Interruption volontaire de grossesse
L’interruption volontaire de grossesse peut être pratiquée à la demande d’une femme enceinte et d’elle seulement.
Si la femme est mineure et célibataire, elle doit présenter, pour accéder à cette intervention, une autorisation parentale, c’est-à-dire le consentement écrit de l’un de ses parents ou de la personne qui exerce l’autorité parentale Si une mineure ne veut pas avorter, personne, ni même ses parents ne peut l’obliger à cela. Si la femme est étrangère, il faut pour qu’elle puisse avoir une IVG, qu’elle réside sur le territoire français depuis au moins trois mois et fournir un titre de séjour. L’IVG est un acte que seul un médecin peut pratiquer. Cet acte est pratiqué dans un établissement hospitalier public ou privé. Une IVG doit être pratiquée en France avant la fin de la dixième semaine de grossesse, soit douze semaines après le début des dernières règles. L’IVG est remboursée par la sécurité sociale. Il existe deux techniques d’IVG :
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