timide, et à petit pas
Te regardant bien au fond dans les yeux
Et puis tendrement je me prends au jeu
Je laisse soudain tout tomber à tes pieds
Même si je me sentais par toi épiée
Mais ravie et fière de cette mise à nue
De ne plus être ce soir une détenue
De mes angoisses d’antan de mes peurs
Puis dans tes bras je me blottit, je pleure
Soulagée de t’avoir montré mon cœur
Désormais plus rien ne me fera peur
Ce soir, c’est le réveillon
2000 et des poussières
Dans toutes les maisons
Scintillent les lumières
Les nœuds papillons
Sortis de leurs repères
Flirtent avec des millions
De paillettes en rivières
On a emballé nos cœurs
De soie et de satin
Pour faire appel au bonheur
C’est plus joli, c’est certain
Mais ce goût de déjà vu
Et ces fichues traditions
Que chaque année on nous ressert
Parce qu’il n’y a pas de raisons
On a préparé d’avance
Cette nuit pleine d’étoiles
Le hasard n’a pas de chance
Il n’est invité nulle part
Les petits plats dans les grands
Les meilleurs millésimes
Cette nuit pas question
De parler de régime
Sur le coup de minuit
L’œil rivé sur nos montres
Pour ne pas faire de crédit
Aux anciennes secondes
On se fera des souhaits
Pour une année douce et ronde
On échangera nos présents
On s’embrassera sous le gui
Rien ne change vraiment
C’est juste comme ça la vie
Aurons nous des regrets
Quand il sera trop tard?
Quand nous serons les derniers
Assis tous seuls dans le noir?
Serons nous nostalgiques
De ces soirs de réveillons
Où l’on allait parfois avec des pieds de plomb?
Est-ce que l’on n’aura pas envie
Pour un soir ou pour une heure
De refaire simplement
Le chemin à l’envers?
Myriam, Claudia, Aurélie, Danièllé & Sophie
2000 et des poussières
Dans toutes les maisons
Scintillent les lumières
Les nœuds papillons
Sortis de leurs repères
Flirtent avec des millions
De paillettes en rivières
On a emballé nos cœurs
De soie et de satin
Pour faire appel au bonheur
C’est plus joli, c’est certain
Mais ce goût de déjà vu
Et ces fichues traditions
Que chaque année on nous ressert
Parce qu’il n’y a pas de raisons
On a préparé d’avance
Cette nuit pleine d’étoiles
Le hasard n’a pas de chance
Il n’est invité nulle part
Les petits plats dans les grands
Les meilleurs millésimes
Cette nuit pas question
De parler de régime
Sur le coup de minuit
L’œil rivé sur nos montres
Pour ne pas faire de crédit
Aux anciennes secondes
On se fera des souhaits
Pour une année douce et ronde
On échangera nos présents
On s’embrassera sous le gui
Rien ne change vraiment
C’est juste comme ça la vie
Aurons nous des regrets
Quand il sera trop tard?
Quand nous serons les derniers
Assis tous seuls dans le noir?
Serons nous nostalgiques
De ces soirs de réveillons
Où l’on allait parfois avec des pieds de plomb?
Est-ce que l’on n’aura pas envie
Pour un soir ou pour une heure
De refaire simplement
Le chemin à l’envers?
Myriam, Claudia, Aurélie, Danièllé & Sophie
Qui étais-tu?
C’était un retour de vacances
Je revenais d’Espagne
Un voyage de nuit
Le retour sur Liége
Je devais avoir 19 ans
J’étais seule dans mon compartiment
Lors d’un arrêt, tu es entrée
Vers moi tu as regardé
Tu croyais que je dormais
En fait, je simulais
Tu as enlevé ta robe
Il faisait sombre
J’ai deviné ton corps
Je ne voyais que ton dos
Tu t’es allongée sur l’autre couchette
Par le léger drap, tu étais recouverte.
Au rythme des légères secousses du train
Tu t’es mise à parcourir ton corps de ta main
Je devinais tes caresses de plus en plus précises
A celles ci, tu semblais soumise
Tu as deviné que je dormais pas
Sans doute, tu le savais déjà
Tu t’es levée
Près de moi, tu t’es allongée
Il faisait chaud, il faisait lourd
Sans un mot, nous avons fait l’amour
J’ai du être maladroite
Pour moi, c’était la première fois
Nous sommes restées allongées
Sans se parler, juste se regarder
Le haut parleur annonce l’arrivée en gare
C’est le moment de ton départ
Sur mes lèvres, tu déposes un baiser
Tu te presses de te rhabiller
Le train s’arrête
Seule je reste
Qui étais-tu ?
Jamais je ne l’ai su
Parfois, je me mets à rêver
De cette rencontre insensée.
C’était un retour de vacances
Je revenais d’Espagne
Un voyage de nuit
Le retour sur Liége
Je devais avoir 19 ans
J’étais seule dans mon compartiment
Lors d’un arrêt, tu es entrée
Vers moi tu as regardé
Tu croyais que je dormais
En fait, je simulais
Tu as enlevé ta robe
Il faisait sombre
J’ai deviné ton corps
Je ne voyais que ton dos
Tu t’es allongée sur l’autre couchette
Par le léger drap, tu étais recouverte.
Au rythme des légères secousses du train
Tu t’es mise à parcourir ton corps de ta main
Je devinais tes caresses de plus en plus précises
A celles ci, tu semblais soumise
Tu as deviné que je dormais pas
Sans doute, tu le savais déjà
Tu t’es levée
Près de moi, tu t’es allongée
Il faisait chaud, il faisait lourd
Sans un mot, nous avons fait l’amour
J’ai du être maladroite
Pour moi, c’était la première fois
Nous sommes restées allongées
Sans se parler, juste se regarder
Le haut parleur annonce l’arrivée en gare
C’est le moment de ton départ
Sur mes lèvres, tu déposes un baiser
Tu te presses de te rhabiller
Le train s’arrête
Seule je reste
Qui étais-tu ?
Jamais je ne l’ai su
Parfois, je me mets à rêver
De cette rencontre insensée.
Quand elle est dans mes bras,
Personne n'est plus heureuse que moi
Quand elle est au boulot,
Je suis au bout du rouleau.
Quand je la vois de si loin,
Mes pas commencent à se presser,
Pour la saisir dans un coin,
La coller au mur et l'embrasser.
Que dira-t-elle de moi?
Une folle ou une perverse?
Je subis vraiment sa loi
Et je cherche à lui plaire.
Je l'approche et je l'embrasse,
Elle hurle et me dit: passe!
J'aimerais trouver les mots,
Qui soulageraient mon fardeau.
La fille mystérieuse peuple mes insomnies
Elle me sourit puis se sauve,
Elle a les pas rapides tel un fauve,
Courir pour elle est une manie.
Personne n'est plus heureuse que moi
Quand elle est au boulot,
Je suis au bout du rouleau.
Quand je la vois de si loin,
Mes pas commencent à se presser,
Pour la saisir dans un coin,
La coller au mur et l'embrasser.
Que dira-t-elle de moi?
Une folle ou une perverse?
Je subis vraiment sa loi
Et je cherche à lui plaire.
Je l'approche et je l'embrasse,
Elle hurle et me dit: passe!
J'aimerais trouver les mots,
Qui soulageraient mon fardeau.
La fille mystérieuse peuple mes insomnies
Elle me sourit puis se sauve,
Elle a les pas rapides tel un fauve,
Courir pour elle est une manie.
Crois en toi
En réponse à tes délires.
Essaye de me lire.
Toi.
La femme qui croit.
Qui n’a pas de place dans mon cœur !
Il faut que tu sache.
Que je suis l’amour.
De toutes les fleurs.
Que tu sois brune ou blonde.
Que tu sois mince ou ronde.
Que tu sois petite ou grande.
Tu’es au plus profond de moi.
Seulement crois en toi.
Ça te fera du bien.
Si tu ne pense à rien.
Ni à ton age.
Ni aux autres messages.
Qui tuent en toi.
La femme et la flamme.
L’amour et les larmes.
Réveille-toi.
Tu’es toujours vivante.
Tu’es toujours existante.
Dans chacun de mes gestes.
Dans mes pensées.
Tout au long du parcours de ma vie.
En réponse à tes délires.
Essaye de me lire.
Toi.
La femme qui croit.
Qui n’a pas de place dans mon cœur !
Il faut que tu sache.
Que je suis l’amour.
De toutes les fleurs.
Que tu sois brune ou blonde.
Que tu sois mince ou ronde.
Que tu sois petite ou grande.
Tu’es au plus profond de moi.
Seulement crois en toi.
Ça te fera du bien.
Si tu ne pense à rien.
Ni à ton age.
Ni aux autres messages.
Qui tuent en toi.
La femme et la flamme.
L’amour et les larmes.
Réveille-toi.
Tu’es toujours vivante.
Tu’es toujours existante.
Dans chacun de mes gestes.
Dans mes pensées.
Tout au long du parcours de ma vie.
je me souviens de tes baisers
de chacun de tes mots et de tes vers
je n ai jamais rien pu oublié
des pierres de notre univers
la vie est passé en laissant ton visage
et ces terribles caresses de douleurs
qui m emprisonnent dans ces paysages
ou nous apprivoisions nos coeurs
la vie me guidant vers les rimes d un destin
dont tu chante si bien les chagrins
les larmes en encre d une poésie
ou j aime tant noyer mes dernières nuits
alors adieu et a toujours ma mélodie
je quitte l espace de nos souvenirs
et dans un dernier sourire de vie
je t abandonne la dernière lettre de mon désir
de chacun de tes mots et de tes vers
je n ai jamais rien pu oublié
des pierres de notre univers
la vie est passé en laissant ton visage
et ces terribles caresses de douleurs
qui m emprisonnent dans ces paysages
ou nous apprivoisions nos coeurs
la vie me guidant vers les rimes d un destin
dont tu chante si bien les chagrins
les larmes en encre d une poésie
ou j aime tant noyer mes dernières nuits
alors adieu et a toujours ma mélodie
je quitte l espace de nos souvenirs
et dans un dernier sourire de vie
je t abandonne la dernière lettre de mon désir
Voilà un moment fou
Un pur bonheur!
L'air devient si doux
Nuit de chaleur!
Dans une chambre, une femme ! Un coeur bat chamade
Et de concert, des grillons chantent la sérénade.
Raisonne le bruit d'une auto dans le lointain
Femme attend, espère!... C'est bien lui qui revient !
Voilà un quart de lune
Un beau ciel étoilé !
Brille la soie couleur prune
D'un simple déshabillé!
Jeux de mains! Caresses brûlantes sur corps nus.
Dans le jardin : le calme! Les ombres, on n'entend plus ...
Seuls, les baisers de l'intime jouent leur musique
En Rythme lent, épousé, sensuel et harmonique !
Voilà la lueur d'une bougie
Une senteur vanillée!
L'ambiance d'une magie
Quand la flamme ... a vacillé!
Les souffles sont " abandons " à l'aube du sommeil
Où les rêves poursuivent leur fusion septième ciel.
La douceur est exquise dans ces draps cotonneux,
Le repos mérité pour ces amants amoureux !...
Un pur bonheur!
L'air devient si doux
Nuit de chaleur!
Dans une chambre, une femme ! Un coeur bat chamade
Et de concert, des grillons chantent la sérénade.
Raisonne le bruit d'une auto dans le lointain
Femme attend, espère!... C'est bien lui qui revient !
Voilà un quart de lune
Un beau ciel étoilé !
Brille la soie couleur prune
D'un simple déshabillé!
Jeux de mains! Caresses brûlantes sur corps nus.
Dans le jardin : le calme! Les ombres, on n'entend plus ...
Seuls, les baisers de l'intime jouent leur musique
En Rythme lent, épousé, sensuel et harmonique !
Voilà la lueur d'une bougie
Une senteur vanillée!
L'ambiance d'une magie
Quand la flamme ... a vacillé!
Les souffles sont " abandons " à l'aube du sommeil
Où les rêves poursuivent leur fusion septième ciel.
La douceur est exquise dans ces draps cotonneux,
Le repos mérité pour ces amants amoureux !...
A Mon tour d'allumer ma bougie
le grand jour est arrivé
je vous quitte et je vous remercie toutes et tous
j'allume a présent moi aussi ma flamme
le temps de mon retour cette flamme je la met sur les dernières photos qui sont les plus chère a mon cœur, ma famille
je vous aime je serais toujours là maman, mamy
je vous embrasse
Aurélie
Nous
Un doux baiser que l’on a partagé et nos coeurs ont chaviré laissant nos voix coupées on a lentement réalisé que ce jour sera pour nous le début d’un grand amour.
Au fil du temps, nous planons ensemble vers un horizon rien qu’à nous nous emportant au gré du vent des instants mirifiques avec toi si romantique
Nos destins se ressemblent nos vies sont faites pour être ensemble toi et moi, continuons ce chemin parfait sans fin.
Ta peau douce tes gestes tendres tes bras vers moi et mon corps s’abandonne à toi dans le silence se perdent des échanges intenses
Ces instants en or que nous partageons sont et resteront pour nous le plus beau des trésors
Myriam
le grand jour est arrivé
je vous quitte et je vous remercie toutes et tous
j'allume a présent moi aussi ma flamme
le temps de mon retour cette flamme je la met sur les dernières photos qui sont les plus chère a mon cœur, ma famille
je vous aime je serais toujours là maman, mamy
je vous embrasse
Aurélie
Nous
Un doux baiser que l’on a partagé et nos coeurs ont chaviré laissant nos voix coupées on a lentement réalisé que ce jour sera pour nous le début d’un grand amour.
Au fil du temps, nous planons ensemble vers un horizon rien qu’à nous nous emportant au gré du vent des instants mirifiques avec toi si romantique
Nos destins se ressemblent nos vies sont faites pour être ensemble toi et moi, continuons ce chemin parfait sans fin.
Ta peau douce tes gestes tendres tes bras vers moi et mon corps s’abandonne à toi dans le silence se perdent des échanges intenses
Ces instants en or que nous partageons sont et resteront pour nous le plus beau des trésors
Myriam
Je pense à lui, là… juste à l’instant
Voilà… ça fait trois ans et un mois que tu es parti… en ne laissant derrière toi que des interrogations… Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Il reste un paquet de choses que l’on ne comprend pas, qui nous échappe, qui nous laisse pantois, qui nous laisse sur le cul…
Tu n’avait que 18 ans, tu est parti sans prévenir, sans nous faire comprendre que la vie te dépassait, sans nous laisser le choix, en baissant les bras à ton premier et seul grand échec… en ne laissant derrière toi que des larmes, souffrances…
Ton acte aura été pour moi un des tout gros tournants de ma vie !!!
Même si je ne le montre pas, tu m’a appris à prendre énormément de recul par rapport à ce qui m’arrive, par rapport à ce qui m’entoure…
Je ne m’en fais plus, je me dis que les petits soucis de la vie quotidienne ne sont rien à côté de la souffrance de certaines personnes…
Il me manque un rien me rappelle à lui… une musique, un lieu, un regard, un look, une attitude, une action…
Je me suis sentie complètement impuissante, une culpabilité m’a envahie…
Pourquoi ne me l’avoir pas dit?
Pourquoi n’avoir pas attendu pour trouver une autre solution?
On ne le saura jamais… tu n’a rien laissé derrière toi, pas de mots… juste des attitudes que nous n’avons pas réussi à traduire…
Tu me manques UltimateOne…
J’ai repris ce pseudo en souvenir du pseudo du blog mon frère.
Voilà… ça fait trois ans et un mois que tu es parti… en ne laissant derrière toi que des interrogations… Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Il reste un paquet de choses que l’on ne comprend pas, qui nous échappe, qui nous laisse pantois, qui nous laisse sur le cul…
Tu n’avait que 18 ans, tu est parti sans prévenir, sans nous faire comprendre que la vie te dépassait, sans nous laisser le choix, en baissant les bras à ton premier et seul grand échec… en ne laissant derrière toi que des larmes, souffrances…
Ton acte aura été pour moi un des tout gros tournants de ma vie !!!
Même si je ne le montre pas, tu m’a appris à prendre énormément de recul par rapport à ce qui m’arrive, par rapport à ce qui m’entoure…
Je ne m’en fais plus, je me dis que les petits soucis de la vie quotidienne ne sont rien à côté de la souffrance de certaines personnes…
Il me manque un rien me rappelle à lui… une musique, un lieu, un regard, un look, une attitude, une action…
Je me suis sentie complètement impuissante, une culpabilité m’a envahie…
Pourquoi ne me l’avoir pas dit?
Pourquoi n’avoir pas attendu pour trouver une autre solution?
On ne le saura jamais… tu n’a rien laissé derrière toi, pas de mots… juste des attitudes que nous n’avons pas réussi à traduire…
Tu me manques UltimateOne…
J’ai repris ce pseudo en souvenir du pseudo du blog mon frère.