Notre étude repose sur quatre entrevues. En ce sens, elle ne permet pas de généraliser les résultats. Se voulant une étude exploratoire, nous avons dû limiter le nombre de nos sujets. De plus, de nos sujets, trois d'entre elles avaient du désir sexuel alors que la quatrième affirmait en manquer. Cependant, nous croyons que cette étude peut fournir des hypothèses intéressantes permettant de pousser plus à fond l'apport de l'analyse féministe aux difficultés sexuelles entraînant ainsi une nouvelle compréhension de ces réalités.